Ergo Proxy S01E02: 良き市民の告白/confession (2006)
Romanji : Yoki Shimin no Kokuhaku/confession.
Traduction : Méditation 2, confession.
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Ici la page de ce blog consacrée à la série animée Ergo Proxy 2006.
Diffusé au Japon le 4 mars 2006 sur WOWOW JA.
De Shukō Murase sur un scénario de Dai Satō, avec les voix de Kōji Yusa, Rie Saitō, Kiyomitsu Mizuuchi, Akiko Yajima.
Pour adultes et adolescents ?
(cyberpunk, dystopie, robots) Des bips, tintements et cliquetis électroniques et une voix d’homme qui égrène : « ...35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42... »
Quatre silhouettes dont deux androïdes d’entourage flanquant chaque humain qu’ils gardent. Ils sont devant un écran lumineux géant, et parmi eux, assise en tailleur sur un petit cube, l’inspectrice Real Mayer. Comme le portrait d’un jeune homme, numéroté 140 est surligné après un nouveau bip, Real répond : « Non. »
Puis le numéor 141 ; la légende précise à chaque fois que ce sont des émigrants. Real répète « Non. » à chaque fois, et comme ils en sont au numéro 169, Real s’exclame avec un geste de colère : « Aucun d’entre eux ! »
L’androïde lui répond : « C’est tout ce qu’on a en archive. » L’humain qu’il garde, un homme jeune falot suggère : « Vous ne l’avez vu qu’un instant avant de vous évanouir. » Et d’ordonner : « On va recommencer plus lentement. »
La gynoïde à côté de Real répond : « Reprenons au premier. » Real proteste immédiatement, pointant du doigt l’écan : « Je vous l’ai dit : la chose qui m’a attaquée n’est pas l’un d’eux ! »
Le jeune homme falot soupire : « Encore cette histoire de monstre ? » Se levant, Real insiste : « Il doit avoir laissé une trace : il faut retourner là-bas immédiatement ! »
Alors la gynoïde pose sa main sur l’épaule de Real. Real sursaute. Fermement, la gynoïde rassied Real sur le cube devant l’écran, la repositionnant telle une poupée. Le jeune homme falot répond : « Nous avons inspecté chaque octet de donnée enregistré par votre système de surveillance et votre entourage, sans succès.
Real grimace et accuse : « C’est un complot ! La Sûreté a dû effacer certaines données : elle a trahi les Renseignements — Non, le Gouvernement. »
Alors la Gynoïde annonce : « Rapport biométrique : accélération du rythme cardiaque. » Real rétorque, haineuse : « On ne t’a rien demandé ! » Le jeune homme falot intervient : « Je vous en prie, essayer de vous calmer : vous êtes tout de même la petite-fille du Régent... »
Les yeux de Real se rétrécissent, et elle répond, plus bas : « Ne me dis pas ce que je dois faire. »
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
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