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Blindness, le film de 2008Feu vert cinéma

Ici la page Amazon.fr du blu-ray français de Blindness (2008)

Blindness (2008)
Traduction du titre original : Cécité.

Sorti aux USA le 3 octobre 2008.
Sorti en France le 8 octobre 2008.
Sorti en Angleterre le 21 novembre 2008.
Sorti du blu-ray français le 27 mai 2009 (Région B )
Sorti en blu-ray aux USA le 7 août 2012 (Région A, pas de version ou de sous-titres français)

De Fernando Meirelles. Avec Julianne Moore, Mark Ruffalo, Gael García Bernal, Yûsuke Iseya, Yoshino Kimura, Danny Glover. D'après le roman de José Saramago.

Pour adultes.

Un embouteillage à l’heure de pointe. Un conducteur d’origine japonaise a brutalement pilé alors que le feu passait au vert. Derrière lui tout le monde klaxonne, puis des piétons arrivent pour lui demander ce qui se passe : il est devenu subitement aveugle, et demande à ce que quelqu’un l’accompagne à son appartement, afin que son épouse s’occupe de lui. Un piéton se propose de prendre le volant. Le feu est rouge de nouveau, mais pour l’aveugle, le monde est devenu blanc, comme s’il nageait dans du lait, dans de la lumière. Pour l’homme qui le raccompagne, c’est une bonne chose – un signe que la cécité est d’origine mentale et non physique. Soudain, le bon samaritain fait descendre l’aveugle, mais celui-ci se retrouve au bord de la rue, même pas sur le trottoir, avec de nouveau les voitures qui klaxonne. Puis le bon samaritain qui est allé garer la voiture rattrape l’aveugle et l’accompagne à son appartement, se fait ouvrir la porte, puis va vagabonder dans l’appartement. L’aveugle finit par faire sortir son bienfaiteur envahissant.

Plus tard, l’épouse japonaise rentre et trouve son mari endormi sur le canapé, blessé à la main car il a fait tomber un vase et s’est coupé. Elle appelle d’urgence un ophtalmologue trouvé dans le bottin, et constate que son mari ne distingue même pas la différence entre l’obscurité et la lumière du plafonnier. Ils prennent un taxi, attendent longtemps en salle d’attente pleine. Le docteur examine la cornée de l’aveugle, mais il trouve les yeux parfaits. Il avoue qu’il n’a jamais vu rien de tel, et au lieu de rédiger une prescription, écrit des indications pour le personnel de l’hôpital. Quand le couple se représente auprès de la secrétaire, celle-ci demande à ce que le mari signe les documents.

Alors qu’il fait nuit noire, le bon samaritain conduit la voiture du japonais qu’il a volé. Mais devant des policiers étonnés, il fait une embardée, descend, tandis qu’il devient subitement aveugle. Pendant ce temps, l’ophtalmo continue de voir des patients : un jeune garçon, une femme. Le soir venu, il essaie de parler de sa journée à son épouse, qui ne l’écoute pas vraiment, occupée qu’elle est à cuisiner, ce qu’elle adore et fait à merveille. Son mari lui parle d’agnosie, une cécité causée par le fait que le patient ne reconnait plus les objets qui l’entoure. Sa femme lui demande si cela a un rapport avec agnosticisme, l’ignorance, le manque de foi – elle demande à son mari s’il n’a jamais fait de latin, mais celui-ci lui rappelle que c’est du grec. Avant de se coucher, son mari se demande ce qu’il voulait lui dire avant qu’elle ne se couche. Elle lui rappelle les différents thèmes de leur conversation, mais il a oublié, comme il a oublié le nom du dessert qu’elle avait préparé avec tant de soin. Puis il se souvient de lui dire qu’elle doit brancher l’alarme.

La soirée continue pour la dernière cliente de l’ophtalmologiste : elle prend les médicaments prescrits à la pharmacie, puis un taxi pour l’hôtel, prend un verre au bar, puis va frapper à la porte de son client, lui spécifiant qu’elle ne peut pas retirer ses lunettes mais que si c’est un problème, elle peut appeler une autre fille. Après l’affaire, elle complimente son client : c’était si intense qu’elle voit encore tout blanc.
La femme du bon samaritain refuse de faire entrer son mari ramené par la police. Dans le couloir de l’hôtel, la call-girl est nue et paniquée, elle ne voit plus rien. Tandis que son client est parti vite fait, le personnel de l’hôtel la prend en charge. Le lendemain matin, l’ophtalmologiste se réveille aveugle. Il l’avoue à sa femme qui a fait le petit-déjeuner normalement : elle ne comprend pas, personne ne devient aveugle comme cela. Comme elle essaie de lui examiner l’œil, son mari panique : c’est infectieux, il a passé la nuit avec elle dans le même lit, il va l’attraper aussi. Il n’est que 8H30, le mari appelle l’hôpital, sa femme insiste pour l’embrasser.

Chez le spécialiste que le mari a appelé, il y a déjà le petit garçon, l’avant-dernier client de l’ophtalmologiste. Puis deux hommes en complet veston débarquent au cabinet et embarque la secrétaire et ses dossiers. Chez l’ophtalmologiste, des policiers avec des masques et un homme en combinaison étanche sonnent à sa porte. Comme ils confisquent son téléphone portable, son épouse décide de monter avec lui dans la camionnette, parce que, selon elle, elle vient juste de devenir aveugle. La camionnette les emmène dans un grand établissement désert où une vidéo du gouvernement tourne en boucle, informant de mettre en quarantaine toutes les victimes de la Maladie Blanche. L’ophtalmologiste se demande alors quel genre d’idiot passerait une vidéo à des gens devenus subitement aveugle… et son épouse insiste pour qu’il ne dise à personne qu’elle voit encore parfaitement.

Blindness (2008) photo

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