Mondwest (1973) posterFeu vert cinéma

Westworld (1973)
Traduction du titre original: le monde de l'Ouest.

Sorti aux USA le 21 novembre 1973.
Sorti en France le 27 février 1974.
Sorti en blu-ray français le 3 avril 2012 (région 2, illisible sur les lecteurs de 2010, sans bonus, français DTS HD HR 5.1).
Sorti en blu-ray américain le 5 mars 2013 (multi-régions, piste française Dolby Digital mono et bonus inclus).

Ici l'article de ce blog sur le blu-ray français de 2012.
Ici l'article de ce blog sur le blu-ray américain de 2013.

De Michael Crichton (également scénariste). Avec Yul Brynner, Richard Benjamin, James Brolin.

Pour adultes et adolescents.

Comme des milliers d'autres clients fortunés, John Blane (James Brolin) et Peter Martin (Richard Benjamin) s'apprêtent à séjourner dans le parc d'attraction de Delos. Si ce n'est pas la première visite de Blane, Martin, lui, s'émerveille de tout : débarquant de l'aéroglisseur qui leur a fait traverser le désert qui isole complètement le parc du reste du monde, il découvre ses premiers robots, à savoir des hôtesses qui les aiguillent vers les mondes dans lequels ils peuvent séjourner - le moyen-âge, l'antiquité romaine et le monde de l'Ouest américain, leur destination. Martin est surpris du réalisme des robots, qu'on ne peut distinguer des humains que par leurs mains imparfaites. Il est surpris, et inquiété, par le réalisme du colt qu'on lui remet : ce sont de véritables balles qu'il va tirer - et pourtant tout le monde le répète : il n'y a aucun danger, le parc ne prend aucun risque.

Sous les mondes de Delos, en effet, tout un personnel d'ingénieurs s'affairent à mettre en scène les prétendues bagarres, duels et autres attaques de la banque - puis il leur faut réparer les robots constamment criblés de balles ou accidentés. Martin, encore fragilisé par son récent divorce, réapprend à se défouler, et dès son arrivée, à l'honneur d'abattre une première fois l'homme en noir (Yul Brynner), un tueur à la gâchette facile - et après un tour au bordel, il abat une seconde fois l'homme en noir. L'illusion fonctionne à merveille et Martin jubile, sans savoir que la machine à rêver se détraque, petit à petit, autour d'eux, sans que les maîtres d'oeuvre du parc d'attraction ne réalisent pourquoi, ni à quel point.

Mondwest (1973) photo

Mondwest (1973) photo

Mondwest (1973) photo

Mondwest (1973) photo

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The Starlost, la série de 1973Feu orange télévision

The Starlost (1973)
Traduction du titre original: les naufragés des étoiles.

Diffusé au Canada le 22 septembre 1973 sur CTV CA.
Sorti en DVD américain le 30 septembre 2008.

De Harlan Ellison (sous le pseudonyme de Cordwainer Bird), notamment produit par Douglas Trumbull, également aux effets spéciaux. Avec Keir Dullea, Gay Rowan, Robin Ward.

L'an 2800. Le vaisseau l'Arche, aboutissement de la civilisation terrienne de la glisse à travers l'Espace, emportant les descendants de l'Humanité répartis en une série de biosphères. Devon, Rachel et Garth ont fuient leur communauté rétrograde et découvert qu'ils ne sont pas sur une planète, mais un vaisseau en perdition ayant dévié de sa trajectoire. Ils explorent alors les différentes communautés de survivants dans l'espoir de trouver de l'aide pour changer la trajectoire de l'Arche, lancé droit sur une étoile.

The Starlost, la série de 1973

The Starlost, la série de 1973

The Starlost, la série de 1973

The Starlost, la série de 1973

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Saison 1 (1973)

The Starlost S01E01: Le commencement / Un voyage de découverte (The Beginning / Voyage of Discovery)
The Starlost S01E02: Lazare sorti des brumes (Lazarus from the Mist)
The Starlost S01E03: La déesse Calabra (The Goddess Calabra)
The Starlost S01E04: Les poissons / Le retour (The Pisces /The Return)
The Starlost S01E05: Les enfants de Mathusalem (Children of Methuselah)
The Starlost S01E06: Et seul l'humain est méprisable (And Only Man Is Vile)
The Starlost S01E07: Le circuit de la Mort (Circuit of Death)
The Starlost S01E08: La galerie de la Peur (Gallery of Fear)
The Starlost S01E09: M. Smith de Manchester (Mr. Smith of Manchester)
The Starlost S01E10: Oro l'étranger (The Alien Oro)
The Starlost S01E11: Astro-infirmiers (Astro-Medics)
The Starlost S01E12: Les implantés (The Implant People)
The Starlost S01E13: Le retour de Oro (The Return of Oro)
The Starlost S01E14 : La comète de Farthing (Farthing's Comet)
The Starlost S01E15 : La ruche (The Beehive)
The Starlost S01E16 : Le commissariat de l'Espace (Space Precinct)

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The Starlost, la série de 1973Feu vert télévision

The Starlost S01E01: Voyage of Discovery (1973)
Traduction du titre original : Un voyage de découverte.
Autre titre : The Beginning (le commencement).

Ici l'article de ce blog sur la série télévisée The Starlost (1973).

Diffusé au Canada le 22 septembre 1973 sur CTV CA.
Sorti en DVD américain le 30 septembre 2008.

De Harlan Ellison (sous le pseudonyme de Cordwainer Bird), notamment produit par Douglas Trumbull, également aux effets spéciaux. Avec Keir Dullea, Gay Rowan, Robin Ward.

L'an 2800. Le vaisseau l'Arche, aboutissement de la civilisation terrienne de la glisse à travers l'Espace, emportant les descendants de l'Humanité répartis en une série de biosphères. Deux hommes et une femme sont parvenus à atteindre le poste de pilotage et sa baie d'observation permettant de voir l'axe du vaisseau et les nombreux dômes qui abritent les différentes communautés de survivants. Selon le premier, Devon, ils sont peut-être les premiers êtres humains depuis 400 ans à contempler cette vision. Cependant, le second homme pense qu'ils devraient revenir sur leurs pas, et Devon repense alors au jour où il fut accusé de nourrir des pensées hérétiques par le patriarche de la communauté de Cypress Corner. Malgré un premier bannissement dans les collines, parce qu'il était tombé amoureux de Rachel, que le patriarche a promis à un autre que lui, Devon continue de remettre en question les dogmes de la communauté. Orphelin, sans talent profitable à la communauté, il est, selon le patriarche, génétiquement non qualifié pour épouser Rachel.

Devon conteste tout cela, et réclame son droit à poser des questions : pourquoi leur soleil bouge ainsi ? D'où vient l'eau ? Et pourquoi il ne peut pas épouser celle qu'il aime et pourquoi Rachel ne peut pas épouser celui qu'il aime. Le patriarche répond que c'est à cause du blasphème que commet Devon. Puis le patriarche interroge la Voix de Dieu en enclenchant un interrupteur et l'appareil répond que Devon n'a pas le bon code génétique. Devon refuse d'accepter ces paroles, et le patriarche le bannit de leurs terres, annonçant les noces de Rachel et du forgeron Garth. Après l'annonce, Devon va retrouver Garth, qui l'accuse de l'avoir humilié lui et sa famille : le décret des aînés vaut loi, et Garth demande à Devon de se tenir éloigné. Devon va ensuite trouvé le vieil Abraham pour lui demander pourquoi il ne redoute pas les aînés, et s'il a tort de protester. Le vieil homme ne répond pas vraiment. Devon insiste : Abraham est traité de fou mais il n'en n'est pas un, et il n'a jamais cru dans la parole des aînés. Abraham finit par répondre qu'il ne trouve pas naturel la punition et la solitude qu'engendre les accusations sans fin de blasphème.

Plus tard, Rachel retrouve Devon en secret : il ne veut pas qu'elle épouse Garth, et elle lui répond qu'il ne peut rien y faire. Comme Devon traîne, il surprend les aînés en train d'ordonner à la machine qui parle au nom de Dieu d'enregistrer une déclaration. Le patriarche vérifie alors que ses mots sont bien enregistrés, et Devon entend pour la seconde fois le soit-disant jugement de Dieu qui proclame son arrêt de mort. Devon sort alors de derrière son buisson et accuse, s'emparant au passage d'une mini-cassette qui servait à enregistrer la voix de Dieu. Mais quand Devon se rue chez Rachel, la famille de la jeune fille ne veut rien entendre, et même Rachel ne veut pas croire les accusations du jeune homme : elle refuse de le suivre, et le chasse. Devon est alors poursuivi par les hommes de sa communauté ; il retrouve Abraham, qui veut le faire échapper à la lapidation : le vieil homme décide alors d'ouvrir une porte secrète dont il avait la clé, qu'il n'avait osé franchir et Devon se retrouve dans un couloir qui semble aller jusqu'à l'infini - et comme il s'élance, il s'envole dans les airs, précipité jusqu'à l'autre bout du couloir.

Pour ceux qui le pourchassaient, Devon est tombé dans le puits sans fond, mais pour Devon, il a simplement atterri à une intersection. Il voit alors un signe lumineux indiquant une sphère de projection, et il entre dans l’alcôve. Comme il touche le fauteuil qui s'y trouve, un visage apparait sur un écran sphérique, mais l'image est brouillée, et l'homme a tendance à ne pas terminer ses phrases ou à les répéter à l'identique... Devon demande alors si l'homme est réel, et celui-ci répond qu'il est un programme donnant des réponses pré-enregistrées.

The Starlost, S01E01: Un voyage de découverte (1973)

The Starlost, S01E01: Un voyage de découverte (1973)

The Starlost, S01E01: Un voyage de découverte (1973)

The Starlost, S01E01: Un voyage de découverte (1973)

The Starlost, S01E01: Un voyage de découverte (1973)

The Starlost, S01E01: Un voyage de découverte (1973)

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ImageFeu vert livre / BD

The Robot Who Looked Like Me (1973)

Paru en 1973 aux USA dans le magazine Cosmopolitan (la couverture en illustration est seulement représentative et partiellement restaurée).
Compilé en 1978 dans le recueil de nouvelles éponyme chez SPHERE BOOKS US.
Traduit en français en mai 1980, par Maud Perrin en grand format chez ROBERT LAFFONT (Ailleurs et Demain) ;
Réédité en 1984, réédité en poche en mai 1987 chez J’AI LU.
Adapté en film : Robots 2023.

De Robert Sheckley.

Pour adultes et adolescents.

(Comédie prospective, presse) Charles souhaite se marier. Mais il apprend de la part d'un entremetteur dont c'est le métier qu'il doit « faire la cour » à la jeune femme, Elaine, qu'il envisage d'épouser. Comme il n'a pas de temps à perdre pour ces balivernes, il se fait confectionner un robot qui lui ressemble parfaitement, et qu'il envoie à sa place pour séduire la belle…

*

Image

Le texte original de Robert Sheckley de 1978, pour SPHERE BOOKS US.

Snaithe’s Robotorama is an un prepossessing shop on Boulevard KB22 near the Uhuru Cutoff in Greater Newark.It is sandwiched between an oxygenator fatory and a protein store? The storefront display is what you would experct — three full-size humanoid robots with frozen smiles, dressed occupationally—Model PB2, the French Chef, Model LR3, the Britsh Nanny, Model JX5, the Italian Gardener. All of Them Ready to Serve You and Bring a Touch of Old-World Graciousness into Your Home.

I entered and went through the dusty showroom into the workshop, which looked like an uneasy combination of slaughterhouse and giant’s workshop. Heads, arms, legs, torsos, were stacked on shelves or propped in corners. The parts looked uncannily human except for the dangling wires.

Snaith came out of the storeroom to greet me. He was a little gray worm of a man with a lantern jaw and large red dangling hands. He was some kind of a foreigner—they’re always the ones who make the best bootleg robots.

He said, “It’s ready, Mr. Watson.” (My name is not Watson, Snaithe’s name is not Snaithe. All names have been changed here to protect the guilty.)

Snaithe led me to a corner of the workshop and stopped in front of a robot whose had was draped in a sheet. He whisked off the sheet.

It was not enough to say that the robot looked like me; physically, this robot was me, exactly and un mistakably feature for feature, right down to the textures of skin and hair. I studied that face, seeing as if for the first time the hint of brutality in the firmly cut features, the glitter of impatience inn the deep-set eyes. Yes, that was me. I didn’t bother with the voice and behavior tests at this time. I paid Snaithe and told him to deliver it to my apartment. So far, everything was going according to plan.

I live in Manhattan’s Upper Fith Vertical. It is an expensive position, but I don’t mind paying extra for a sky view. My home is also my office. I am an interplanetary broker specializing in certain classes of rare mineral speculations.

Like any other man who wishes to maintain his position in this high-speed competitive world, I keep to a tight schedule. Work consumes most of my life, but everything else is alloted its proper time and place. For example, I give three hours a week to sexuality, using the Doris Jens Executive Sex Plan and paying well for it. I give two hours a week to friendship and two more to leisure. I plug into the Sleep-inducer for my nightly quota of 6.8 hours, and also use that time to absorb the relevant literature in my field via hypno-paedics. And so on…

I had decided to get married at age 32.5 and to obtain my wife from the Guarantee Trust Matrimonial Agency, an organization with impeccable credentials. But then something quite unexpected occurred.

*

Traduction au plus proche.

Le Robotorama de Snaithe est une boutique peu attrayante située sur le boulevard KB22, près de la coupure Uhuru, dans l'agglomération de Newark, entre une usine d'oxygénation et un magasin de protéines ? L'étalage de la vitrine correspond à ce que l'on peut attendre : trois robots humanoïdes grandeur nature au sourire figé, habillés de manière professionnelle - le modèle PB2, le chef français, le modèle LR3, la nounou britannique, le modèle JX5, le jardinier italien. Tous prêts à vous servir et à apporter une touche de grâce à l'ancienne dans votre maison.

Je suis entré et j'ai traversé la salle d'exposition poussiéreuse pour me rendre dans l'atelier, qui ressemblait à une combinaison malaisée d'abattoir et d'atelier de géant. Des têtes, des bras, des jambes, des torses étaient empilés sur des étagères ou placés dans des coins. Les pièces ressemblaient étrangement à membres humains, à l'exception des fils qui pendaient.
Snaith sortit de la réserve pour m'accueillir. C'était un genre de vermisseau humain grisâtre avec une mâchoire en forme de lanterne et de grandes mains rouges qui pendaient. C'était une sorte d'expatrié — ce sont toujours eux qui fabriquent les meilleurs robots de contrebande.

Il dit : "C'est prêt, M. Watson". (Mon nom n'est pas Watson, le nom de Snaithe n'est pas Snaithe. Tous les noms ont été changés ici pour protéger les coupables).

Snaithe me conduisit dans un coin de l'atelier et s’arrêta devant un robot dont le corps était recouvert d'un drap. Il ôta vivement sur le drap.

Il ne suffisait pas de dire que le robot me ressemblait ; physiquement, ce robot, c’était moi, exactement et sans aucune erreur, trait pour trait, jusqu'aux textures de la peau et des cheveux. J'ai étudié ce visage, voyant comme si c'était la première fois le soupçon de brutalité dans les traits fermement taillés, l'éclat de l'impatience dans les yeux enfoncés. Oui, c'était bien moi. Je ne pas pris pas la peine de tester la voix et le comportement alors. Je payai Snaithe et lui dit de me livrer à mon appartement. Jusque là, tout se passait comme prévu.
J'habite dans l'Upper Fifth Vertical de Manhattan. C'est un endroit cher, mais cela ne me dérange pas de payer un supplément pour la vue sur le ciel. Ma maison est aussi mon bureau. Je suis un courtier interplanétaire spécialisé dans certaines catégories de spéculations sur les terres rares.

Comme tout homme qui souhaite se maintenir en tête dans ce monde compétitif où tout va très vite, j’ai un emploi du temps serré. Le travail occupe la majeure partie de ma vie, mais tout le reste se voit allouer une place et un temps. Par exemple, je consacre trois heures par semaine à la sexualité, en utilisant le Plan Sexuel pour Cadres de Doris Jens et en payant bien pour cela. Je consacre deux heures par semaine à l'amitié et deux autres aux loisirs. Je me branche sur l'inducteur de sommeil pour mon quota nocturne de 6,8 heures, et j'utilise également ce temps pour absorber la littérature pertinente dans mon secteur via l'hypno-pédagogie. Et ainsi de suite...

J'avais décidé de me marier à l'âge de 32,5 ans et de trouver ma femme auprès de l'agence matrimoniale du Fond de Garantie, une organisation aux références irréprochables. Mais il arriva quelque chose de tout à fait inattendu.

*

ImageImage

La traduction de Maud Perrin de 1980, pour J’AI LU FR.

Le Robotorama Snaithe est une boutique sans attrait, sise Boulevard KB22 près d’Uhuru Cutoff dans Greater New Newark entre une fabrique d’oxygénateurs et un magasin de protéines. En vitrine, noblesse oblige, des robots : trois humanoïdes au sourire figé, portant l’uniforme de leur profession — Modèle PB2, le chef cuisinier français ; Modèle LR3, la gouvernante anglaise ; Modèle JX5, le jardinier italien. « Avec eux à votre service, c’est le charme du passé qui entre dans votre foyer. »

Je traversai le magasin poussiéreux pour me rendre à l’atelier de fabrication, étrange compromis entre un abattoir et l’antre d’un monstre. Des têtes, des bras, des jambes, des bustes empilés sur les rayonnages, entassés dans les coins, tous avec une apparence humaine des plus troublantes… n’étaient les fils métalliques qui s’en échappaient.

Snaithe sortit de la réserve pour m’accueillir ; un petit homme terne et insignifiant, avec une mâchoire allongée et des mains rougeaudes au bout de ses bras ballants. Sûrement d’origine étrangère, de la race de ceux qui fabriquent les meilleurs robots de contrebande.
— C’est prêt, Mr Watson, m’annonça-t-il.

Je ne m’appelle pas Watson, ni lui Snaithe. Tous les noms ont été changés pour la sécurité des coupables.
Snaithe me conduisit vers un coin de la pièce devant un robot dont la tête était enveloppée dans un chiffon sur lequel il tira d’un coup sec.

Dire que le robot me ressemblait serait en dessous de la vérité. Physiquement c’était moi, mon double parfait, trait pour trait, jusqu’au grain de peau et à la texture des cheveux. Je le dévisageai d’un œil critique et notai, comme pour la première fois, la légère gressivité des traits bien dessinés et la lueur d’impatience dans les yeux enfoncés. A ce stade-là je ne procédai pas à un contrôle de la voix et du comportement. Je réglai Snaith et le priai de faire livrer l’objet à domicile. Jusque-là, tout marchait comme prévu.

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cette nouvelle.

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