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- Écrit par David Sicé
Vaincre ou mourir (2023)
Sorti en France le 25 janvier 2023.
De Paul Mignot et Vincent Mottez (également scénariste), sur un scénario de Nicolas de Villiers ; avec Hugo Becker, Jean-Hugues Anglade, Rod Paradot, Constance Gay, Francis Renaud.
Pour adultes et adolescents ?
(presse, aventure historique) Dans la France révolutionnaire, en 1793, après 3 ans de tranquillité au château de Fonteclose où il s'est établi après son mariage, François Athanase Charette de La Contrie se voit rappeler par des paysans en colère pour prendre le commandement de l'insurrection vendéenne. Le jeune marin va alors devenir un fin stratège et un chef de guerre, défiant la République avec son armée de paysans, de femmes et d'enfants.
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- Écrit par David Sicé
The Wandering Earth II (2023)
Traduction du titre original : La Terre errante II.
Noter que ce film est la suite du film de 2019 du même titre.
Sorti en Chine, aux USA, en Angleterre, en Australie le 22 janvier 2023.
Sorti le 27 janvier 2023 en Angleterre.
De Frant Gwo, sur un scénario de Gong Geer, Frant Gwo, d'après le roman de Cixin Liu ; avec Andy Lau, Wu Jing, Li Xuejian, Sha Yi, Ning Li, Wang Zhi et Zhu Yanmanzi.
Pour adultes et adolescents ?
(presse) L'Humanité survivante en route sur la planète Terre propulsée par des moteurs spatiaux continue de faire face à l'extinction imminente.
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- Écrit par David Sicé
Wolf Pack (2023)
Diffusé à partir du 26 janvier 2023 sur PARAMOUNT+ INT/FR.
De Jeff Davis, d'après la série de romans de Edo van Belkom ; avec Sarah Michelle Gellar, Rodrigo Santoro, Armani Jackson, Bella Shepard, Chloe Rose Robertson, Tyler Lawrence Gray.
Pour adultes et adolescents
(fantastique, loup-garou) Un van du garde-forestier roule sur une route forestière. Il s’arrête pour contempler un feu de forêt derrière les collines. Sur une autre section de la route, la circulation routière est bloquée et parmi les véhicules embouteillés, il y a un bus scolaire stationné sous le ciel embrasé. Et à bord de ce bus scolaire, le jeune Everett qui à l’aide de son téléphone portable, suit les consignes hypnotiques du Dr Weyland pour l’aider à se calmer. Un coup de klaxon le fait sursauter, Everett s’excuse auprès de son thérapeute et celui-ci reprend la séance de respiration.
Presque aussitôt, Everett propose au docteur de prendre un Ativan (calmant) de plus, sauf qu’il a épuisé sa limite. Le docteur lui demande alors s’il a couru ce matin-là. L’autre confirme : trois miles. Du Yoga ? Il en a fait vingt minutes. Everette propose de prendre juste un quart d’un cachet. Le docteur lui répond qu’il connait déjà la réponse à sa question. Et Everett confirme : il est censé repoussé ses crises d’angoisse en se répétant qu’elles ne dureront pas, qu’elles ne vont pas le tuer, et que c’est en réalité seulement une preuve que son corps est au top de sa forme.
Mais Everett objecte quand même qu’il est assez sûr que qu’être au tope de sa forme ne donne pas l’impression d’avoir un foutu poids gigantesque qui l’écrase, alors il insiste : « est-que je peux s’il vous plaît juste prendre un Ativan de plus ? »
Le docteur Wayland annonce alors qu’il va devoir rappeler Everett car on fait évacuer son immeuble. Et de demander à Everett s’il n’est pas à proximité du feu. Mais comme à l’intérieur du bus scolaire, les élèves s’agitent et se massent aux fenêtres, Everett ne répond pas… Le feu est précisément derrière le premier rideau d’arbre longeant la route, de l’autre côté d’une clairière. Comme Wayland demande à Everett s’il peut voir le feu, Wayland finit par répondre qu’il peut le voir.
Everett a ôté son casque, se lève et demande à un camarade, Connor pourquoi le bus s’est arrêté ici. Le camarade ne le sait pas, personne ne le sait. Et pendant ce temps, le feu attaque une cabane à l’orée du bois embrasé. Connor remarque alors que s’il va falloir courir, il est foutu. Comme Everett se colle à son tour à une vitre, la femme qui conduit le bus ordonne à tout le monde de se rasseoir parce qu’ils ne sont pas supposés être debouts au milieu de l’allée.
Personne n’obéit. Everett fait alors remarquer à sa voisine (Blake) une voiture arrêté non loin : il n’y a plus personne au volant, le conducteur et son passager ont abandonné leur véhicule. La jeune fille répond qu’ils vont peut-être revenir. Everett répond que peut-être ils ne voulaient pas mourir brûlés vifs dedans. Puis il pointe un autre conducteur qui abandonne sa voiture un peu plus en avant. Puis comme la jeune fille semble avoir remarqué la tremblote du jeune homme, il croit bon de préciser qu’il s’agit d’un tremblement psychogène. Peu impressionnée, sa voisine lui demande si ça n’arrive pas à tout le monde. Et Everett, presque fier, de répondre : pas autant qu’à lui.
C’est alors que les téléphones des élèves se mettent à carillonner une notification. Everett constate à voix haute que cela vient de leur école. Comme cela l’étonne que sa voisine ne consulte pas son propre téléphone, il lui demande si elle l’a perdu, et elle répond qu’elle n’en a pas, et de lui demander ce que dit le texto. Il lui demande si elle n’a pas l’autorisation d’avoir un téléphone, elle répond que non, elle a juste choisi de ne pas en avoir un, c’est un truc, il ne comprendrait p as.
Everett finit par répondre que les cours sont annulés, on ferme toutes les écoles à proximité du feu. Puis Everett insiste : pourquoi elle ne veut pas d’un téléphone et pourquoi il ne pourrait pas comprendre. La jeune fille finit par répondre que c’est un choix personnel : elle n’aime pas les téléphones, les messages électroniques, les ordinateurs parce qu’elle a ce truc au sujet des téléphones et lui a ses tremblements psychotiques — psychogénique corrige Everett, indigné. La jeune fille rétorque : « c’est quoi la différence ? — Je ne suis pas psychotique. » Et elle de lui demander s’il en est sûr.
Everett ne sait pas quoi répondre à cela et de toute façon la conversation est interrompu par l’agitation croissante des élèves qui annoncent les villes en cours d’évacuation et par ceux qui se demandent si c’est seulement par précaution ou si leurs maisons vont brûler. Alors la jeune fille se lève et interpelle une certaine Phoebe : elle veut lui emprunter son téléphone une seconde pour envoyer un message à son frère. La blonde rétorque que la jeune fille n’a pas voulu lui parler depuis plus d’un an et maintenant elle voudrait qu’elles soient à nouveau amies ? Interloquée, la jeune fille finit par répondre que non, elle veut seulement emprunter à Phoebe son téléphone. Phoebe se détourne en lâchant un « t’es pas croyable… »
Pendant ce temps, Connor est allé trouver la femme-chauffeur : il faut qu’elle ouvre les portes du bus. Celle-ci répond que si elle laisse tous les élèves courir les rues, elle pourrait perdre son travail. De plus en plus nerveux, Connor rétorque que eux pourraient y perdre leur vie. Et il pense que leur vie est plus importante que le job de crotte de celle-ci. La femme réalise alors que Connor est en train de la filmer avec son téléphone et lui demande d’arrêter. Connor qu’il n’en est pas question car la vidéo servira de preuve à ses parents quand ils récupéreront son corps carbonisé.
La femme répond qu’elle essaie de faire ce qui est bien, Connor répond que lui aussi et poursuit, mais la jeune fille qui a la phobie des téléphones vient d’attraper le téléphone et de le jeter dehors par la fenêtre. Everett est catastrophé. Connor demande à la fille quel est son foutu problème, puis utilise la manette d’urgence pour forcer l’ouverture de la porte, faire le tour du bus et aller ramasser son téléphone par terre, juste derrière une voiture abandonnée.
C’est alors que l’on entend comme une rumeur, des genres de hurlements déformés. Des conducteurs descendent de leur voiture. Connor fixe l’orée de la forêt embrasée — et une horde de chevaux mêlés de cervidés et autres animaux de la forêt en jaillit pour galoper droit vers l’embouteillage. Dans la panique, tout le monde abandonne les véhicules, sauf Everett, fasciné par un mouflon qui marche dans la direction du bus, la forêt enflammée derrière lui. La toison du mouflon et l’une de ses cornes est aussi enflamme et pourtant il s’arrête devant Everett et le regarde.
Cette fois, Everett sort du bus, mais c’est pour voir une femme se faire culbuter par un genre de cerfs. Puis c’est Connor qui lui crie de rentrer dans le bus parce qu’il y a quelque chose d’autre dehors. Connor est alors happé par quelque chose. La phobique des téléphones tombe elle sur la femme chauffeur morte lacéré. Everett l’écarte de la route juste avant qu’une voiture manque de la percuter. Alors elle lui demande s’il est stupide : il faut courir.
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- Écrit par David Sicé
Chroniques de la Science-Fiction #2023-01-23(2022)
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Ici bientôt l'index de toutes les Chroniques de la Science-fiction de 2022
Sorti le 22 janvier 2023 (première édition).
De David Sicé.
Les Chroniques sont une rubrique du fanzine l’Étoile étrange. Cette rubrique paraîtra désormais séparément pour tenir le rythme hebdomadaire de l'actualité de la Science-fiction même si le numéro complet de l’Étoile étrange n'est pas bouclé. Les numéros ont vocation à sortir rétroactivement et par anticipation, et donc à être mis à jour quand l'activité n'est pas complètement couverte.
Au sommaire, l'actualité de la semaine du 16 janvier 2023, plus les critiques de The Last of Us 2023, Megan = M3GAN 2022, Sans filtre = Triangle of Sadness 2022, Glorious = Glorieux 2022, Teen Wolf 2011, The Shadow 1994, Terreur dans l'espace = Planet of The Vampires 1965, La dame de pique = The Queen Of Spades = la reine des cartes 1949, Journal de nuit = Random Act Of Senseless Violence 1993.
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