Pioneer (2013) posterFeu orange cinéma

Pioneer (2013)
Traduction du titre original : Pionnier.

Sorti en Norvège le 30 août 2013.
Sorti en Angleterre le 9 avril 2014.
Sorti aux USA le 5 décembre 2014.
Sorti en blu-ray UK le 4 août 2014 chez Arrow (lisible en France, pas de piste française, Arrow est un excellent éditeur de blu-ray).
Sorti annoncée en France pour le 28 janvier 2015.
Sorti en blu-ray US annoncée pour le 16 mars 2015.

De Erik Skjoldbjærg. Avec Aksel Hennie, Wes Bentley, Stephen Lang.
D'après des faits réels.

Dans les années 1980, une compagnie pétrolière norvégienne découvre un nouveau gisement. Mais pour l'exploiter, il faut installer un pipe-line. Petters ne jure que par la plongée et le défi d'explorer les profondeurs de l'océan, mais la mission tourne mal, et il réalise soudain qu'on le manipule et que sa vie est en danger...

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Lockwood &Co: The Screaming Starcase, le roman de 2013Feu vert livre / BD

Lockwood & Co: The Screaming Starcase (2013)
Traduction du titre anglais : Lockwood et compagnie : L’escalier qui hurlait.

Ce roman appartient à la série Lockwood & Co. et est suivi par The Whispering Skull.

Sorti le 29 août 2013 en Angleterre chez DOUBLE DAY UK ;
Aux USA le 12 septembre 2017 chez DISNEY HYPERION, inédit en français à ma connaissance.
Adapté en série télévisée diffusée à partir du 23 janvier 2026 sur NETFLIX INT/FR.
De Jonathan Stroud.

Pour adultes et adolescents.

(Fantasy urbaine, éditeur) Lorsque les morts reviennent hanter les vivants, Lockwood & Co. interviennent... Depuis plus de cinquante ans, le pays est touché par une effroyable épidémie de fantômes. Un certain nombre d'agences d'enquêtes psychiques ont vu le jour pour détruire ces dangereuses apparitions. Lucy Carlyle, une jeune agente talentueuse, arrive à Londres en espérant une carrière remarquable. Au lieu de cela, elle se retrouve dans la plus petite et la plus délabrée des agences de la ville, dirigée par le charismatique Anthony Lockwood. Lorsqu'une de leurs affaires tourne mal, Lockwood & Co. ont une dernière chance de se racheter. Malheureusement, cela implique de passer la nuit dans l'une des maisons les plus hantées d'Angleterre, et d'essayer d'en sortir vivant.

*

Le texte original anglais de Jonathan Stroud publié le 29 août 2013 chez RANDOM HOUSE UK.

1

Of the first few hauntings I investigated with Lockwood & Co. I intend to say little, in part to protect the identity of the victims, in part because of the gruesome nature of the incidents, but mainly because, in a variety of ingenious ways, we succeeded in cocking them all up. There, I’ve admitted it!

Not a single one of those early cases ended as neatly as we’d have wished.

Yes, the Mortlake Horror was driven out, but only as far as Richmond Park, where even now it stalks by night amongst the silent trees. Yes, both the Grey Spectre of Aldgate and the entity known as the Clattering Bones were destroyed, but not before several further (and, I now think, unnecessary) deaths. And as for the creeping shadow that haunted young Mrs Andrews, to the imperilment of her sanity and her hemline, wherever she may continue to wander in this world, poor thing, there it follows too. So it was not exactly an unblemished record that we took with us, Lockwood and I, when we walked up the path to 62 Sheen Road on that misty autumn afternoon and briskly rang the bell.

We stood on the doorstep with our backs to the muffled traffic, and Lockwood’s gloved right hand clasped upon the bell-pull. Deep in the house, the echoes faded. I gazed at the door: at the small sun-blisters on the varnish and the scuffs on the letterbox; at the four diamond panes of frosted glass that showed nothing beyond except for darkness. The porch had a forlorn and unused air, its corners choked with the same sodden beech leaves that littered the path and lawn.

‘OK,’ I said. ‘Remember our new rules. Don’t just blab out anything you see. Don’t speculate openly about who killed who, how, or when. And above all don’t impersonate the client. Please. It never goes down well.’

‘That’s an awful lot of don’ts, Lucy,’ Lockwood said.
‘Too right it is.’
‘You know I’ve got an excellent ear for accents. I copy people without thinking.’

‘Fine, copy them quietly after the event. Not loudly, not in front of them, and particularly not when they’re a six-foot-six Irish dockworker with a speech impediment, and we’re a good half-mile from the public road.’
‘Yes, he was really quite nimble for his size,’ Lockwood said. ‘Still, the chase will have kept us fit. Sense anything?’
‘Not yet. But I’m hardly likely to, out here.
You?’

He let go of the bell-pull and made some minor adjustment to the collar of his coat. ‘Oddly enough, I have. There was a death in the garden sometime in the last few hours. Under that laurel halfway up the path.’

‘I assume you’re going to tell me it’s only a smallish glow.’ My head was tilted on one side, my eyes half closed; I was listening to the silence of the house.

‘Yes, about mouse-sized,’ Lockwood admitted. ‘Suppose it might have been a vole. I expect a cat got it or something.’
‘So . . . possibly not part of our case, then, if it was a mouse?’
‘Probably not.’

Beyond the frosted panes, in the interior of the house, I spied a movement: something shifting in the hall’s black depths. ‘OK, here we go,’ I said. ‘She’s coming. Remember what I said.’

Lockwood bent his knees and picked up the duffel bag beside his feet. We both moved back a little, preparing pleasant, respectful smiles.

We waited. Nothing happened. The door stayed shut.

There was no one there.

As Lockwood opened his mouth to speak, we heard footsteps behind us on the path.
‘I’m so sorry!’ The woman emerging from the mists had been walking slowly, but as we turned she accelerated into a token little trot. ‘So sorry!’ she repeated. ‘I was delayed. I didn’t think you’d be so prompt.’

She climbed the steps, a short, well-padded individual with a round face expanding into middle age. Her straight, ash-blonde hair was fixed back in a no-nonsense manner by clips above her ears. She wore a long black skirt, a crisp white shirt, and an enormous woollen cardigan with sagging pockets at the sides. She carried a thin folder in one hand.
‘Mrs Hope?’ I said. ‘Good evening, madam. My name is Lucy Carlyle and this is Anthony Lockwood, of Lockwood and Co. We’ve come about your call.’

The woman halted on the topmost step but one, and regarded us with wide grey eyes in which all the usual emotions featured. Distrust, resentment, uncertainty and dread – they were all there. They come as standard in our profession, so we didn’t take it personally.

Her gaze darted back and forth between us, taking in our neat clothes and carefully brushed hair, the polished rapiers glittering at our belts, the heavy bags we carried. It lingered long on our faces. She made no move to go past us to the door of the house. Her free hand was thrust deep into the pocket of her cardigan, forcing the fabric down.

‘Just the two of you?’ she said at last.
‘Just us,’ I said.
‘You’re very young.’

Lockwood ignited his smile; its warmth lit up the evening. ‘That’s the idea, Mrs Hope. You know that’s the way it has to be.’
‘Actually, I’m not Mrs Hope.’ Her own wan smile, summoned in involuntary response to Lockwood’s, flickered across her face and vanished, leaving anxiety behind. ‘I’m her daughter, Suzie Martin. I’m afraid Mother isn’t coming.’

*

La traduction au plus proche.

1

Des premières hantises sur lesquelles j'ai enquêté avec Lockwood & Co. j'ai l'intention d'en dire peu, en partie pour protéger l'identité des victimes, en partie à cause de la nature macabre des incidents, mais surtout parce que, de diverses manières ingénieuses, nous avons réussi à les confondre. Voilà, je l'ai admis !

Pas une seule de ces premières affaires ne s'est terminée aussi proprement que nous l'aurions souhaité.

Oui, l'Horreur de Mortlake a été chassée, mais seulement jusqu'à Richmond Park, où elle rôde encore la nuit parmi les arbres silencieux. Oui, le Spectre gris d'Aldgate et l'entité connue sous le nom de Clattering Bones ont été détruits, mais pas avant plusieurs autres morts (et, je pense maintenant, inutiles). Quant à l'ombre rampante qui hantait la jeune Mme Andrews, au péril de sa santé mentale et de l’ourlet du bas de sa jupe, où qu'elle puisse continuer à errer dans ce monde, la pauvre, elle la suit aussi. Ce n'est donc pas exactement un dossier sans tache que nous avons emporté avec nous, Lockwood et moi, lorsque nous avons emprunté le chemin du 62 Sheen Road par cet après-midi brumeux d'automne et que nous avons sonné en hâte.

Nous nous tenions sur le pas de la porte, dos à la circulation étouffée, et la main droite gantée de Lockwood agrippée au cordon de la sonnette. Au fond de la maison, les échos s'estompaient. Je regardai la porte : les petites cloques de soleil sur le vernis et les éraflures sur la boîte aux lettres ; les quatre carreaux de verre dépoli en forme de diamant qui ne montrait rien sinon l'obscurité. Le porche avait un air abandonné et inutilisé, ses recoins étouffaient sous les mêmes feuilles de hêtre détrempées qui jonchaient le chemin et la pelouse.

"OK, je dis. Souviens-toi de nos nouvelles règles. Ne dis pas tout ce que tu vois. Ne spécule pas ouvertement sur qui a tué qui, comment ou quand. Et surtout, ne te fais pas passer pour le client. S'il te plaît. Ça ne se passe jamais bien.
— Ça fait beaucoup de choses à ne pas faire, Lucy, dit Lockwood.
— Et c'est bien vrai.
— Tu sais que j'ai une excellente oreille pour les accents. Je copie les gens sans réfléchir.

— Bien, copie-les discrètement après l'événement. Pas fort, pas devant eux, et surtout pas quand il s'agit d'un docker irlandais d'un mètre quatre-vingt-dix avec un défaut d'élocution, et que nous sommes à un bon kilomètre de la voie publique.
— Oui, il était vraiment très agile pour sa taille, répondit Lockwood. Quand même, la poursuite nous aura tenus en forme. Tu as senti quelque chose ?
— Pas encore. Mais c’est peu probable que ça m’arrive là, dehors.
— Et toi ? »

Il lâcha le cordon de sonnette et fit quelques ajustements mineurs au col de son manteau. "Assez curieusement, oui. Il y a eu un décès dans le jardin au cours des dernières heures. Sous ce laurier, à mi-chemin sur le chemin.

— J’imagine que tu vas me dire maintenant que ce n’était qu'une toute petite lueur. » J'avais la tête penchée sur le côté, les yeux mi-clos, j'écoutais le silence de la maison.
« Oui, de la taille d'une souris, admit Lockwood. Je suppose que ça aurait pu être un campagnol. Je suppose qu'un chat l'a eu ou quelque chose comme ça.
— Donc... si c'était une souris, ça ne ferait pas partie de notre affaire ?
— Probablement pas. »

Au-delà des vitres givrées, à l'intérieur de la maison, j’aperçu un mouvement : quelque chose qui bougeait dans les profondeurs noires du hall. « OK, je dis. "Elle arrive. Rappelle-toi ce que j'ai dit. »

Lockwood plia les genoux et ramassa le sac de voyage à ses pieds. Nous avons tous deux reculé d’un pas, préparant des sourires agréables et respectueux.

Nous attendîmes. Il ne se passa rien. La porte resta close.
Il n'y avait personne là-dedans.

Comme Lockwood ouvrait la bouche pour parler, nous entendîmes des pas derrière nous dans l’allée.
« Je suis vraiment désolée ! » La femme qui émergeait de la brume marchait lentement, mais quand nous nous sommes retournés, elle accéléra en un petit trot symbolique. « Vraiment désolée, elle répéta : J'ai été retardée. Je ne pensais pas que vous seriez si prompts. »

Elle gravit les marches du perron, une personne de petite taille, bien rembourrée, avec le visage rond s’avachissant entre deux âges. Ses cheveux lisses, d'un blond cendré, étaient ramenés en arrière d’un air stricte par des pinces à cheveux au-dessus de ses oreilles. Elle portait une longue jupe noire, une chemise blanche impeccable et un énorme gilet en laine avec des poches affaissées sur les côtés. Elle tenait un mince dossier dans une main.

« Mme Hope ? je dis : Bonsoir, madame. Je m'appelle Lucy Carlyle et voici Anthony Lockwood, de Lockwood et Compagnie. Nous venons au sujet de votre appel. »

La femme s’arrêta sur l'avant-dernière marche et nous regarda avec de grands yeux gris dans lesquels on pouvait lire toutes les émotions habituelles : méfiance, ressentiment, incertitude et crainte — tout y était. C'est la norme dans notre profession, nous ne l'avions donc pas pris personnellement.

Son regard se posait alternativement sur chacun de nous deux, scrutant nos vêtements soignés et nos cheveux soigneusement brossés, les rapières polies qui brillaient à nos ceintures, les lourds sacs que nous portions. Il s'attarda sur nos visages. Elle n’essaya pas de nous dépasser pour atteindre la porte de la maison. Sa main libre était enfoncée profondément dans la poche de son cardigan, forçant le tissu à descendre.

« Seulement vous deux ? dit-elle enfin.
— Seulement nous, je répondis.
— Vous êtes très jeunes. »

Lockwood fit son sourire à 100.000 watt. La chaleur de celui-ci illumina la soirée : « C'est l'idée, Mme Hope. Vous savez bien que àa se passe comme ça.

— En fait, je ne suis pas Mme Hope. » Le propre sourire pâle de la dame, réponse involontaire à celui de Lockwood, flotta sur son visage et disparut, et ne resta que l'anxiété. « Je suis sa fille, Suzie Martin. Ma mère ne viendra pas, je le crains. »

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce roman.

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The Mortal Instruments: City Of Bones (2013)

Sorti aux USA et en Angleterre le 21 août 2013.
Sorti en France le 16 octobre 2013.
Sorti en blu-ray américain le 3 décembre 2013.
Sorti en blu-ray anglais le 27 janvier 2014.
Sorti en blu-ray français le 17 février 2014 (région B, sous-titres français forcés sur la version anglaise).

De Harald Zwart, sur un scénario de Jessica Postigo , d'après le roman de Cassandra Clare. Avec Lily Collins, Jamie Campbell Bower, Robert Sheehan, Kevin Zegers, Jemima West, Robert Maillet, Kevin Durand, Godfrey Gao, Lena Headey, Harry Van Gorkum, CCH Pounder, Jared Harris, Jonathan Rhys Meyers, Aidan Turner.

New-York, de nos jours, une petite maison de brique. Une jeune fille, Clary, téléphone à son ami Simon à propos d’une sortie en club dont elle ne veut pas parler à sa mère, tout en dessinant machinalement des signes cabalistiques dans la buée d’une vitre. Sa mère, Josie, et le petit ami de celle-ci rentre des courses. Quand Josie aperçoit l’un des signes tracés machinalement par Clary sur un post-it, elle le montre à son petit ami, alarmé. Et quand Clary annonce qu’elle sort, Josie lui demande de rentrer directement à la maison après.

Clary et Simon assistent de fait à un concours de poésie assez désastreux. Quand Clary se fait servir son café, elle voit dans la mousse le même symbole qui a alarmé sa mère. Quand Clary sort du café, elle aperçoit le même symbole sur l’enseigne néon d’un club, le pandémonium, et elle demande au videur sa signification. Ni le videur, ni Simon ne voient le symbole, mais l’un des clients, un genre de punk s’arrête en entendant leur conversation, et lorsque Clary demande s’ils peuvent entrer, le punk fait signe que oui, sans que les adolescents le voit, et le videur les fait rentrer.

Dans le club, Clary remarque le punk qui lui sourit, mais quand elle le suit, elle le voit avec une jeune fille brune, dont le bracelet en forme de serpent s’anime et se transforme en lasso étrangleur. Puis un autre jeune homme blond poignarde le punk. Horrifié, Clary entraîne Simon hors du club et dans un taxi. En rentrant chez elle, Clary aperçoit sa mère Josie, qui s’est endormie assise dans un fauteuil, attendant son retour.

Le lendemain, Clary se révèle avec les doigts tâchés de craie et d’encre. Puis elle réalise que sa chambre entière est tapissée de feuilles de papier sur lesquelles est tracé encore et encore le même signe qu’elle avait vu sur l’enseigne du club. Clary refuse de parler avec sa mère, qui veut la retenir, mais l’arrivée inopinée de Simon permet à la jeune fille de filer. Chez elle, sa mère découvre l’état de sa chambre. Au café, Clary remarque le jeune homme blond au poignard mais elle est la seule à le voir. Chez elle, on frappe à la porte, et comme sa mère va regarder au judas, deux brutes tatouées en tenue de bikers enfoncent sa porte : ils veulent la Coupe. Et comme la mère lui demande comment ils l’ont retrouvée, l’une des brutes répond qu’elle doit remercier sa fille pour cela.

The Mortal Instruments: la cité des ténèbres, le film de 2013

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Teen Wolf, la saison 3 de 2013 de la série télévisée de 2011Feu vert télévision

Ici la page de Amazon.fr du DVD américain de Teen Wolf Saison 3 première partie (lisible en France, sous-titré français)

Teen Wolf S03E12: Lunar Ellipse (2013)
Traduction du titre original: Ellipse Lunaire / Révolution lunaire.

Épisode précédent <> Épisode suivant.

Ici l'article de ce blog sur la série Teen Wolf (2011)

Diffusé aux USA le 19 août 2013 sur MTV US.
Diffusé en France le 4 janvier 2014 sur MTV FR.
Sorti en DVD US de la saison 3 première partie (lisible en France, sous-titré français, musique différente) le 21 mai 2013.

De Jeff Davis (également scénariste), réalisé par Russell Mulcahy, scénario de Jeff Davis et Angela Harvey d'après la comédie fantastique Teen Wolf de 1985 ; avec Tyler Posey, Dylan O'Brien, Tyler Hoechlin, Crystal Reed, JR Bourne, Melissa Ponzio, Linden Ashby, Daniel Sharman, Bianca Lawson, Charlie Carver, Max Carver, Adelaide Kane, Haley Webb, Matthew Del Negro.

Pour adultes et adolescents.

Alyson, Stiles et Scott se réveillent dans un immense souterrain carrelé de blanc et éclairé par des néons. A l’autre bout de la salle, ils aperçoivent la souche d’un énorme arbre – le Nemeton ? – dont les cercles rappellent le tatouage que Scott s’était fait faire au bras. Scott effleure la souche et se retrouve dans la forêt, la nuit où il a été mordu : il se voit chercher son inhalateur avec la lumière de son téléphone portable et découvrir le cadavre mutilé de la sœur de Derek, puis être attaqué… à deux pas du Nemeton, le vrai. De même, Stiles revoit son père l’arrêter cette nuit-là et c’est aussi à deux pas. La même nuit, Alyson était dans la voiture de sa mère qui manqua d’écraser Scott. Elle exige alors que sa mère fasse demi-tour et s’arrête au bord de la route pour vérifier s’ils n’ont pas heurté le jeune homme qui se trouvait là. Alors qu’elle explore les bois, Alyson trouve l’inhalateur. Sa mère la rejoint et jette l’inhalateur au loin, c’est-à-dire tout près du Nemeton.

Alyson, Stiles et Scott reviennent à eux pour de vrai : ils sont certains de pouvoir retrouver le Nemeton, mais leurs amis leur révèlent qu’ils sont été inconscient 16 heures – et la pleine Lune se lèvera dans moins de quatre heures. De son côté, Derek revient à lui dans les bras de Cora : la jeune fille est totalement remise et va bien mieux que Derek à présent. L’oncle Peter est lui de méchante humeur : selon lui, Derek sera bien trop affaibli pour affronter le Darach.

Teen Wolf S03E12: Eclipse Lunaire (2013)

Teen Wolf S03E12: Eclipse Lunaire (2013)

Teen Wolf S03E12: Eclipse Lunaire (2013)

Teen Wolf S03E12: Eclipse Lunaire (2013)

Teen Wolf S03E12: Eclipse Lunaire (2013)

Teen Wolf S03E12: Eclipse Lunaire (2013)

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