Abracadabra, le film de 2017
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Abracadabra (2017)
Attention, ce film est moins une comédie qu'un épisode d'X-Files.
Sorti en Espagne le 4 août 2017.
Sorti en blu-ray espagnol le 29 novembre 2017.
Annoncé en France pour le 4 avril 2018.
De Pablo Berger (également scénariste) ; Maribel Verdú, Antonio de la Torre, Priscilla Delgado, José Mota, Josep Maria Pou, Quim Gutiérrez.
Pour adultes et adolescents.
(interdit aux moins de 12 ans) Une voie rapide où les voitures filent en vrombissant, traçant leur chemin au milieu des barres d’habitations en béton. Sous un ciel bas, la cour déserte d’une de ces mornes cités avec ses portes glauques en métal et ses stores d’entrée de garage taggués. La retransmission d’un match de foot résonne entre les hauts murs, avec du linge aux balcons. Dans un appartement, un quadragénaire s’excite : l’arbitre ne siffle jamais, qu’il siffle, espèce de trouduc ! L’homme lâche une nouvelle bordée d’insulte comme l’action se poursuit : il peut voir la faute de son fauteuil !!! Le téléphone de l’appartement se met à sonner, mais l’homme ne décroche pas, vu que l’occasion de marquer un but se présente pour son équipe. Le téléphone continue de sonner de plus belle, et l’homme est visiblement partagé. Il finit par décrocher, sans quitter des yeux l’écran, demandant agressivement : quoi ? Puis il finit par raccrocher.
Dans un salon de coiffure, une jeune fille très maquillée complimente sa mère, Carmen, en trainde friser ses cheveux face à un miroir : elle ressemble exactement à Madonna, comme sur le magazine que tient ouvert la jeune fille. Carmen s’inquiète : est-ce sa nouvelle coupe n’est pas un peu trop ? La jeune fille répond qu’au contraire, c’est une coupe p...tain de camée... Carmen répond à la jeune fille qu’elle apprenne à parler correctement sinon elle lui brûlera la langue au fer à friser. Dans le salon d’à côté, le mari crie « Allez Madrid ! » et lance de nouvelles injures. Entre Carmen souriante en talons et robe vert émeraude, strass, et nœuds assortis dans les cheveux et à la taille. Elle demande d’une voix douce comme son mari la trouve. L’intéressé, Carlos – regarde à peine et répète en ne pensant qu’au match : mauvais, mauvais, mauvais – Barcelone les domine.
Carmen hésite, perd son sourire, s’en va, et Carlos recommence à injurier son téléviseur. Carmen va dans la chambre, ramasse les affaires éparses, prépare une lessive, est interrompu par un cri de son mari venant du salon : « La bière ! ». Carmen apporte la bière, et comme elle et sa fille sont assises dans le salon et que Carlos continue de jurer et se lamenter, sa fille l’interpelle encore et encore. Carlos s’indigne : pourquoi ? Carmen répond qu’ils n’arriveront jamais à l’heure. Carlos répond qu’ils ont tout leur temps. Mais lorsqu’ils prennent la route, la voie rapide est complètement embouteillée, et du coup le père peut se concentrer sur la retransmission radio du match de foot
Ils arrivent enfin à l’église. Le mari traîne des pieds. La cérémonie en est à l’échange des consentements. Très ému, Fernando déclare vouloir prendre Isabel en mariage. La petite famille entre bruyamment, et comme ils s’assoient, un autre invité, le cousin Peter de Carmen, fait signe à l’épouse avec un grand sourire. Comme on en est moment où le marié et la mariée, faute d’une opposition, s’embrasse, Carlos, bondit sur ses pieds et hurle « nooooooon ! » : il avait gardé l’oreillette de sa radio tout le temps et Barcelone vient de marquer un but.
La mariée, qui était elle aussi très émue fait alors une crise de nerfs. Sur le parvis, Carmen déclare que celui-ci est au-delà du réparable. Carlos répond froidement qu’il se demande quel genre de c...rd place la date de son mariage le jour d’une finale de football. Carmen rétorque que le mariage était prévu depuis l’année dernière et que son neveu ne pouvait pas savoir. Carlos répond que tout le monde le savait. Le prêtre sort de l’église et attrape Carlos par le bras pour l’entraîner à l’écart : le prêtre veut connaître le score, et Carlos répond 2 à zéro. Le prêtre est dégoûté et demande qui a marqué le but ; Carlos rétorque, le nabot. Le prêtre lâche une bordée de jurons à tonalité religieuse, puis il se signe et Carlos rejoint son épouse, médusée. Arrive la mère du marié, en rouge et coiffe noire : elle veut savoir où est le riz ? Cette dernière avait en effet téléphoné tantôt à Carlos pour leur dire d’apporter du riz. Carmen est horrifiée.
Sortent les époux aux cris de Vive les mariés, et, croyant recevoir le riz sur leur tête, ils se baissent, mais aucun grain ne tombe sur eux... Puis vient la soirée dansante, au cours de laquelle Peter Strauss, le cousin de Carmen, un hypnotiste, fait un numéro censé ouvrir une porte sur la quatrième dimension. Il lui faut un volontaire. Personne ne bouge, la mère du cousin Peter se propose, puis c’est le mari de Carmen qui se présente, moqueur. Strauss l’endort et lui dit de descendre un escalator au plus profond de son inconscient – et compte à rebours. Quand Strauss lui dira Abracadabra, Carlos fera absolument tous ce qu’il veut.
Strauss dit Abracadabra. Carlos ne bouge pas. Strauss répète, et Carlos obéit : il se lève, Strauss lui tend un oignon et lui dit de mordre dans cette délicieuse orange, et Carlos lui crie de sucer sa ... et éclate de rire. Il rejoint sa table. Le téléphone de sa mère se met à sonner sur l'air de la Danse des Canards, elle n’arrive pas à l’arrêter, et comme Strauss demande un autre volontaire, Carlos arrête le téléphone puis est ébloui par la boule Disco. Il se fige, puis attrape un couteau et retourne à la scène, pour saisir Strauss et lui mettre le couteau sur la gorge. Carmen se lève et lui ordonne d’arrêter immédiatement . Carlos obéit.
Le lendemain, Carlos semble métamorphosé en un mari doux qui apporte le petit-déjeuner au lit et fait les tâches ménagères. Carmen, tout en profitant du bonheur, commence à paniquer et rappelle son cousin, Peter : il y a un problème, Carlos agit vraiment bizarrement. Seulement Peter ne sait pas quoi faire – il faut aller voir son professeur d’hypnose. Ce dernier est très intéressé par le cas de Carlos. Comme il est également dentiste, un rendez-vous est vite arrangé, et sous le yeux horrifiés de Carmen, le professeur découvre que Carlos est désormais possédé par l’esprit d’un certain Tito, Albertino, 28 ans en 1983 – et si l’esprit n’est pas rapidement chassé du corps de Carlos, la personnalité de Carlos sera anéantie. Le professeur peut exorciser l'esprit, mais Carmen doit d'abord trouver un objet personnel ayant appartenu à Albertino...
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Chroniques de la Science-fiction, Année 2018 numéro 13 - Semaine du lundi 26 mars 2018
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Chroniques de la Science-Fiction #2018-13 (2018)
Téléchargez ici l'exemplaire gratuit .pdf 14 pages A5 couleurs.
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Ici l'index de toutes les Chroniques de la Science-fiction de 2018
Sorti le 27 mars 2018 (première édition).
De David Sicé.
Les Chroniques sont une rubrique du fanzine l’Étoile étrange. Cette rubrique paraitra désormais séparément pour tenir le rythme hebdomadaire de l'actualité de la Science-fiction même si le numéro complet de l’Étoile étrange n'est pas bouclé. Les numéros ont vocation à sortir rétroactivement et par anticipation, et donc à être mis à jour quand l'activité n'est pas complètement couverte.
Au sommaire, l'actualité de la semaine du 26 mars 2018, plus la critique de Star Wars: Les derniers Jedi 2017, Au-delà du réel (1963, The Outer Limits).
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Detroit: Become Human, le jeu vidéo de 2018
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Detroit: Become Human (2018)
Noter que Detroit: Become Human 2018 est l'aboutissement de la technologie présentée dans le court-métrage Kara 2012 du studio de jeux vidéos Quantic Dreams.
Annoncé pour le 25 mai 2018 sur Playstation 4.
De David Cage et Guillaume de Fondaumière.
Pour adultes et adolescents ?
(Wikipedia) En 2038, dans la ville de Détroit aux États-Unis, les androïdes partagent le quotidien des êtres humains en étant à leur service. Kara, une intelligence artificielle, décide malgré tout de vivre sa vie, de son propre chef, après avoir quitté l'usine de conception. Connor, un autre humanoïde, joue de son côté le rôle de négociateur dans les forces spéciales de la police. Markus, un androïde activiste, aidé par North, tente quant à lui de libérer ses semblables du joug des humains par diverses actions d'envergure.
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The Terror S01E01: Jouer son va-tout (2018)
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The Terror S01E01: Pilot (2018)
Autre titre : Le tout pour le tout
Ici l'article de ce blog sur la série télévisée The Terror (2018)
Diffusé aux USA en avant-première surprise le 25 mars 2018 après The Walking Dead sur AMZ US.
Diffusé en France depuis le 27 mars 2018 sur AMAZON PRIME VIDEO FR (5 premiers épisodes)
De David Kajganich et Soo Hugh ; d'après le roman de 2007 de Dan Simmons ; avec Edward Ashley, Caroline Boulton, Mikey Collins, Tobias Menzies, Kevin Guthrie, Declan Hannigan, Jared Harris, Roderick Hill, Ciarán Hinds, Christos Lawton, Matthew McNulty, Paul Leonard Murray, Adam Nagaitis, Alistair Petrie, Paul Ready, Anthony Flanagan, Richard Riddell, David Walmsley, Freddie Greaves. Produit par Ridley Scott.
Pour adultes et adolescents
En 1845, deux vaisseaux de la Marine Royale quittèrent l’Angleterre dans l’espoir de découvrir un passage navigable à travers l’Arctique. C’étaient les vaisseaux les plus technologiquement en avance de leur époque. Ils furent aperçus pour la dernière fois par des baleiniers européens dans la Baie de Baffin attendant de bonnes conditions pour entrer dans le labyrinthe de l’Arctique. Puis les deux vaisseaux disparurent.
Sous la tente, l’homme traduit ce que raconte l’Eskimo : Ils ont vu beaucoup d’hommes à pied, tous mourant de faim. L’enquêteur, Sir James, s’étonne : il les a rencontrés ? L’Eskimo confirme qu’il a vu un capitaine là-bas. Celui qu’on appelait Aglooka. Sir James ôte alors précipitamment ses gants fourrés et demande de traduire : est-ce que l’un des hommes dont il sort les portraits photos de son sac, est celui que l’Eskimo appelle « Aglooka » ?
Sir James aligne les trois photos sur la fourrure étalée devant l’Eskimo. Chaque photo représentante un capitaine de marine anglaise en uniforme. L’Eskimo scrute les portraits puis répond en posant sa main sur la troisième photo que c’est celui-là : il parlait la langue des indigènes... Il était mourant. Il a pointé la direction du Sud. Il a dit qu’ils rentraient chez eux par la terre. Mais ils pouvaient à peine marcher... et ils avaient Tuunbaq après eux.
Sir James s’étonne : Tuunbaq ? l’Eskimo insiste : derrière eux, il arrivait, il arrive toujours. L’enquêteur demande confirmation : quelqu’un était à la poursuite des marins anglais ? Le traducteur traduit les explications de l’Eskimo : d’après les shamans (sorciers), c’est la chose qui mange sur deux jambes et sur quatre.... la chose qui est faite de muscles et de sortilèges.
Sir James répond qu’il ne comprend pas : est-ce que l’Eskimo est en train de décrire un être humain ? Le traducteur s’excuse : il ne sait fr...trement pas de quoi l’Eskimo parle. Sir James demande à nouveau au traducteur : qu’a dit Francis ?
L’Eskimo répond que l’ami de Sir James a pris ses mains, et il lui a dit de dire à ceux qui viendraient à leur recherche, de ne pas rester : les vaisseaux sont perdus, il n’y a pas de voie pour traverser l’Arctique, pas de passage. Qu’il leur dise qu’ils sont perdus – morts. Morts et perdus. Puis, pour preuve de sa rencontre, l’Eskimo dépose des boutons ouvragés de l’uniforme du capitaine « Aglooka ».
Septembre 1846 – quatre année auparavant : le voilier l’Erebus, de la flotte royale, suit le voilier la Terreur à travers les étendues glacées du cercle arctique. Le ciel est radieux malgré les nuages, l’eau d’un bleu presque noir est parsemée de petits blocs de glace et de myriade de petits glaçons. Leurs coques en métal semée de givre fend puissamment les flots et écartent les fragments congelés.
Sur le pont avec ses hommes, à l’avant, le capitaine Sir Francis Crozier, « Aglooka », contemple l’horizon, l’air satisfait. Puis il traverse le pont en direction de l’arrière, salué par ses marins. Il rejoint le navigateur, qui trace la course de l’Erebus sur une carte, à côté du compas installé sur le pont. Le compas semble cependant déréglé, et hésitant, se met à pivoter brutalement de plusieurs degrés.
Le second de Sir Francis, Fitzjames, rapporte à son capitaine que les observations quotidiennes commencent à comporter des mesures bizarres. Cela ne semble pas inquiéter Sir Francis, qui rappelle que le pôle nord magnétique se déplace toujours de quelques miles chaque jour : ils sont tout simplement dans son cercle, désormais.
Comme Fitzjames répond que les hommes d’équipage seront fiers d’entendre cela, ils sont interrompu par l’officier qui scrute l’horizon à la lunette, et qui leur annonce que la Terreur se signale à eux...
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Requiem S01E01: Mathilda (2018)
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Requiem S01E01: Mathilda (2018)
Diffusé en Angleterre le 2 février 2018 sur BBC ONE.
Diffusé en France à partir du 23 mars 2018 ? (tous les épisodes de la Saison 1) sur NETFLIX FR.
De Kris Mrksa ; avec Lydia Wilson, James Frecheville, Sian Reese-Williams, Joel Fry, Brendan Coyle, Brendan Coyle, Claire Rushbrook, Richard Harrington.
La campagne anglaise verdoyante (plus un filtre pour rendre ça un peu plus inquiétant). Un homme marche à grand pas le long d’un chemin puis entre les arbres, son sonotone ou son walkman dans les oreilles. Barbu, âgé, il entre dans la cour d’un manoir, passe la porte d’entrée, retire ses écouteurs – et entend un grincement et un râle (il n’aurait pas retiré les écouteurs, le monstre aurait eu l’air malin, tiens). Il demande si quelqu’un est là, entre dans une pièce où une trappe est ouverte dans le sol, puis se précipite dans les autres pour briser tous les miroirs, mais les échos d’une petite fille qui chante, les râles et les grésillements se poursuivre, et quelque chose passe devant l’un des miroirs cassés. Le silence qui suit et le violoncelle est censé nous indiquer. Arrive un jeune homme dans un SUV, il aperçoit le vieux perché au sommet du toit, et appelle M. Dean plusieurs fois, et le vieux saute. Le jeune homme vient constater que le vieux ne s’est pas loupé et s’écrit « nooooon ! » un peu comme dans Star Wars retripoté par Lucas, mais en quand même plus discret.
Des rochers avec un filtre bleu et des grondements et gargouillis divers. Une jeune fille blonde se réveille en petite tenue dans sa chambre classieuses sous les combles : ce n’était qu’un cauchemar. Sa mère l’appelle au téléphone, et la jeune fille explique que sa répétition s’est terminée à une heure tardive. Dommage qu’elle ne soit pas en train de skyper les vêtements d’hommes épars dans sa chambre ; en bas le falot de service servant par la même occasion à remplir les quotas ethniques est en train de lui préparer un petit-déjeuner bien gras. Apparemment, il n’aura pas grand-chose à dire qu’à commenter ce qu’il est en train de faire. La jeune fille blonde va prendre un thé ( ?) au pub voisin et le dialogue n’a aucun intérêt. Une alarme du téléphone sonne et la jeune fille plante sa mère, qui la complimente sur sa taille (qu’elle a depuis huit ans). Et je suis sur le point de zapper ce pur remplissage écœurant de vide et de banalité. Sa mère l’embrasse alors très fort pour mieux la renifler : elle lui demande si elle a recommencé à fumée et la jeune fille prétend que non, mais c’est une grosse menteuse.
Au théâtre où elle est censé préparer son spectacle avec son violoncelle, mademoiselle fume et après avoir fait un peu plus d’embrasser, elle raconte ses aventures sexuelles avec le falot au pianiste ( ?), se plaignant que le falot ait osé ouvrir son frigo pour préparer le petit-déjeuner. Sans doute a-t-elle immédiatement twitté #metoo d’indignation, et je me demande quand est-ce que la production va plagier Hitchcock et trucider la blonde prétendue héroïne sous la douche ou ailleurs. Comme le pianiste semble être à peu près aussi navré que moi du dialogue, elle explique qu’elle a dû chasser le falot et qu’il était censé tirer son coup puis partir en douce : elle a dû chasser le falot en mentant à nouveau à propos d’un prétendu rendez-vous chez le médecin (pour sa maladie vénérienne ?). L’ingénieur du son précise alors dans le haut-parleur qu’il entend tout, et la blonde répond qu’elle est heureuse que ce dernier ait eu son frisson de la semaine. Et en plus, elle est mytho. Bon quand est-ce qu’elle crève ? qu’Alma puisse enfin chanter à tue-tête :
Embrasse-moi, dis-moi que tu m'aimes
Fais-moi sourire au beau milieu d'un requiem
Embrasse-moi, dis-moi que tu m'aimes
Fais-moi danser jusqu'à ce que le temps nous reprenne
Ce qu'il a donné
Possible source d’inspiration d’une série lamentable de plus sur la BBC.
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