Stardust, le mystère de l'étoile, le film de 2007Feu orange cinéma

Stardust (2007)
Traduction du titre original : poussière d'étoile.

Sorti aux USA le 10 août 2007.
Sorti en Angleterre le 19 octobre 2007.
Sorti en France le 24 octobre 2007.

De Matthew Vaughn (également scénariste), sur un scénario de Jane Goldman ; d'après le roman de Neil Gaiman ; avec Charlie Cox, Claire Danes, Sienna Miller, Michelle Pfeiffer, Ian McKellen, Ben Barnes, Kate Magowan, Henry Cavill, Jake Curran, Peter O'Toole, Mark Strong, Jason Flemyng, Mark Heap, Rupert Everett, David Walliams, Julian Rhind-Tutt, Adam Buxton, Sarah Alexander, Joanna Scanlan, Robert De Niro, Dexter Fletcher, Ricky Gervais, Geoff Bell.

Pour adultes et adolescents.

Un philosophe, un jour, demanda : sommes-nous humains parce que nous regardons les étoiles, ou alors, les regardons-nous parce que nous sommes humains ? Sans intérêt, vraiment. Est-ce que les étoiles nous regardent en retour ? Là, c’est une bonne question. Mais cette histoire commence vraiment 150 années auparavant, à l’Académie Royale de Science, à Londres, en Angleterre, où une lettre arriva, qui contenait une très étrange requête. Elle venait d’un garçon de la campagne, et le scientifique qui la lut pensa à une sorte de plaisanterie, mais il répondit néanmoins, expliquant poliment que la requête n’avait aucun sens, et renvoya la réponse au garçon, lequel vivait dans un village nommé Mur, ainsi nommé, selon le garçon, à cause du mur qui en courait le long. Un Mur, qui selon la légende locale, cachait un trésor extraordinaire.

Ce mur était alors gardé par un vieil homme, qui expliqua au garçon, Dunston, qu’il gardait un portail donnant sur un autre monde, et s’indignait que le garçon lui demanda de le laisser passer. Le garçon lui répondit qu’il fallait être honnête : de l’autre côté du Mur, il n’y avait qu’un pré. Le gardien répondit que cela faisait des centaines d’années que le mur était là, et depuis des centaines d’années, le trou dans le mur était sous garde 24 heures sur 24. Et de menacer le garçon de le faire comparaitre devant le conseil du village. Alors le garçon fit mine de renoncer, seulement pour s’élancer et franchir le mur en courant, et le vieux gardien fut incapable de le retenir.

De l’autre côté du mur et derrière la forêt se tenait une étrange foire. Suivant les allées remplies de curiosités, comme un bocal contenant des yeux qui le suivait de son regard, des éléphants miniatures en cage… Mais ce qui retint définitivement l’attention du garçon, c’était une femme en robe bleue, à laquelle il prétendit vouloir acheter des fleurs , mais plutôt que les clochettes bleues, la jeune femme lui suggéra une goutte de neige qui lui porterait chance, et cela seulement pour le prix d’un baiser. Dunston ne se le fit pas dire deux fois : la femme lui mit la fleur à la boutonnière, ils s’embrassèrent, puis elle lui demanda de la suivre dans la roulotte. Comme il remarquait la chaîne d’argent qui retenait la cheville de la femme, elle lui avoua qu’elle était une princesse, qu’une sorcière gardait esclave. Elle demanda alors à Dunston s’il la libérerait, et aussitôt Dunston essaya de briser la chaîne avec son couteau – mais les maillons se ressoudaient aussitôt. La jeune femme expliqua : la chaîne était enchantée, et ne la libèrerait qu’à la mort de la sorcière. Alors Dunston lui demanda ce qu’il pouvait faire malgré tout, et elle le fit monter dans sa roulotte… Le Mur cachait en effet le Royaume magique de Stormhold (Fa forteresse de l’Orage). Le jeune homme revint la nuit-même dans son village en Angleterre, espérant que son aventure serait vite oubliée.

Mais neuf mois plus tard, il reçut un souvenir inattendu : le gardien du Mur lui ramena un panier contenant un bébé laissé au Mur pour lui. Son nom était Tristan… Dix-huit ans plus tard, le bébé avait grandi, ignorant tout de son héritage peu conventionnel. Mais peu importe comment le bébé est devenu garçon, car cette histoire est celle de comment Tristan Thorn est devenu un homme, un défi beaucoup plus ardu. Et pour le remporter, il devait gagner le cœur de son seul et véritable amour…

Stardust, le mystère de l'étoile, le film de 2007

Stardust, le mystère de l'étoile, le film de 2007

Stardust, le mystère de l'étoile, le film de 2007

Stardust, le mystère de l'étoile, le film de 2007

Stardust, le mystère de l'étoile, le film de 2007

Stardust, le mystère de l'étoile, le film de 2007

***

D-Wars, la guerre des dragons, le film de 2007 Feu rouge cinéma

D-Wars (20017)
Autre titre : Dragon Wars.

Sorti en Corée du Sud le 1er août 2007.
Sorti aux USA le 14 septembre 2007.
Sorti au Japon le 29 novembre 2008.

Sorti en blu-ray américain le 8 janvier 2008 (multi-régions, français et anglais DD True HD 5.1)
Sorti en blu-ray français le 4 juin 2008 (multi-régions ? français, anglais et allemand DD True HD 5.1).

De Hyung-rae Shim (également scénariste) ; avec Jason Behr, Amanda Brooks, Robert Forster, Craig Robinson, Aimee Garcia, Chris Mulkey, John Ales, Elizabeth Peña, Cody Arens.

Pour adultes et adolescents.

Tout le monde croit que le temps des dragons a passé – mais le temps des dragons vient seulement de commencer : tous les cinq cents ans, une jeune femme nait, une femme qui possède un pouvoir de l’esprit qui peut changer un serpent en le plus puissant dragon de tous... Un serpent bon utilisera sa toute-puissante pour protéger l’univers. Un serpent mauvais utilisera sa toute-puissance pour détruire le monde. Ce jour est celui de l’éveil spirituel. Ce jour est celui pour le Destin de se révéler.

De nos jours aux USA. Un hélicoptère survole de jour une banlieue américaine dans laquelle a été tracé le sillon fumant d’un serpent gigantesque. Alors que la police inspecte des épaves de voiture au milieu du sable et de la terre retournée, un amérindien fait une crise de nerf et crie que la terre n’appartient plus aux américains désormais car ils « les » ont réveillés, que la prophétie s’est révélée être vraie, que les américains cachent toutes leurs jolies choses car c’est la Fin, c’est l’avènement de la Bête, toute la ville est damnée !

L’Amérindien est écarté devant des journalistes souriants, par des policiers étonnamment patients et apparemment dépourvus de Tasers, tandis qu’un jeune homme badgé arrive en voiture. Approchant deux inspecteurs de police en costume sombre mais chemises et cravates peu discrètes, le jeune homme se présente comme Ethan Kendrick, de la chaîne CGNN. Le plus âgé lui répond qu’en guise d’explication, il lui conseille de repasser de l’autre côté de la barrière interdisant la scène du crime, car la presse n’y est pas admise.

Kendrick s’apprête à obtempérer, mais se ravise et rallume sa caméra pour filmer les expertes en train de dégager au pinceau une roche étrange. De retour à son bureau, il visionne ses images et réalise qu’il a déjà vu la roche en question – une écaille – alors qu’il n’était encore qu’un enfant, frappé d’un rayon de lumière dorée dans une étrange boutique d’antiquité. Il regarde alors une sorte de broche en or et en jade représentant une sorte de Dragon (ou un têtard ?), et en déduit que ce qui arrive alors a « quelque chose » à voir avec lui. Mais quoi ? C’est la même vieille histoire qu’un certain Jack lui a racontée, quinze ans auparavant, le jour où son père l’emmena dans un entrepôt, avec un panneau sur le mur indiquant que c’était le magasin d’antiquités de Jack. Alors enfant d’une dizaine d’année, le petit Ethan s’émerveillait de tous les objets entassés sur les tables et les étagères, notamment d’un bouddha doré, alors que son père lui rappelait qu’il ne fallait rien toucher.

Au dénommé Jack, le père vante l’imagination curieuse de son petit garçon. Jack déclare alors que la curiosité est un signe assuré d’intelligence. Le père de Ethan veut vendre à Jack un objet qu’il prétend appartenir à sa famille depuis des générations, avec beaucoup de valeur sentimentale ( !) : une dague de style arabe dans son fourreau ouvragé. Jack répond que la valeur de la dague n’est que sentimentale, mais le père de Ethan soutient que l’objet doit sûrement valoir un petit quelque chose. Jack fait la moue et en offre dix dollars. Jack prétend que l’objet a au moins un siècle d’existence et doit avoir au moins 150 dollars. Pendant ce temps, le petit Ethan avance parmi les étagères et soudain, le coffre laqué devant lequel il passe perd son verrou qui claque sur le sol. Le garçon se retourne et le coffre s’ouvre tout seul devant lui, irradiant de serpents de lumière bleue et dégageant une vive lueur dorée. Ethan reste debout sans rien faire d’autre qu’écarquiller les yeux – et il est frappé par un puissant rayon.

De son côté, le père de Ethan insiste lourdement, mais Jack ne l’écoute plus et tourne la tête en direction du bruit, puis porte la main à sa poitrine, et le regard fixe, s’effondre en gémissant. Le père d’Ethan croit alors que demander cent dollars pour sa dague de pacotille c’est trop, mais Jack répond que c’est son cœur. Le père d’Ethan propose alors d’appeler une ambulance, mais Jack refuse : il veut que l’homme aille chercher des herbes médicinales pour lui à une herboristerie au coin de Wilshire et Mariposa – et il donner à l’homme mille dollars pour sa dague.

Le père appelle son fils et le charge de surveiller Jack, promettant d’être de retour de suite – abandonnant le petit garçon au vieux monsieur bizarre ( !), qui se redresse immédiatement le père parti, l’air très en forme et le sourire aux lèvres… Jack frappe une fois dans ses mains, se lève, et déclare qu’il a enfin trouvé Ethan – et s’avance vers le petit garçon en lui demandant s’il réalise ce qu’il vient de voir. Ethan demande si Jack parle de la lumière dans la boite. Jack répond que ce que Ethan a vu, c’est l’écaille de l’Imoogi lui-même – et la lumière, c’était celle du Paradis ! Comme le petit garçon répète incrédule les mots « Paradis » et « Imoogi », Jack lui demande de s’asseoir et lui explique : Imoogi est une créature des légendes coréennes, qui se transforme en Dragon. Pour preuve, le vieil homme ouvre un vieux papier décoré : il y a bien longtemps, vivaient de grands serpents nommés Imoogies. Ils vivaient dans les cieux, avec leurs légions d’adorateurs…

Tous les cinq cents ans, un Imoogi était récompensé pour ses bonnes actions, avec la possibilité de devenir un dragon céleste. Mais pour devenir un dragon céleste, l’Imoogi devait recevoir du Paradis le don du Yuh Yi Joo – c’est le pouvoir du Yuh Yi Joo qui donne le pouvoir à l’Imoogi de se transformer en dragon. Seulement, parmi tous les grands serpents, il y en avait un malfaisant, Buraki, qui convoitait le Yuh Yi Joo, et ses adorateurs complotaient pour s’en emparer. Le Paradis ne pouvait le permettre. Il fut donc décidé de cacher le Yuh Yi Joo sur la Terre.

La Corée, en l’an 1507. Deux paysans voient une étrange étoile filante bleue tomber dans la forêt… Tout ce que le Paradis pouvait faire, c’était d’envoyer sur la Terre ses deux meilleurs guerriers, Haram, un petit enfant, et son maître Bochun, un vieillard à la longue barbe blanche, pour protéger le Yuh Yi Joo. Malheureusement, Buraki le malfaisant savait aussi où trouver le Yuh Yi juh.

***

Donnez votre avis sur ce film en nous rejoignant sur le forum Philippe-Ebly.fr

***

L'invention d'Hugo Cabret, le roman graphique de 2007Feu vert livre / BD

The Invention Of Hugo Cabret (2007)
Titre français : L’invention de Hugo Cabret.

Publié en mars 2007 à New-York chez Scholastic Inc.
Traduit en français par Danielle Laruelle en 2008 chez Bayard, relié 534 pages A5,
Réédité en novembre 2011 puis en novembre 2017 au Livre de poche.

Adapté en film en 2011.

De Brian Selznick (texte et dessin au trait).

Pour adultes et adolescents.

(Merveilleux réaliste) Hugo Cabret, un jeune orphelin, survit caché dans les toits et les murs de la Gare de Lyon à Paris où il a secrètement pris le relai de son oncle, subitement décédé. Son seul espoir désormais est de réparer enfin l’automate que restaurait son père avant de mourir dans un terrible incendie – la seule chose qui lui reste de lui.

*

Le texte et les dessins originaux de Brian Selznick de 2007 pour Scholastic Inc.

A BRIEF INTRODUCTION

THE STORY I AM ABOUT TO SHARE with you takes place in 1931, under the roofs of Paris. Here you will meet a boy named Hugo Cabret, who once, long ago, discovered a mysterious drawing that changed his life forever.

But before you turn the page, I want you to picture yourself sitting in the darkness, like the beginning of a movie. On screen, the sun will soon rise, and you will find yourself zooming toward a train station in the middle of the city. You will rush through the doors into a crowded lobby. You will eventually spot a boy amid the crowd, and he will start to move through the train station. Follow him, because this is Hugo Cabret. His head is full of secrets, and he’s waiting for his story to begin.

Professor H. Alcofrisbas.

PART ONE
1
The Thief

L'invention d'Hugo Cabret, le roman graphique de 2007L'invention d'Hugo Cabret, le roman graphique de 2007L'invention d'Hugo Cabret, le roman graphique de 2007L'invention d'Hugo Cabret, le roman graphique de 2007L'invention d'Hugo Cabret, le roman graphique de 2007L'invention d'Hugo Cabret, le roman graphique de 2007L'invention d'Hugo Cabret, le roman graphique de 2007L'invention d'Hugo Cabret, le roman graphique de 2007

From his perch behind the clock, Hugo could see everything. He rubbed his fingers nervously against the small notebook in his pocket and told himself to be patient.
The old man in the toy booth was arguing with the girl. She was about Hugo’s age, and he often saw her go into the booth with a book under her arm and disappear behind the counter.

The old man looked agitated today. Had he figured out some of his toys were missing? Well, there was nothing to be done about that now.
Hugo needed the toys.

The old man and the girl agued some more, and finally she closed her book and ran off.
Thankfully, within moments the old man had crossed his arms in front of him and closed his eyes.

Hugo crept through the walls, came out through an air vent, and hurried down the hall until he reached the toy booth. Nervously, he rubbed the notebook one last time, then cautiously lowered his hand around the windup toy he wanted…

*

La traduction au plus proche.

BRÈVE INTRODUCTION

L'HISTOIRE que je m'apprête à partager avec vous se déroule en 1931, sous les toits de Paris. Vous y rencontrerez un garçon nommé Hugo Cabret, qui, il y a longtemps, a découvert un dessin mystérieux qui a changé sa vie à jamais.
Mais avant que vous tourniez la page, je veux que vous vous imaginiez assis dans l'obscurité, comme au début d'un film. À l'écran, le soleil se lèvera bientôt, et vous vous retrouverez à zoomer sur une gare des trains au milieu de la ville. Vous vous précipiterez par les portes dans un hall bondé. Vous finirez par repérer un garçon au milieu de la foule, et il commencera à se déplacer à travers la gare Suivez-le, car c'est Hugo Cabret. Sa tête est pleine de secrets, et il attend que son histoire commence.

Professeur H. Alcofrisbas.

PREMIÈRE PARTIE
1
Le voleur


De son perchoir derrière l'horloge, Hugo pouvait tout voir. Il frotta nerveusement ses doigts contre le petit carnet dans sa poche et se dit qu'il fallait être patient.

Le vieil homme du stand de jouets se disputait avec la fille. Elle avait à peu près l'âge d'Hugo, et il la voyait souvent entrer dans le stand avec un livre sous le bras et disparaître derrière le comptoir.

Le vieil homme avait l'air agité aujourd'hui. Avait-il compris que certains de ses jouets avaient disparu ? Eh bien, il n'y avait rien à faire à ce sujet à présent.
Hugo avait besoin des jouets.

Le vieil homme et la fille discutèrent un peu plus, et finalement elle referma son livre et déguerpit.
Heureusement, en quelques instants, le vieil homme avait croisé les bras devant lui et fermé les yeux.

Hugo se faufila entre les murs, ressortit par une bouche d'aération et se précipita dans le couloir jusqu'à atteindre le stand de jouets. Nerveusement, il frotta une dernière fois le cahier, puis abaissa prudemment sa main autour du jouet à remonter qu'il voulait...

*

La traduction de Danièle Laruelle de 2008 pour Bayard.

BRÈVE
INTRODUCTION


L’HISTOIRE QUE JE VAIS VOUS CONTER se déroule sous les toits de Paris en 1931. Vous y ferez la connaissance d’Hugo Cabret, un garçon qui, un jour, découvrit un mystérieux dessin. Ce dessin allait changer à jamais le cours de sa vie.
Ne tournez pas la page trop vite ! Imaginez d’abord que vous êtes assis dans le noir, comme au cinéma avant le début d’un film. Sur l’écran, le soleil se lèvera bientôt, et un zoom vous emmènera à travers le ciel jusqu’à une gare située au cœur de la ville. Vous franchirez les portes pour survoler le hall grouillant de monde, et là, parmi la foule, vous apercevrez un garçon qui se déplace dans la gare. Suivez-le bien, car c’est Hugo Cabret. La tête pleine de secrets, il attend que l’histoire commence.
Professeur H. Alcofrisbas.

PREMIÈRE PARTIE
1
Le voleur

De son perchoir derrière l'horloge, Hugo domine tout et observe. Il caresse nerveusement le petit carnet qu’il a dans sa poche et s’encourage à la patience.

Dans le kiosque à jouets, le vieux se dispute avec la fille. Elle a à peu près l’âge d’Hugo ; il la voit souvent entrer dans la petite échoppe avec un livre sous le bras et disparaître derrière le comptoir.

Le vieillard paraît agité aujourd’hui. S’est-il aperçu qu’il lui manque des jouets ? Tant pis. C’est trop tard, personne n’y peut rien.
Hugo a besoin de ces jouets.

Le vieux et sa fille se disputent un moment encore. Enfin, elle ferme son livre et part en courant.
Par chance, le vieux marchand de jouets croise bientôt les bras et ferme les yeux.

Rampant à travers les murs, Hugo sort par une bouche d’aération puis se hâte de gagner ke kiosque. Le cœur battant, il caresse le carnet une dernière fois, et il pose la main avec précaution sur le jouet mécanique qu’il convoite…

***

Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacré à ce roman.

***

La cité des ténèbres, le roman de 2007 Feu vert livre / BD

Ici la page Amazon.fr du roman grand format The Mortal Instruments : La Cité des Ténèbres

The Mortal Instruments 1: City Of Bones (2007)
Traduction du titre original : Les instruments mortels, la cité des ossements.
Autre titre : Les Chroniques des Chasseurs d'Ombres ; La cité des ténèbres 1, la coupe mortelle.

Adapté au cinéma dans The Mortal Instruments: La cité des ténèbres (2013, City Of Bones)
Adapté en série télévisée dans Shadowhunters (2016)

Sorti aux USA le 30 mars 2007.
Sorti en Angleterre le 2 juillet 2007.
Sorti en France le 6 juin 2013 (traduction de Julie Lafon)

De Cassandra Clare.

Résumé à venir.

La cité des ténèbres, le roman de 2007  

   La cité des ténèbres, le roman de 2007

La cité des ténèbres, le roman de 2007  La cité des ténèbres, le roman de 2007

***

(traduction au plus proche)

Partie Un.

Descente dans les ténèbres.

1.

PANDEMONIUM

"Tu me fais marcher!" fit le videur, croisant les bras sur son torse massif. Il toisa le gamin à la veste rouge à la fermeture éclair remontée et secoua son crane rasé. "Tu peux pas entrer avec ce truc."

Les cinquante et quelques adolescents qui s'alignaient devant le Club Pandémonium avançaient la tête pour mieux entendre. C'était une longue attente pour être admis dans le club sans limite d'âge, surtout un dimanche, et pas grand chose en général n'arrivait dans la file. Les videurs étaient féroces et seraient tombés à bras raccourcis sur le premier qui aurait eu l'air de vouloir causer des problèmes. Clary Fray, quinze ans, qui faisait la queue avec son meilleur ami, Simon, avança la tête comme tout le monde, espérant s'amuser.

***

(texte original)

Part One

Dark Descent

 

1

 

PANDEMONIUM

 

"You've got to be kidding me," the bouncer said, folding his arms across his massive chest. He stared down at the boy in the red zip-up jacket and shook his shaved head. "You can't bring that thing in here."

The fifty or so teenagers in line outside the Pandemonium Club leaned forward to eavesdrop. It was a long wait to get into the all-ages club, especially on a Sunday, and not much generally happened in line. The bouncers were fierce and would come down instantly on anyone who looked like they were going to start trouble. Fifteen-year-old Clary Fray, standing in line with her best friend, Simon, leaned forward along with anyone else, hoping for some excitement.

***

 

Première partie:

Descente dans les ténèbres

 

1

PANEDEMONIUM

- Tu plaisantes ! dit le videur en croisant les bras sur son torse massif.
Il baissa les yeux sur le garçon au sweat-shirt rouge et secoua sa tête rasée.
- Tu ne vas pas rentrer avec ce machin.
La cinquantaine d'adolescents qui patientaient en file indienne devant le Pandémonium tendirent l'oreille. L'attente était longue avant d'entrer dans le club, surtout le dimanche, et, en général, il ne se passait pas grand chose dans la file...

***