Y : The Last Man, le dernier homme, la série de 2021Feu rouge télévisiontoxique

Y: The Last Man (2021)

Attention : la production de cette série trahit la bande dessinée originale en altérant profondément ses personnages, ses lignes d'intrigues, ses messages. La série gâche également les effets dramatiques, supprime l'humour, supprime les jeux avec l'imagination du spectateur.

Productions et actrices se vantent de détourner la série au service de la propagande LGBT et la série s'inscrit dans le récent mouvement révisionniste incitant à la violence et la haine , en particulier de toute personne qui aimerait le sexe opposé. Elle justifie les exécutions hors la loi, hors jugement par des assassins du gouvernement américain, et l'assassinat par la femme qui les baise des hommes mariés qui ne veulent pas abandonner leur femme de crainte de ne plus voir leurs enfants.

Tous les passages de la bande dessinée sur les femmes héroïques à travers le monde sont censurés mis à part une allusion à Israël qui ne répond plus au téléphone quand le président des Etats-Unis a besoin de prendre une décision. Seul point positif, la production a apparemment abandonné l'idée que les hommes opérés pour ressembler à des femmes auraient survécus à la catastrophe quand bien même ils seraient porteur du gène Y.

Ne regardez pas cette série si vous êtes fatigué, malade ou stressé, n'en discutez pas sur Internet ou ailleurs car toutes ces provocations de la production visent à faciliter le fichage des citoyens en vue de leur censure, brimade et harcèlement, lisez impérativement la bande dessinée originale avant de regarder la série télévisée, en particulier parce que la production ment sur le contenu de la bande dessinée pour justifier des altérations injustifiables du point de vue du respect de l'oeuvre, des auteurs, des lecteurs et des spectateurs.

Une saison de 10 épisodes de 45 minutes chaque environ.

Annoncé aux USA à partir du 13 septembre 2021 sur FX US.

De Eliza Clark, d'après la bande dessinée de Brian K. Vaughan, dessiné par Pia Guerra. Avec Diane Lane, Ben Schnetzer, Olivia Thirlby.

Pour adultes.

Un singe capucin explore les habitacles des voitures abandonnées dans les rues d’une grande ville… jonchée de cadavres en costumes de ville. Suis-je en train de regarder un épisode de plus (= de trop) de The Walking Dead ? Je n’en sais rien. En haut d’un immeuble, un hélicoptère repose en équilibre impossible à l’angle du toit en terrasse. Le maître du singe est un jeune homme chevelu et barbu qui retire son masque à gaz dès que la caméra est sur lui, sinon personne ne l’aurait reconnu, ce qui était le but de porter le masque dans la bande dessinée originale. A part lui, absolument personne dans la rue, mais autant de monde que vous voulez aux étages.

Comme l’hélicoptère se met à basculer, le singe capucin va se placer exactement au point d’impact, ce qui donne la première scène d’action de la série, le maître du singe qui se précipite pour sauver le singe, après que l’hélicoptère ait commencé sa chute, certainement plus rapide que l’être humain qui traverserait la rue pour dépasser la zone d’impact et sauver le singe… mais le singe et l’humain s’en tirent sans une égratignure et l’hélicoptère s’écrase après une chute de peut-être quatre étages sans projeter un seul éclat de verre ou autre, seulement de la poussière numérique. Miracle de la physique de jeu vidéo allié à l’impossibilité budgétaire de réellement faire tomber l’hélicoptère sans abîmer la façade et le trottoir.

Générique : des femmes traversent fièrement une place la tête haute sans broncher ni porter secours aux hommes qui s’écroulent autour d’elles... Imaginez maintenant la même scène en inversant les sexes.

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