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Firefly, la série télévisée de 2002 Feu vert télévision

Firefly S01E10: Ariel.
Traduction : Ariel. Titre canadien et français : intrusion.

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Ici l'article de ce blog sur la série Firefly (2002)

Diffusé aux USA le 15 novembre 2002 sur FOX US.
Sorti en DVD anglais le 19 avril 2004 (piste français canadien incluse, sous-titres français inclus).
Diffusé en France le 28 avril 2005 sur SERIE CLUB FR.
Sorti en Blu-ray américain le 11 novembre 2008 (multi-régions, piste français canadien incluse, sous-titres français inclus).

De Joss Whedon, avec Nathan Fillion, Gina Torres, Alan Tudyk, Morena Baccarin, Adam Baldwin, Summer Glau, Sean Maher, Mark Sheppard.

Pour adultes et adolescents.

(Space opera, Western spatial, horreur, comédie) Le Sérénité vole de nouveau à travers l’Espace. Dans le salon des passagers, Jayne a démonté l’une de ses armes pour la nettoyer en grimaçant.

Autour de la table basse, assises, Inara sur le divan, Kaylee dans un des fauteuils — disputent ce qui ressemblerait à une partie de Mah Jong très calm, à côté d’une pile de livres.

Au comptoir de la salle à manger, Simon et sa jeune sœur River font la cuisine, ou plutôt Simon remplit un bol de quelque chose qui ressemblerait à du riz pour River, qui répond très vite : « J’en veux pas. »

Simon objecte : « River, tu dois manger. » Et d’insister en prenant de l’aliment avec ses baguettes et en portant la bouchée à sa bouche : « C’est bon, ça a le goût du… » Il s’interrompt pour goûter, et grimaçant, la bouche pleine, il insiste à nouveau : « C’est bon ! »

De la table à manger sur laquelle il a étalé les parties de son arme et son nécessaire de nettoyage, Jayne intervient : « … ça a un goût de cul. »

Kaylee fait mine de s’indigner, toujours souriante : « Jayne ! » Jayne lui répond, toujours appliqué à nettoyer son arme : « Eh bien, c’est vrai. »

Dans le couloir des cabines d’équipage, à l’étage au-dessus, le pilote Wash et son épouse Zoé ont un débat. Wash argumente : « Nous n’avons même pas besoin d’aller dans un endroit chic : on pourrait juste aller au parc ou quelque chose (du genre) ; nourrir les pigeons. »

Zoé répond en souriant : « C’est sûr, nourrir les pigeons… » Et comme elle pose ses mains sur les épaules de Wash, elle achève : « Et probablement se retrouver fusiller pour avoir jeté des trucs par terre. »

Zoé le laisse et descend l’escalier de métal vers le salon des passagers. Wash suit en protestant : « Allons, c’est pas si dangereux. » Zoé réplique : « ça l’est : c’est une planète centrale, c’est sans défaut, ils ont des détecteurs — et quand il n’y a pas de détecteurs, il y a des flics. »

Wash et Zoé passent du salon des passagers à la salle à manger et Zoé de conclure : « Toutes les planètes centrales sont pareilles. »

Alors Wash prend à partie Jayne, Inara et Kaylee : « Pourriez-vous dire à mon épouse tout le plaisir qu’elle est en train de rater ? » Inara répond : « Ariel est t plutôt un endroit agréable, en fait : il y a de très beaux musées, sans oublier parmi les meilleurs restaurants du Centre (du système solaire). »

Wash veut corriger Inara à l’attention de Zoé, qui se sert du café au comptoir de la salle à manger : « Oui mais — pas aussi barbant que de la manière qu’elle le dit. Il y a euh… euh… » Wash se tourne vers Simon occupé à manger la nourriture qu’il a préparée, et Simon suggère ingénuement : « Il y a la randonnée. »

Zoé fait mine d’admettre le frénétiquement palpitant de ce genre de distraction, alors que Simon poursuit son énumération : « Et vous pouvez aller nager dans un lac bio-luminescent. »

Plein d’espoir, Wash hoche la tête, mais Zoé répond : « Je me fiche de savoir s’il y a des couchers de soleil toutes les heures de la journée, je ne poserais pas le pied sur cette planète. »

Et le capitaine Malcom Reynolds de faire son entrée dans la salle à manger : « Personne ne posera le pied sur ce caillou à la mode : je refuse que quiconque quitte ce vaisseau ; et même en y rependant, je refuse que quiconque la regarde par une fenêtre, ou parle à voix haute ; on est juste là pour déposer Inara et c’est tout. »

Jayne objecte : « Quel intérêt de visiter le Centre si je ne peux même pas débarquer ? » Mal marmonne : « Tu n’avais qu’à débarquer avec le pasteur Book à l’Abbaye des Portes des Thermes : tu aurais pu être à méditer sur les merveilles de ton jardin de pierres à présent. »

Jayne soupire et admet : « … ça serait toujours mieux que juste rester assis là. » Wash objecte : « (Méditer) c’est juste rester assis. »

Alors Zoé demande : « Alors combien de temps est-ce que vous resterez à planète ? » Inara répond : « Cela ne devrait pas durer plus d’un jour ou deux. » Pendant ce temps, River regarde fixement Jayne qui lèche la lame son grand couteau de combat.

Wash, qui s’est vautré dans un grand fauteuil, remarque : « C’est une longue escale, juste pour renouveler votre permis de Compagner. » Puis il demande : « Est-ce que je peux utiliser (le mot) Compagne en tant que verbe ? » Inara rit : « C’est la loi de la Guilde : elle exige de tous les compagnons qu’ils subissent un examen médical une fois par an. »

Jayne se râcle alors audiblement la gorge et crache sur sa lame. Simon, toujours à manger, ferme douloureusement les yeux. Puis il essaie : « Pourriez-vous — ne pas — faire ça quand nous… Jamais ! » Jayne regarde le jeune médecin et crache à nouveau. Simon, écœuré, quitte la table à manger.

Wash reprend : « Alors, deux jours à l’hôpital, c’est affreux ! Est-ce que vous ne haîssez pas les docteurs (à force) ? » Offensé, Simon se retourne vers Wash : « Hé ! » Wash corrige aussitôt : « Je voulais dire, ceux qui sont actuellement en notre compagnie exclus… »

Et pendant ce temps, River a pris un couteau de boucher dans le pot à couverts derrière le comptoir. Jayne répond, sarcastique : « N’excluons personne, ce serait impoli… »

Très fier de son bon mot, il n’a pas vu River se glisser derrière lui — et la jeune fille lui taillade alors la poitrine, et le mercenaire pousse un cri de douleur, puis bondit de sa chaise et envoie une baffe magistrale à River, précipitée au sol.

Tout le monde s’est levé de son siège et se précipite, Simon s’exclamant : « Que Diable ? River, non !!! » Auprès de Jayne qui est retombé sur sa chaise et Zoé constate : « Il saigne, c’est profond ! »

Mal, lui s’est précité auprès de sa jeune sœur : « Est-ce que ça va ? ». River saigne de la lèvre, et fixe à nouveau Jayne, qui ahane de douleur ; elle déclare : « Il est mieux en rouge. » devant tout l’équipage, horrifié.

Dans l’infirmerie, Jayne, que recoud Simon, accuse devant son capitaine : « La gorram de flippante est complètement déjantée ! » Simon s’excuse platement : « Je suis désolé à ce sujet, je ne sais pas ce qui… » Jayne rétorque : « La ferme, je te parle pas ! »

Puis il ajoute à l’attention de son capitaine : « Faut qu’elle dégage, les deux doivent dégager : Ariel est est un endroit aussi bien que n'importe quel autre pour les abandonner ; on pourrait même s’offrir une récompense pour nos ennuis. » Malcom Reynolds répond simplement : « Personne ne sera abandonné. »

Jayne insiste : « Sa place est dans un asile de piqués ! Si tu ne l’arraches pas de ce vaisseau maintenant, j’te jure que… »

Son capitaine revient alors à lui, menaçant : « Tu quoi ? Tu me jure que quoi, Jayne ? » Jayne répond simplement : « S’ils ne dégagent pas, — va falloir commencer à verrouiller vos cabines la nuit : la prochaine fois que la p’tite sœur est d’humeur massacrante, ça sera p’têt’ toi qu’elle viendra chercher ; ou peut-être Kaylee — ou Inara : tu les laisses rester, on verra bien qui. »

Firefly S01E10: Intrusion (2002)

Firefly S01E10: Intrusion (2002)

Firefly S01E10: Intrusion (2002)

Firefly S01E10: Intrusion (2002)

Firefly S01E10: Intrusion (2002)

Firefly S01E10: Intrusion (2002)

Firefly S01E10: Intrusion (2002)

Firefly S01E10: Intrusion (2002)

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.

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