Bob Morane S01E07: Le démon solitaire (1964)
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Bob Morane S01E07: Le démon solitaire (1964)
Episode précédent <> Episode suivant.
Ici la page de ce blog consacré à la série télévisée Bob Morane (1964)
D'abord diffusée en Suisse début 1964 sur RTS
Ensuite diffusé en Belgique à partir du 17 mai 1964 sur RTBF 1 BE le dimanche vers 16h30.
Diffusée en France le dimanche 16 mai 1965 à 16h35 sur ORTF 2 FR.
Diffusé au Canada le 7 septembre 1965 sur Télévision Radio-Canada CA.
Rediffusé en France en 1972 sur ORTF 1 FR.
Rediffusé en France en 1988 sur LA CINQ FR.
Rediffusé en France en 1989 sur ANTENNE 2 FR.
Sorti en quatre VHS en 2000 chez LCJ FR, réunies en coffret le 17 mai 2001.
Sorti en DVD le 17 mai 2001 chez LCJ FR.
Diffusée en France le dimanche 16 mai 1965 à 16h35 sur ORTF 2 FR.
De Robert Vernay, d'après les romans de Henri Vernes (pseudonyme de Charles-Henri Dewisme), réalisation Robert Vernay (également scénariste), adaptation et dialogues Solange Terac ; avec Claude Titre, Noelle Noblecourt, Heinrich Rehwinkel, Alexandre Rigault, Dick Ero ; images Marcel Combes, montage Jacques Mavel, musique Louiguy.
Pour tout public.
(aventure, policier, espionnage, presse) Une route de terre encaissée sur laquelle roule une voiture noire, bordé d'un côté par des arbres et de l'autre par un versant raide à demi-éboulé, au bas d'une falaise. La voiture immatriculée CRU 459 cale, alors que son capot s'est mis à fumer. Bob Morane en descend, en tenue de cowboy, avec le chapeau à large bord, un colt rengainé de chaque côté du ceinturon, et des gants de peau. Il soulève le capot et se détourne aussitôt à cause de la fumée épaisse qui jaillit.
"Le souci du pittoresque me joue un sale tour, se dit Morane : la voiture des ancêtres expire avant d'arriver au but..."
Mâchonnant un chewing-gum, Morane avise en avant de la route et se met à marcher, pour arriver presque aussitôt à une pancarte où il est écrit que Monte Verde (le mont vert) se trouve encore à trois miles '4 km et 82m). Le visage de Morane ruisselle déjà de sueur, mais à la vue du paysage depuis la pancarte, il s'exclame, souriant largement : "Ah, c'est formidable !"
Et ce qui est formidable, c'est une vallée verdoyante en bas de plusieurs rangées de cactus en formes de candélabre. Morane ajoute : "On se croirait au cinéma!" et dans sa tête résonne les cris des peaux-rouges, les tirs des fusils et en retour la charge de la Brigade légère et son clairon. Mais rien de tel à l'horizon. Morane ôte son chapeau et s'évente avec. Puis il se retourne et tombe face à un cowboy - un vrai, qui embrasse une blonde vachère très amoureuse de lui, sous le regard accablé du cheval du jeune homme.
"Et ça continue !" se dit Morane, ravi. Le cowboy blond lui relève la tête alarmé et sa blonde se détourne précipitamment. Le jeune homme lance un "à ce soir Marie !" (NDT en français dans le texte) et lui, et sa blonde remontent sur leurs chevaux respectifs. Morane ferme les yeux de bonheur et murmure "Comme Mary Pickford !" (NDT prononciation américaine). Pendant ce temps, le cowboy blond approche à cheval, lui-même tirant un autre cheval noir sellé qui semble renacler. Il interpelle (NDT en français) Morane qui vient de rouvrir les yeux : "Vous êtes étranger ?"
Morane, sa valise à la main au bord de la route, a l'air très surpris : "ça se voit ?" Puis il interpelle en retour le cowboy blond : "Tom Mix !" L'autre rit : "Non : Tom Harrison." Morane vient serrer la main au cavalier qui lui demande alors "Vous allez à Monte Verde ?" Morane confirme. "Vous montez à cheval ?" Le cowboy tend la main pour se charger de la valise. "Moins bien que Gary Cooper, mais tout de même..."
Deux vautours perchés sur leurs cactus observent les cavaliers trottent côte à côte sur la route. Arrivés en vue d'une bâtisse en pierre, ils s'arrêtent, alors qu'il semble y avoir de l'agitation dans l'enclos devant. Un des vachers est alors éjecté, et Tom Harrison s'exclame : "Ils ont capturé le démon solitaire!"
Morane interroge: "ça vous ennuie?" Harrison l'admet : "Attraper ce Bronco, c'est le rêve de tous les cowboys de Monte Verde!"
Alors l'étalon noir en question saute la clôture, et enthousiaste, Harrison salue le cheval de son chapeau et crie "Hourrah", puis ajoute "Qu'est-ce que Carmodi va passer à ses hommes!" Morane répète "Carmodi ?" et Harrison explique : "Une sale fripouille que le Démon Solitaire a désarçonné et depuis ce temps-là tire la jambe... Il a juré de se venger du cheval !"
Morane s'étonne : "Comment peut-on en vouloir à une bête de défendre sa liberté ?" Harrison répond : "Ah ça pour la défendre, il est de première : il a été capturé trois fois et jamais dompté !" Morane remarque : "Et naturellement, vous brûlez d'envie de le faire ?" "Eh ben oui, c'est le Bronco et je suis cowboy... ah ça dure !"
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacré à cet épisode.
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Bob Morane S01E06 : La galère engloutie (1964)
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Bob Morane S01E06: La galère engloutie (1964)
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Ici la page de ce blog consacré à la série télévisée Bob Morane (1964)
D'abord diffusée en Suisse début 1964 sur RTS
Ensuite diffusé en Belgique à partir du 17 mai 1964 sur RTBF 1 BE le dimanche vers 16h30.
Diffusée en France le 25 avril 1965 sur ORTF 2 FR le dimanche vers 14h30.
Diffusé au Canada le 7 septembre 1965 sur Télévision Radio-Canada CA.
Rediffusé en France en 1972 sur ORTF 1 FR.
Rediffusé en France en 1988 sur LA CINQ FR.
Rediffusé en France en 1989 sur ANTENNE 2 FR.
Sori en quatre VHS en 2000 chez LCJ FR, réunies en coffret le 17 mai 2001.
Sorti en DVD le 17 mai 2001 chez LCJ FR.
De Robert Vernay, d'après les romans de Henri Vernes (pseudonyme de Charles-Henri Dewisme), réalisation Pierre Malfille, adaptation et dialogues de Gilles Coroner ; avec Claude Titre, Billy Kearns, Marianne Luzt, Pierre Risch ; images : Jacques Ledoux; régie générale: Maurice Hartwig ; montage : Marie-Louise Barberot, musique Louiguy.
Pour tout public.
(aventure, policier) Voilà Bob Morane qui sort d'un hôtel des ventes chargé d'une pile de pas moins de quinze livres, certains d'allure ancienne. Faisant le tour de sa décapotable, il perd les deux plus petits livres en haut de la pile alors qu'il s'imaginait pouvoir tout déposer d'un coup sur la banquette arrière. Une voix s'exclame : "Bougez pas !"
C'est Bill Ballantine qui ramène un filet plein de provisions. Morane s'exclame, soulagé : "Tiens, Bill ! Eh ben dis-donc, tu tombes à pic ! T'as fini tes courses" Ballantine confirme, aide Morane à déposer sa pile. Un petit homme brun arrive avec une cagette chargée d'objets divers et une espèce de grande timbale de cuivre. Morane remercie le nouveau venu et le paye. Ballantine s'étonne : "Ben mon vieux ! J'croyais que vous étiez parti voir l'entrepreneur (?)..." "Qu'est-ce que tu veux ? La salle des ventes était sur mon chemin : la tentation..."
Une grosse voiture noire avec conduite à droite arrive en klaxonnant et se gare. En descend la jolie femme qui était au volant, aux cheveux noirs à la robe aux carrés multicolores. Bill Ballantine remarque à Morane : "Jolie, hein ?" Morane regarde dans la direction indiquée et demande : "La voiture ou sa conductrice ?" Ballantine lui répond : "Oh, moi, les antiquités..."
Ballantine et Morane voient ensuite les deux passagers de la voiture, un homme jeune et un autre beaucoup plus âges, habillés en costume sombres, se précipiter vers l'entrée de l'Hôtel des Ventes où ils rejoignent la conductrice, qui leur pointe du doigt une affiche écrite à la main sur papier à carreaux : Pour des raisons techniques, la vente commencera ce jour à 16 heures au lieu de 17 heures.
Morane démarre sa décapotable et ils s'en vont, tandis que l'homme âgé proteste auprès du petit homme responsable de la salle : "Mais enfin, voyons, la vente n'est pas commencée !" Le petit homme répond avec l'accent du midi : "Pas commencée ? Eh, elle est finie !" Le vieil homme s'indigne : "Finie ! Mais non, voyons, c'est pas possible !" "C'est que le commissaire, il fallait qu'il conduise sa femme à la gare ; alors il a commencé une heure avant : on l'a écrit sur le mur, là !" Le vieil homme demande : "Et la collection Montesson, alors ?" Le petit homme répond : "(partie) Au Mistral des enchères !" Le vieil homme s'exclame : "Oh, c'est terrible..." puis "Et les livres aussi ?" Le petit homme : "Tout ! Tiens, les livres, c'est justement le monsieur de la voiture là: il a embarqué tout le paquet."
La nuit est tombé. Au premier étage d'un grand mas, Morane fait du rangement, et demande à Ballantine : "Tu peux me passer les bouquins, s'il te plait ?" Et Ballentine, occupé à astiquer la grande timbale, lui lance la pile des cinq livres les plus petits, que Morane rattrape de justesse avec une grimace. Et comme il s'empresse de les caler contre les plus gros, sans succès, la sonnerie du téléphone vrille l'air. Morane s'écarte de sa bibliothèque pour décrocher le combiné blanc de l'appareil : "Allo, oui ?" Puis il confirme : "Oui, ici Bob Morane."
La réponse semble le surprendre et il s'assied sur le coin du bureau : "Quoi ? Ah, je ne sais pas si c'est la collection Montesson..." Il hoche la tête : "J'ai acheté un lot de livres, en effet..." Tout en écoutant sa correspondante, Morane ouvre l'un des gros livres qu'il a acheté, et il y a un blason dessiné sur la page de garde, et lisant le nom écrit sous le blason, il confirme : "Ah oui, Montesson..." Puis il s'exclame : "Ah non !" et referme sèchement le gros livre, tout en gardant le sourire : "Non, non, Madame, il n'en n'est pas question... Ni cinq, ni dix : je les ai, ils me plaisent, je les garde." Puis il reprend : "Non, mais je vous assure puisque je vous dis que..."
Et d'écarter le combiné de son oreille parce que la dame au bout du fil semble crier très fort. Il raccroche le combiné sur son support et se relève, pour hausser les épaules et expliquer à Ballantine : "(c'est) Une femme qui veut me racheter une partie de mes livres..." Ballantine accroche la timbale de cuivre qu'il avait fini d'astiquer au mur et demande : "Alors pourquoi vous avez refusé ?" Morane est choqué : "Ben pourquoi est-ce que j'accepterais ?"
Puis Morane jette un coup d'oeil autour de lui et déclare : "Bon, ben moi je crois que je vais aller me coucher..." Puis voyant Ballantine ouvrir le bar : "Qu'est-ce que tu fais ? Tu t'en sers un autre ?" Ballantine, s'amusant à faire sauter dans sa main une bouteille de ce qui ressemble à du whisky, et un verre dans l'autre main, déclare : "Ben, je vais lire un peu..." Morane répond en riant : "(ne) Lis pas trop : ça fatigue !" Ballatine lui répond "Fais d'beaux rêves..." et s'assied, et Morane répond en sortant : "Ouais, j'vais essayer..."
Morane sorti, Ballantine se verse un verre, mais à peine a-t-il rebouché la bouteille que le téléphone sonne à nouveau. Morane revient, mais Ballantine vient de décrocher, renversant au passage un peu du contenu de son verre : "Allo ?"
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacré à cet épisode.
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DC Blue Beetle, le film de 2023
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Blue-Beetle (2023)
Traduction du titre: le scarabée bleu.
Annoncé en France pour le 16 août 2023
Annoncé aux USA pour le 18 août 2023 (initialement annoncé pour sortir directement en streaming sur HBO MAX US).
De Angel Manuel Soto, sur un scénario de Gareth Dunnet-Alcocer, d'après la version de 2006 de Keith Giffen etJohn Rogers, dessiné Cully Hamner, adaptation du personnage créé par Will Eisner, dessiné par Charles Nicholas Wojtkoski pour Fox Comics' Mystery Men Comics #1 de août 1939 ; avec Xolo Maridueña, Adriana Barraza, Damián Alcázar, Raoul Max Trujillo, Susan Sarandon, George Lopez.
Pour adultes et adolescents.
(superwoke woke toxique) Un engin volant futuriste survole de nuit un camp de tentes au pied d’une énorme sphère, le tout balayé par la neige. Sous l’une des tentes, un vieux moustachu aux cheveux ras tripote son médaillon d’argent au coin du feu. Une rafale de vent secoue la toile de la tente géodésique et fait entrer des flocons tandis qu’on entend comme un genre d’hélicoptère.
Le moustachu se détourne de son tripotage, se lève, et c’est un cyborg à l’avant-bras et la main métallique qui ne craint apparemment pas les grands froids, pas plus que sa moustache. Il avait bien sûr laissé sa tente grande ouverte sur le blizzard et n’était pas plus dérangé que ça, mais d’un autre côté il peut sortir simplement en écartant les pans battant à tous les vents.
Dehors, l’engin aérien s’est posé, et c’est une sorte d’hélico à pâles horizontales ornées de néons (ou de LED), sans doute pour mieux se faire repérer de très loin par qui serait équipé d’un lance-missile. En sort une blondasse en combinaison blanche fourrée. Le monteur ayant oublié de nous montrer le moustachu arriver ou marcher jusqu’au site d’atterrissage ou encore assister à l’atterrissage (budget quand tu nous tiens…), nous sommes aussi surpris que la blondasse de le retrouver instantanément sur sa droite puis marchant à ses côtés.
La blondasse l’interpelle et balance d’une traite sa tirade d’exposition : « Lieutenant Carapax… » (sic, rires enregistrés) « Dites-moi qu’ils ont trouvé le Scarab.. »
Carapax répond à la blondasse : « Il coupent dedans en ce moment même… » Et la blondasse de répondre : « C’est excitant. » Pas vraiment mais l’autre renchérit, toujours en mode dialogue d’exposition : « Je les ai fait travailler 24 heures sur 24 depuis que nous l’avons déterré il y a deux semaines. La blondasse le félicite : « Bien, maintenons cette chose hermétiquement scellée jusqu’à ce que nous soyons prêts à la montrer au conseil d’administration… »
D’abord, la blondasse doit parfaitement savoir qu’ils ont déterrés la sphère il y a deux semaines et le rythme des équipes de travail. Ensuite, ils sont en train de percer la sphère à l’air libre alors comment pourraient-ils maintenir cette chose hermétiquement scellée ?
Soudain, et parce qu’il a des yeux dans le dos, un binoclard rondouillard qui avait le dos tourné se précipite vers le couple en criant : « Miss Kord ! » La blondasse salue le Docteur Sanchez, et le binoclard répond qu’en fait ce n’est pas son nom. D’abord c’est impoli de ne pas dire bonjour aux gens avant qu’ils ne vous saluent, et ensuite c’est vraiment pas malin d’hurler le nom de la responsable d’une opération discrète, sinon secrète alors que l’allée grouille de lambdas qui pourront témoigner plus tard qu’elle était dans le coup.
Et maintenant c’est à Pas-Sanchez qu’elle demande combien de temps cela prendra encore, alors que c’était Carapax qui semblait être celui au courant deux secondes plus tôt. Obligeamment, Pas-Sanchez poursuit le dialogue d’exposition commencé plus tôt : « Nous attendront le centre avant le lever du soleil. »
Les trois zigs s’immobilisent à une ou deux centaines de mètres en contrebas de la sphère. La blondasse répond : « Eh bien faites travailler vos hommes plus dur. » De là où ils sont, Pas-Sanchez risque d’avoir du mal à obéir à l’ordre, d’autant que personne ne semble avoir de radio ou de porte-voix. La blondasse ajoute pour davantage d’exposition : « J’ai cherché ce truc pendant quinze ans, je ne veux pas attendre une seconde de plus. »
Et une seconde est déjà passée qu’ils sont toujours tous les trois plantés là. Pas-Sanchez répond que miss Kord aurait du appeler avant de faire le voyage : cela pourrait être un autre leurre. »
La blondasse retire ses lunettes de soleil — et oui, nous sommes bien la nuit, c’est sans doute qu’elle veut prouver qu’elle n’a pas froid aux yeux, et pourtant, par ce temps de chute de neige sur congères, il semblerait qu’il fasse en dessous de zéro. Mais d’un autre côté, personne n’a la moindre trace de neige ou de gel ni sur son manteau, ni sur ses fourrures pourtant noire à anthracite, ni sur les sourcils ou les barbes ou la mèche de cheveux.
Et le bas de l’énorme sphère gris-blanche attaquée apparemment à la lance à plasma des trois côtés sur l’hémisphère supérieure, s’éboule devant eux. Vu la taille, la matière et le peu de distance à laquelle ils se tiennent, la sphère pourrait s’effondrer et ils finiraient en hachis comme à Paris lors de la dernière explosion au gaz d’un immeuble historique abritant une école de mode dont nous n’avons jamais eu le compte des victimes ou le suivi de combien d’étudiants avaient survécu.
Blanche Neige et les sept nains, le film animé de 1937
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Snow White and the Seven Dwarfs (1937)
Noter que ce film n'existe dans sa version correcte que depuis sa restauration digitale de 1993 qui a permis de réaligner les cellophanes de la dernière scène.
Sorti aux USA le 21 décembre 1937 (limitée).
Sorti aux USA le 4 février 1938 (générale)
Sorti en Angleterre le 24 février 1938 (limitée)
Sorti en Angleterre le 12 mars 1938 (générale)
Sorti en France le 6 mai 1938. Nombreuses ressorties par la suite.
Sorti en France en VHS.
Sorti en France en DVD.
Sorti en coffret 2 blu-ray + DVD américain le 6 octobre 2009 (édition Diamant)
Sorti en blu-ray+DVD américain le 2 février 2016 (édition Signature)
De David Hand, Perce Pearce, William Cottrell, Larry Morey, Wilfred Jackson et Ben Sharpsteen ; sur un scénario de Ted Sears, Richard Creedon, Otto Englander, Dick Rickard, Earl Hurd, Merrill De Maris, Dorothy Ann Blank et Webb Smith, d'après le conte Sneewittchen 1812 des Frères Grimm, d'après les légendes germaniques. Avec les voix originales de Adriana Caselotti, Harry Stockwell, Lucille La Verne, Roy Atwell, Pinto Colvig, Otis Harlan, Scotty Mattraw, Billy Gilbert, Eddie Collins, Moroni Olsen, Stuart Buchanan.
Pour tout public.
(comédie romantique de fantasy) Une fois à un moment vivait là une ravissante petite princesse du nom de Blanche Neige. Sa vaine et vicieuse belle-mère, la Reine, craignait qu’un jour la beauté de Blanche-Neige eusse surpassé la sienne. Alors elle habilla la petite princesse de haillons et la força à travailer comme servante d'arrière-cuisine.
Chaque jour, la vaine reine consultait son miroir magique : « Miroir Magique sur le mur, qui est la plus jolie de toutes ? » … Et tant que le miroir répondait, « Vous êtes la plus jolie, » Blanche Neige était à l’abri de la cruelle jalousie de la Reine.
Un château perché sur un rocher au-dessus d’un lac entouré de forêt. Le vent souffle et fait défiler quelques nuages dans le ciel bleu. En haut de l’une des tours, la Reine, en manteau noir et col blanc, monte les quatre marches qui mènent à l’arche abritant son grand miroir magique. Puis elle incante : « Esclave dans le Miroir Magique, viens depuis le lieu le plus reculé : à travers les vents et les ténèbres, je t’invoque ! »
Alors un vent surnaturel se lève dans la pièce, faisant battre les pans du manteau noir au revert violet de la Reine. Et la Reine d’ordonner : « Parle ! »
L’image de la Reine dans le Miroir Magique s’efface, noyée de brume. Puis un éclair et le tonnerre, et un rideau de flammes. La Reine ordonne encore : « Laisse moi voir ton visage ! »
Le rideau de flammes s’écartes, révélant un masque verdâtre grimaçant éclairé par le bas tandis que les fumées montent encore autour de lui. L’Esclave demande : « Que voudriez-vous savoir, ma Reine ? »
La Reine répond : « Miroir Magique sur le mur, qui est la plus jolie de toutes ? »
L’Esclave répond : « Réputée est ta beauté, Majesté — mais voilà que j’aperçois une ravissante jeune fille… Les haillons ne peuvent cacher sa grâce attendrissante… Hélas, elle est plus jolie que toi. »
La Reine croise ses bras et pointant son menton vers le haut, déclare : « Hélas pour elle ! Révèle son nom. »
L’Esclave répond : « Des lèvres rouges comme la rose, des cheveux noirs comme l’ébène, une peau aussi blanche que la neige. »
La reine décroise ses bras et souffle : « Blanche Neige ! »
Et pourtant, l'intéressée qui brosse les marches d’un escalier du jardin du château, entourée de blanches colombes, a le visage et les bras plutôt roses, et même rougis, tandis qu’elle fredonne un air. Puis elle soupire, se relève et à l’aide de l’eau qui reste dans son seau, rince la marche — sans effrayer le moins du monde les colombes — et s’en va nonchalamment au puits voisin. Elle tire sur la corde, et alors que les colombes s’assemblent à nouveau, cette fois sur la margelle, hisse un autre seau, celui-là plein.
Puis la toute jeune fille demande aux colombes si elles voudraient savoir un secret, si elles promettent de ne rien dire ? Les colombes s’entre-regardent en roucoulant, puis hochent toutes ensemble la tête.
Alors la jeune fille se met à chanter : « Nous nous tenons à un puits aux souhaits : si vous faites un souhait au puits, c’est tout ce que vous avez à faire, et si vous l’entendez en écho , votre souhait se réalisera bientôt… »
Et de joindre la pratique à la théorie, la jeune fille chante dans le puits, qui effectivement lui répond en écho : « Je souhaite… » et le puits répond avec la même voix : »je souhaite… »
La jeune fille reprend : « … que celui que j’aime, me trouve… (Me trouve… ) — … Ce jour (…Ce jour). J’espère (j’espère), et je rêve des jolis choses (… jolies choses) qu’il me dira. »
Et à ces mots chantés, en bas de la muraille, arrive justement un prince sur son cheval blanc, attiré par la voix de Blanche Neige qui résonne depuis le jardin.
Comme la jeune fille se met à vocaliser, le prince escalade le mur défendant le jardin – et juché en haut de ce mur, aperçoit Blanche Neige, qui épète son souhait : « Je souhaite que celui que j’aime me trouve ce jour… »
Et à l’instant où la jeune fille prononce ces derniers mots, le prince la rejoint au puits pour conclure en chantant à son tour : « Ce jour ! ». Blanche Neige sursaute, rougit considérablement, et comme le prince lui demande si il lui a fait peur, prend la fuite et se réfugie dans le château, refermant la porte derrière elle.
Ce qui n’empêche pas le prince, clairement sous l’emprise du souhait que la jeune fille a prononcé , de chanter à nouveau : « Maintenant que je vous ai trouvée, écoutez ce que j’ai à vous dire… »
Et c’est exactement l’intention de Blanche Neige, qui n’a pas fuit plus loin qu’une fenêtre, puis le balcon surplombant la scène, où elle se cache derrière un rideau rouge, et clairement apprécie l’aubade improvisée : « Une chanson, je n’ai qu’une chanson, une chanson seulement pour vous ; un cœur battant tendrement, respectueux, constant et honnête… »
Blanche Neige se précipite à la rembarde du balcon, penchée vers prince, qui continue de chanter : « un amour qui a pris possession de moi ; un amour qui me fait frisonner ; une chanson, que mon cœur ne cesse de chanter, à propos d’un seul amour, seulement pour vous. »
Et à ces mots, Blanche Neige attrape une colombe et l’envoie au prince. La colombe se perche sur l’index du jeune homme et se pâme en rougissant à son tour, puis dépose un baiser sur la bouche du prince charmant, qui regarde un instant la colombe s’envoler avant de se retourner vers Blanche Neige au balcon, plus rouge qu’une pivoine, qui referme sur elle les rideaux rouges.
Or il se trouve que la Reine elle-même a assisté à l’aubade depuis une autre fenêtre donnant sur le jardin. Retournée à la salle du trône, elle donne ses ordres à son chasseur : « Emmenez-la loin dans la forêt ; trouvez-lui une clairière isolée où elle pourra cueillir des fleurs sauvages ; et là-bas, mon fidèle Chasseur, vous la tuerez ! »
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Ici la page du site Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.
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T.I.M. le film de 2023
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T.I.M. (2023)
Possiblement écrit par Intelligence artificielle ou plagiat de plusieurs films dont Lifelike 2019, I'm Your Man 2021, Simulant 2023.
Diffusé à partir du 16 août 2023 sur NETFLIX UK.
Sorti en blu-ray en Allemagne le 10 novembre 2023.
Sorti au cinéma aux USA le 12 janvier 2024 (limité).
De Spencer Brown (également scénariste), sur un scénario de Sarah Govett; avec Georgina Campbell, Eamon Farren, Mark Rowley.
(slasher prospectif robotique) Abi, ingénieur prothésiste, prend un poste de haut niveau en tant que nouveau chef de département chez Integrate Robotics et reçoit le prototype du produit de sa société - un robot humanoïde nommé T.I.M. (''Technologically.Integrated.Manservant.'', domestique technologiquement intégré) - comme cadeau obligatoire de la société pour qu'elle puisse travailler dessus alors qu'elle et son mari Paul s'installent dans leur nouvelle maison de campagne.
Le précepte préprogrammé de T.I.M., qui consiste à servir sa maîtresse de préférence à son maître, entraîne rapidement des relations tendues entre Abi et Paul et une hostilité entre Paul et T.I.M. D'autant plus que leur déménagement à la campagne était en partie dû à l'infidélité de Paul et qu'ils préféraient la confiance et un nouveau départ. L'attachement de T.I.M. à sa maîtresse, qui évolue rapidement, commence à frôler l'obsession ; son contrôle total de tous les appareils ménagers et de télécommunication de la maison, ainsi que sa capacité innée à utiliser la technologie de l'IA générative, font de lui un serviteur très dangereux. Paul dit à Abi qu'il veut qu'elle se débarrasse du robot, mais elle ne veut pas.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.
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