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Destination Zebra: Station polaire, le film de 1968Feu vert cinéma

Ice Station Zebra (1968)
Traduction du titre original : Station des glaces Zebra.

Sorti aux USA le 23 octobre 1969 (Cinérama).
Sorti en France le 4 septembre 1969.
Sorti en blu-ray américain le 9 octobre 2012 (multi-régions, français inclus DD 2.0, anglais DTS HD MA 5.1, très belle image, très bon son original).

De John Sturges, sur un scénario de Douglas Heyes et Harry Julian Fink, d'après le roman de Alistair MacLean ; avec Rock Hudson, Ernest Borgnine, Patrick McGoohan, Jim Brown, Tony Bill, Lloyd Nolan, Ted Hartley, Gerald S. O'Loughlin, Alf Kjellin, Murray Rose, Ron Masak, Sherwood Price, Lee Stanley, Joseph Bernard, Michael T. Mikler.

Pour adultes et adolescents.

Epié par les télescopes américains et russes, un satellite file en orbite autour de la Terre. Le satellite pivote, met à feu un réacteur et entame sa descente, se séparant d’une capsule, qui entre dans l’atmosphère, ouvre un parachute et attérit dans l’arctique, sur une banquise par 21 dergré Ouest et 95 degré nord. En plein blizzard membre d’une station arctique toute proche trouve à l’aide d’un récepteur la capsule, l’ouvre. Cependant, un autre homme le suit.

En Angleterre, le Bar McClusky. Le téléphone près du comptoir sonne et le patron décroche, puis passe le combiné à l’un de ses clients, un homme en gabardine – le capitaine Jim Farraday, qui sort rapidement après avoir pris la communication, et, à pied par les ruelles pavées détrempées par la pluie, gagne un autre bar, emprunte une porte vitrée donnant sur un escalier, monte à l’étage et retrouve dans le salon un homme plus âgé, l’admiral Garvey, qui lui sert un bourbon et lui demande ce qu’il sait de la Station Arctique Zebra : une station dérivante britannique actuellement en difficulté d’après les journaux. Une sorte d’explosions, plusieurs tués, les autres mourant à cause de leurs brûlures et du froid, impossible à secourir à cause du temps. Garvey annonce qu’il y a une chance de les secourir, et que Jim va y aller, mais pas pour les secourir, pour une raison vitale, que Garvey refuse de communiquer : Jim emmènera un passager, qui connait le secret. Garvey remet ses ordres à Jim et les deux hommes prennent leurs manteaux et sortent par un escalier derrière la maison.

Un petit appareil britannique atterrit dans un aéroport, le mystérieux passager en question en débarque et monte dans une Rolls qui file le long des côtes. Pendant ce temps, un sous-marin un quai à Holy Loch fait les vérifications avant son départ. Arrivent un camion militaire amenant un contingent de jeunes soldats, ce qui étonne l’équipage. C’est au tour du passager mystère – Mr Jones – d’arriver et d’embarquer. Le sous-marin est prêt à partir et Jim est son capitaine. Le capitaine accueille Jones et lui donne une cabine à partager avec son second, Hansen. Le capitaine rappelle que le sous-marin est nucléaire, et qu’on vérifiera de temps en temps si Jones n’a pas été irradié. Puis Jim interroge Jones, qui ne répond rien mais lui remet ses lettres de crédit. Jim insiste, alors Jones demande si la porte est insonorisée… Plus ou moins. Mais comme les deux hommes s’asseyent, Jones demande seulement s’ils ont du whiskey à bord, puis répond qu’il considère que le plus simple est pour Jim de lui obéir sans discuter. Jim quitte alors la cabine.

Le sous-marin file de nuit en surface sur l’océan, puis plonge sous les eaux. Alors Jim constate avec son périscope qu’ils sont suivis par un navire russe totalement équipé pour les détecter, tout à fait par hasard, bien sûr. Puis Jim annonce à l’équipage qu’une station norvégienne a capté un nouvel appel au secours de la station Zébra, donc il y a des survivants. Ils passeront sous la banquise et tenteront de ressortir à travers la glace au plus près de la station. Il s’agit d’une mission conjointe avec les russes, et le passager qu’ils ont embarqué, Jones, n’en fait pas parti et doit donc être laissé tranquille. Jim est ensuite interrogé par ses hommes qui lui demandent si Jones est un espion. À cela, le capitaine répond qu’il vaudrait mieux ne pas faire ami-ami avec lui. Puis le capitaine va visiter la petite troupe de soldats à l’arrière du sous-marin, juste devant la salle des torpilles. Le lieutenant s’inquiète alors de savoir si les torpilles sont nucléaires, mais le capitaine le « rassure » : les torpilles sont seulement chargées avec du Torpex, d’une puissance équivalante à 400 tonnes de TNT chaque.

Comme Ed, le second de Jim veut aller se coucher, il trouve Jones dans sa couchette, et voulant réveiller ce dernier pour l’en chasser, Jones bondit et le menace de son pistolet. Jim intervient. Ed sortit, Jim tente à nouveau d’en savoir plus, et se fait encore une fois rebiffer. Jones avoue cependant que Jones n’est pas son vrai nom, et insiste : il n’y a aucune raison pour qu’un honnête capitaine comme Jim se compromettre dans les sombres affaires auxquelles Jones confirme être mêlé.
Comme le sous-marin approche d’un point de rendez-vous, ils utilisent leur radar pour détecter un éventuel avion en approche, mais comme il n’y a rien à 5000 Yards, le capitaine augmente la remontée du sous-marin à la surface. Le sous-marin émerge et ils sont vite rejoint par un hélicoptère américain, qui hélitreuille deux passagers de plus en vue de la mission de secours, dont un armé d’un fusil mitrailleur. Puis le capitaine fait replonger sous sous-marin. Jones connait le civil : Boris Vorisovich Vaslov, un russe anti-russe selon Jones, le meilleur homme pour retrouver la station Zébra. Puis Jim suggère à Jones d’emmener Vaslov prendre un café, et le second passager, le capitaine Anders, se présente, avec sa lettre de recommandation, et Jim commente que quelqu’un de puissant s’est donné beaucoup de mal pour que Anders soit à bord. Anders est alors reconnu par le lieutenant qui commande la troupe à bord, et ils ne semblent pas s’apprécier. Dans sa cabine, Jones confère avec Vaslov, et confirme qu’il pense que Anders a été envoyé pour les espionner. Jones annonce également qu’ils n’ont aucune nouvelle d’un certain Halliwel, ni d’un certain Goodwin, de la station Zébra, et rappelle que Vaslov ne doit rien dire à Jim Farraday.

De son côté, Jim reçoit Anders, qui lui explique que le contingent de soldats qu’ils ont embarqués avait besoin d’un officier expérimenté. Anders remplace effectivement le jeune lieutenant Walker, et quand celui-ci entre dans le bureau pour se présenter, Anders le traite froidement et annonce une sèche revue de ses troupes. Pendant ce temps, Vaslov vagabonde à travers les corridors du sous-marin, sous le regard soupçonneux de l’équipage. Le lieutenant Mingus alerte immédiatement son capitaine dès que Vaslov disparait dans la chambre suivante où est logé le contingent. Du coup Vaslov se retrouve face à Jim la minute suivante : Vaslov prétend adorer explorer et avoir absolument besoin de marcher pour cause de claustrophobie. Jim répond qu’ils sont beaucoup à bord à aimer marcher et que la prochaine fois, il faudra qu’il demande à être accompagner. Alors Vaslov demande à ce que Jim lui montre le réacteur nucléaire.

Destination Zebra: Station polaire, le film de 1968

Destination Zebra: Station polaire, le film de 1968

Destination Zebra: Station polaire, le film de 1968

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