Le village des damnés, le film de 1960Feu vert cinéma

Ici la page Amazon.fr du DVD français du Village des Damnés (1960)

Village of the Damned (1960)

Ici la page de ce blog consacrée au roman Le Village des Damnés de John Wyndham.

Sorti en Angleterre le 17 juin 1960.
Sorti aux USA le 7 décembre 1960.
Sorti en France le 8 février 1961
Sorti en DVD français le 25 janvier 2006 (image 16/9ème de qualité).

De Wolf Rilla (également scénariste), sur un scénario de Stirling Silliphant, Ronald Kinnoch d'après le roman "The Midwich Cuckoos" de John Wyndham. Avec George Sanders, Barbara Shelley, Martin Stephens, Michael Gwynn, Laurence Naismith.

Pour adultes et adolescents.

La campagne paisible anglaise dans les années 1950. Un berger fait paître son troupeau de mouton. Dans son luxueux salon, où crépite joyeusement son feu de cheminé, Gordon Zellaby demande au standard téléphonique de le mettre en liaison avec le Major Alan Bernard, son beau-frère, à son numéro de Whitehall. Il raccroche, et quelques secondes plus tard, le téléphone sonne, c’est Bernard. Gordon lui demande alors de lui ramener un livre, puisqu’il vient au village. Gordon s’interrompt au milieu de la conversation et s’écroule.

À l’autre bout du fil, Bernard croit qu’ils ont été coupé et demande à l’opératrice de le remettre en liaison avec le village de Midwich. Il n’obtient aucune réponse et passe la consigne à sa secrétaire de rappeler. Chez Bernard, la secrétaire demande en vain à Gordon de raccrocher. Dehors, un paysan qui conduisait un tracteur tourne en rond jusqu’à heurter un arbre. Dans la rue, les passants gisent à terre. La standardiste de Midwich qui opère au bureau de poste est effondrée sur son standard. Dans l’appartement mitoyen, sa mère est à terre. Dans les maisons, la baignoire déborde et le fer à repasser brûle le linge. Les cloches se mettent à sonner : il est 11 heures.

A 12H15, Alan Bernard s’inquiète : il ne peut joindre personne à Midwich, et il en informe son supérieur, d’autant que l’armée fait des manœuvres à proximité. Durham prend sa voiture et roule vite le long de la route, mais s’arrête au passage d’un policier qu’il connait, et l’interroge. Or le policier vient d’être envoyé parce que le bus n’arrive pas et qu’ils n’ont aucune nouvelle par téléphone. Le bus est dans le fossé au virage suivant. Bernard s’arrête de nouveau, et le policier lui passe devant, faisant rouler son vélo en marchant à côté. Sous les yeux de Durham, le policier s’effondre.

Bernard appelle son supérieur, qui lui demande de ne pas ébruiter ce qui se passe, et envoie la troupe. Les militaires établissent un périmètre autour de Midwich et place un panneau « exercice militaire ». On approche du corps du policier un oiseau dans une cage au bout d’une perche. L’oiseau tombe. On retire la cage, l’oiseau se réveille. Le docteur du village est alors bloqué par le barrage, et voit une vache couchée sur le côté dans le champ. Puis le militaire qui s’avançait protégé par un masque à gaz s’effondre à côté du policier, et on le ramène avec la corde à laquelle il était attachée. Pour lui le soldat va bien, le poul est normal, il s’est seulement évanoui. Durham demande quand le docteur a quitté le villae ; vers 10 heures. Le soldat reprend connaissance et se plaint de ressentir un froid glacé.

Cette fois c’est un petit avion qui survole Midwich, qui ne rapporte aucun mouvement : tous les habitants sont à terre. Bernard demande au pilote de s’approcher de la surface, mais de remonter au moindre signe. Le pilote perd conscience et l’avion descend alors en piqué et s’écrase derrière un bois devant les militaires horrifiés. Ils réagissent enfin quand un second avion arrive, et le radio lance alors un appel à s’éloigner à cinq miles et à rester au-dessus des 5000 pieds. Mais comme le second avion s’éloigne, la vache qui était couchée dans le champ d’à côté se relève. Puis ce sont les passagers du bus dans le fossé qui comment à sortir. Bernard passe alors la ligne blanche qu’ils ont tracé sur la route, allant jusqu’au policier, qui à son tour reprend conscience.

De même les habitants de Midwich se relèvent, dont Gordon. Sa femme entre dans le salon pour s’excuser de s’être assoupie. Or l’horloge indique presque trois heures de l’après-midi, et elle lui demande pourquoi son mari ne l’a pas réveillé. Elle veut alors préparer le déjeuner, mais son mari lui avoue qu’il s’est réveillé à terre. La jeune femme est glacée, et tous les deux ont les doigts gourds. Ils savent désormais tous les deux qu’il leur est arrivé quelque chose mais quoi.

C’est alors qu’Alan Bernard arrive, les informe que tout le village est tombé endormi pendant plusieurs heures. Pendant ce temps, l’armée investit le message : les sols sont inspectés au détecteur de métal, les villageois sont examinés. Comme Gordon arrive, il est accostée par la responsable du bureau de Poste, qui insiste sur le fait que ce qui est arrivé n’est pas naturel, et Gordon lui demande alors de l’aider à faire taire les rumeurs. Or l’armée n’a relevé strictement aucun indice, et sans connaître la cause, ils ne peuvent déterminer les effets. L’armée demande alors à Gordon de garder un œil sur le village de Midwich.

Le village des damnés, le film de 1960

Le village des damnés, le film de 1960

Le village des damnés, le film de 1960

Le village des damnés, le film de 1960

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