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Parmi les nouveautés du mois (programme de parution complet)
Critiques nooSFere (toutes les critiques)
nooSFere - Bruno Para, 27/04/2024

Le lecteur adolescent en a rêvé, le lecteur adulte est comblé. Il y a quarante ans, quand je lus « La Clef laxienne » dans Histoire à rebours (sans doute pas le premier texte de Sheckley que je lisais, et clairement pas le dernier), ce fut une révélation. Ce duo Arnold et Gregor, le premier plutôt spécialisé dans les affaires mais à l'enthousiasme un peu trop précipité, le deuxième davantage versé dans la technique et d'un naturel extrêmement prudent, fonctionnait (lire la suite)
nooSFere - David Soulayrol, 26/04/2024

Rien n'est plus facile que de résumer Les dépossédés d'Ursula K. Le Guin. D'abord, une dualité de lieux simples à identifier : le système Cetien, composé d'une planète semblable à la Terre, Urras, et de sa lune Anarres. Sur cette dernière vivent les héritiers d'Odo, une femme qui est parvenue à obtenir l'exil volontaire et l'indépendance d'une fraction de la population rejetant le système politique de la principale nation d'Urras. Et parmi eux, des dizaines (lire la suite)
nooSFere - Claude Ecken, 26/04/2024

Lola Lokidor, la taxi-girl de l'espace, également masseuse comme nous l'apprend Rufus Tucru, son voisin amoureux qui vend des encyclopédies de Diderot et d'Alembert g'lactiques, a déjà connu chez le même éditeur un opus intitulé Deux Aventures spatiales et culinaires de Lola Lokidor & Rufus Tucru. Le couple semble bien parti pour poursuivre sur cette lancée, ce dont seuls les grincheux seraient susceptibles de se plaindre, ceux qui détestent les loufoqueries, l'absurde et les fulgurances surréalistes. (lire la suite)
nooSFere - Lucie Chenu, 08/04/2024

La guerre a pratiquement détruit la Terre et ses habitants. Les Oankali, des extraterrestres, ont sauvé les survivants et les ont maintenus en stase, le temps de réparer la planète. Leurs motifs, toutefois, sont loin d’être altruistes : ils en ont après l’ADN des humains. Plus clairement, le but des Oankali est de s’hybrider avec les Terriens, en les intégrant dans leurs familles, de sorte à concevoir des enfants « façonnés » – c’est ainsi qu’ils agissent avec tous (lire la suite)
nooSFere - Patrice Hildgen, 06/04/2024

Kim Stanley Robinson commence ce roman par un examen très pointu des vastes problèmes écologiques, climatiques, économiques et catastrophiques que l'humanité génère. Le début du roman se situe après la COP28 et les accords de Paris. Un organisme international est mis en place pour faire le suivi des problèmes et des solutions. L'inventaire des problèmes est mené sans concessions avec la précision que l'on connaît de Robinson. Les problèmes d'effondrement de la biodiversité, (lire la suite)
nooSFere - Claude Ecken, 30/03/2024

Faruk, un vampire jeune et séduisant d'apparence, qui accuse déjà plusieurs siècles d'existence, squatte les bas-fonds de San Francisco où personne ne lui conteste le sang qu'il prélève sur les junkies, lorsqu'il est engagé par le puissant tuteur d'une adolescente, Barbara, pour veiller sur elle au lycée où il n'est pas possible de lui adjoindre des gardes du corps. Il ignore la raison pour laquelle elle est en danger, laquelle a à voir avec la mort de son père, ami du tuteur en question. (lire la suite)
Critiques externes (toutes les critiques)
Bifrost - Apophis, 01/10/2020

    L’École des assassins est une œuvre post-cyberpunk où, en 2047, de quasi-super-vilains créés par génie génétique, nanotechnologie, manipulation quantique, voire par un entraînement tiré des enseignements de ce même Miyamoto Musashi au centre de La Voie du sabre, servent d’assassins d’élite à une transnationale sans scrupules, dans un monde où l’espionnage industriel, le meurtre et l’attentat sont devenus des pratiques commerciales parmi (lire la suite)
Bifrost - Philippe Boulier, 01/10/2020

    Si l’on fait le compte, on constate que Thomas Day n’a pas produit tant de science-fiction que ça, et moins encore si on ne prend en compte que la forme longue. Tout juste L’École des assassins, co-écrit avec Ugo Bellagamba, et, si l’on souhaite pousser le sadomasochisme littéraire jusqu’à admettre son existence, Resident Evil. Et aussi (et surtout), ce Daemone que l’auteur visitera à deux reprises.     Daemone Eraser est un fantôme, ou du moins un homme (lire la suite)
Bifrost - Apophis, 01/10/2020

    Fausse fantasy relevant en réalité d’une SF post-apocalyptique, ce premier roman de son auteur convoque, sur sa quatrième de couverture, Moorcock et Shakespeare. On est loin de l’un comme de l’autre : les personnages stéréotypés aux noms ridicules de Day n’ont en rien l’impact de ceux du père de Hawkmoon, et leurs tourments amoureux et moraux génèrent plus l’ennui qu’autre chose. Sentiment d’ailleurs exacerbé par une absence quasi-totale de rythme (lire la suite)
Bifrost - Thomas Day, 01/10/2020

    Présences d’esprits fête sa centième avec un gros numéro de 86 pages bourrés de témoignages ou d’interviews express : Aurélie Wellenstein, Elisabeth Vornarburg, Jean-Pierre Fontana, Estelle Faye, Laurent Genefort, Jeanne-A. Debats, Karim Berrouka (sous l’influence de plusieurs substances illicites mélangées à sa mousse au chocolat), Mélanie Fazi, Lionel Davoust, Elodie Serrano, Alain Eyrolles.     Bon, on ne va pas se mentir, cette choucroute-cassoulet d’autocongratulations (lire la suite)
Bifrost - Thomas Day, 01/10/2020

[critique commune des n° 64 et 65]       Je suis aveugle, je suis aveugle !     « Maître, je suis arrivé chez vous à l’âge de six ans. Les trois premières années, j’ai appris à cuire le riz et à passer le balai. Les trois années suivantes, j’ai appris à découper des algues, rouler des sushis et brasser votre saké, à raison de plusieurs litres par jour. Une fois terminée ma sixième année à votre service, (lire la suite)
Bifrost - Pierre Charrel, 01/10/2020

    Nous rêvions d’Amérique est l’un des titres de la (défunte) collection « Série grise », initiative des éditions Baleine au début des années 2000. Répondant à une ligne éditoriale imaginée par Jean-Bernard Pouy (l’homme du « Poulpe »), cette « Série grise » proposait des textes courts, imprimés en (très) gros caractères. Comme le suggérait sa couleur évoquant celle des chevelures (lire la suite)
Dans l'encyclopédie (tous les articles)
Europe n°751/752, pp. 15-26 - Roger BOZZETTO

          « L'essentiel cependant reste obscur »           M. Blanchot.           Le fantastique « fin de siècle » est mal connu, on tend presque à l'éviter, et l'on ne s'y réfère que pour quelques textes. On oublie que cette époque a produit — entre autres — des récits nombreux, et d'une qualité qui rivalise aisément avec ceux des « grandes » périodes du fantastique, aussi bien celle du romantisme que celle, « classique », de Maupassant — par ailleurs contemporain de Jean Lorrain, Marcel Schwob et Robert Louis Stevenson.           Cette occultation et ce mépris tiennent au fait que la notion (lire la suite)
Kronozone, Delcourt, Série B - Roland C. WAGNER

     J'ai toujours rêvé de voir un de mes livres illustré par Caza, et ça ne serait pas de refus s'il pouvait les illustrer tous. Ce rêve remonte au début des années 70, à l'époque de ma découverte de la science-fiction et de mes premières tentatives littéraires. Il y avait Galaxie, cette revue aux couvertures bariolées qui, après avoir fait la part belle à des illustrations tirées du magazine étatsunien dont elle était l'édition française, (lire la suite)
Le Cabinet noir n°47 - Jean-Baptiste BARONIAN

     On doit à Robert Bloch près de quatre cents nouvelles, publiées entre 1935 et 1994 (année de sa mort). C'est énorme, c'est presque prodigieux. C'est presque prodigieux si on tient compte du fait que, dans ce vaste ensemble, les textes de second choix sont minoritaires, quand bien même plusieurs dizaines d'entre eux ne constituent que des variantes autour de quelques thèmes analogues et mettent en scène des personnages qui semblent tous être des petits ou des grands frères, des cousins proches ou éloignés (lire la suite)
nooSFere - Sylvie MILLER

          1.2.3.           Mon nom est Elia Barceló. Je suis née en 1957 à Alicante, en Espagne, et je vis depuis vingt ans en Autriche, où je suis professeur de littérature hispanique et d'écriture créative à l'université d'Innsbrück.           4. Trois œuvres de science fiction  :           Sagrada, Barcelone 1989, éd. B.           Roman (170 pages) de science fiction avec des éléments de « fantasy  ». Il traite le thème d'une civilisation matriarcale qui refuse de se laisser absorber par le processus globalisateur mené par la Fédération des Mondes. Une tueuse professionnelle, envoyée sur (lire la suite)
Prochains événements (tous les événements)
du 23/05/2024 au 26/05/2024

23e édition, Epinal (Vosges). Site officiel : https://www.imaginales.fr/
du 24/05/2024 au 25/05/2024

Ukronies du Gang, Marmande (Lot et Garonne). Site officiel : https://lesukronautes.fr/
du 07/06/2024 au 09/06/2024

10e édition, Nice (Alpes Maritimes). Site officiel : https://nice-fictions.fr/
du 15/06/2024 au 16/06/2024

Festival des littératures populaires et de l'imaginaire, Redon (Ille et Vilaine). Site officiel : https://www.mysteriales.fr
du 08/08/2024 au 12/08/2024

Convention mondiale de science-fiction, Glasgow (Ecosse). Site officiel : https://glasgow2024.org/
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