The cat and the canary, La volonté du mort, le film de 1927Feu vert cinéma

The cat and the canary (1927)
Traduction : le chat et le canari.
Titre français : la volonté du mort (The Will of The Dead Man).

Notez que ce film a été cinq fois refait, en particulier avec le Mystère de la Maison Norman de 1939.

Sorti à New-York le 9 septembre 1927 (muet, noir et blanc teinté).
Sorti en Angleterre le 3 octobre 1927.
Sorti en blu-ray anglais EUREKA UK le 22 avril 2024 (Masters of the cinéma, format original 1.37:1, barres noires sur les côtés, teinté, 1080p, son HDMA 5.1 musique originale de Hugo Riesenfeld avec bruitages, nombreux bonus, jaquette réversible pour montrer l'un des posters originaux, livret inclus à l'intérieur du coffret)
Sorti en blu-ray américain EUREKA US le 23 avril 2024 (identique à l'édition UK)

De Paul Leni, sur un scénario de Robert F. Hill, Alfreda Cohn, Edward J. Montagne, d’après la pièce de théâtre de John Willard, avec Laura La Plante, Creighton Hale, Forrest Stanley, Tully Marshall, Gertrude Astror, Flora Finch, Artur Edmund Carew, Martha Mattox, George Siegmann, Lucien Littlefield ; produit par Carl Laemmle.

Pour adultes et adolescents

(Mystère fantastique, épouvante, comédie policière) Sur une colline solitaire recouverte de pins, surplombant l’Hudson, se dressait le manoir grotesque aux toits pointus d’un millionaire excentrique.

La médecine ne pouvait plus rien faire pour Cyrus West, dont les parents avides, tels des chats tournant autour d’un canari, l’avait poussé au bord de la folie. Dans des visions de chats noirs géants, griffus, aux crocs acérés qui le serraient pour le dévorer, il s’écroula dans son fauteuil, finalement terrassé.

Selon sa propre volonté, l’enveloppe contenant son testament devait être ouverte vingt années après sa mort. Mais il avait aussi laissé une seconde enveloppe qui ne devait jamais être ouverte dès lors que les consignes qu’il avait laissée étaient respectées.

Et vingt années durant, il fut dit que le fantôme tourmenté de Cyrus West hantait la nuit les corridors déserts de sa dernière demeure. Mais la nuit-même où le testament devait être lu, il y avait dans cette maison quelque chose de plus tangible qu’un fantôme, un visiteur chapeauté et ganté qui venait ouvrir un coffre-fort dont il connaissait la combinaison.

Et peu après, la sinistre gouvernante Mammie Plaisante tentait de faire de même, interrompu par les coups vigoureux de heurtoir à la porte d’entrée : ceux du notaire Crosby venu lire le testament de Cyrus West. Après s’être enquis de si les invités étaient arrivés, et apparemment non, il ouvre le coffre et une mite bien vivante s’en échappe alors qu’il avait lui-même fermé ce coffret il y a vingt ans de cela. Et bien entendu, les enveloppes sont décachetées.

Les invités arrivent : Harry Blythen, que le notaire reconnait ; Charlie Wilder, le cousin de Blyten —que le notaire ne reconnaît pas ; deux femmes craintives, une élégante et son chaperon, et le chauffeur de taxi moustachu refuse de les amener à l’entrée du manoir, pas pour un million de dollars ! et de les abandoner à la nuit venteuse. : Cecily et la tante Suzanne.

Arrive ensuite dans une petite voiture le binoclard Paul Jones, qui pile pour éviter d’écraser un chat noir planté au beau milieu de la route, dans le faisceau de ses phares. Comme Jones descend pour houspiller l’animal, puis se retourne pour retenir sa voiture qui avait avancé, l’un de ses pneus explose, ayant roulésur une crevasse. Immédiatement Jones se retourne apeuré, les mains en l’air ?

Et dans la bibliothèque, tous les invités, et le notaire sursautent au son de la détonation. Comme Jones s’engouffre par la porte ouverte par la gouvernante et se réfugie dans la bibliothèque, le notaire le reconnaît. Au notaire qui demande ce que c’était que cette explosion, Jones raconte, ainsi qu’à tous les autres invités, qu’on lui a tiré dessus, mais que la balle l’a manqué.

Mais il est déjà minuit et Blythen exige que le notaire lise le testament. Le notaire objecte : il manque encore Annabelle West. Justement, une autre élégande vient de frapper à la porte. Comme la jeune femme salue Jones, qui selon elle, n’a pas changé depuis que la nounou l’aura fait tombé sur la tête, tante Suzanne fait remarquer à Cecily qu’Annabelle est le portrait craché de Cyrus West, et qu’elle parierait qu’Annabelle est aussi folle que Cyrus. Ce à quoi Cecily répond que ce n’est pas le moment d’être aggressive : mieux vaut attendre de savoir qui va hériter de l’argent.

The cat and the canary, La volonté du mort, le film de 1927

The cat and the canary, La volonté du mort, le film de 1927

The cat and the canary, La volonté du mort, le film de 1927

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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