Chapelwaite, la série télévisée de 2021
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Chapelwaite (2021)
Traduction du titre : l'attente de la chapelle.
Une saison de dix épisodes (43 minutes chaque ?).
Diffusé aux USA à partir du 22 août 2021 sur EPIX US.
De Jason Filardi et Peter Filardi, d'après la nouvelle Celui qui garde le ver (Jerusalem's Lot) de Stephen King in Danse Macabre (Night Shift, 1978) ; avec Adrien Brody, Emily Hampshire.
Pour adultes.
(horreur fantastique) Après la mort tragique de sa femme en mer, le capitaine Charles Boone et ses enfants retournent dans la petite ville de Preacher's Corners (= les coins du prêcheur), dans le Maine, où une sombre histoire familiale les hante jusqu'à ce qu'ils y soient confrontés.
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Saison 1 (2021)
Chapelwaite S01E01: Blood Calls Blood (Le sang appelle le sang)
Chapelwaite S01E02: Memento Mori (souviens-toi que tu dois mourir).
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Demonic, le film de 2021
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Demonic 2021
Traduction du titre original : Démoniaque.
Sorti aux USA le 20 août 2021.
Sorti en blu-ray français le 20 septembre 2021.
Annoncé en blu-ray anglais le 25 octobre 2021.
De Neill Blomkamp (également scénariste). Avec Carly Pope, Chris William Martin, Michael J. Rogers, Nathalie Boltt, Terry Chen, Kandyse McClure.
Pour adultes
Une jeune femme aux cheveux roses appelle sa mère alors qu’elle marche dans un champ d’herbes sèches jusqu’à l’aile d’une grande bâtisse de campagne. Elle entre dans le bâtiment obscur au sol détrempé, allume sa lampe torche, appelle plusieurs fois, entend une voix de femme qui lui répond en sanglotant. Dans chaque pièce il y a un lit avec seulement le matelas, et la jeune femme aux cheveux roses finit par trouver assise à l’un de ces lits une femme (qui semble avoir son âge et la même coupe de cheveux sans la teinture rose) dans un état de choc. Mais la femme assise d’un coup se tourne vers elle et lui demande froidement de faire attention où elle met les pieds – et de lui lancer un briquet allumé qui embrase le pétrole répandu au sol, pétrole qui se trouvait sans doute il y a encore peu de temps dans le jerrycan posé renversé sur le même lit.
La femme aux cheveux roses semble surprise par le fait : sans doute vient-elle d’avoir perdu son odorat suite à un covid, vu que le pétrole répandu par terre, ça sent très fort d’habitude, et n’engage pas particulièrement à patauger dedans quand on a un minimum de jugeote. Mais tout cela n’était qu’un rêve et de toute manière un minimum d’intelligence est une denrée rare chez les héros et héroïnes de film d’horreur. La jeune femme aux cheveux rose se réveille en nage dans une chambre baignée de soleil, prend sa douche, se recoiffe, se tartine une tartine tandis qu’un flash du sourire de la folle assise sur le lit lui revient.
Elle sort, monte dans sa voiture, et bien sûr consulte ses textos, un d’un(e) certain(e) Sam qui veut revoir une certaine Carly. Elle sourit, démarre enfin, retrouve une amie noire un verre de vin rouge à la main et apparemment déjà perrave vu à quel point le vin menace d’éclabousser son chemisier blanc. Nouvelle séance de dégustation de tartine, ou plus exactement un bout de pizza au bord d’un lac superbe, avec la bouteille de vin rouge déjà sifflée à la moitié, à supposer qu’il s’agisse de la première bouteille entamée. L’amie se lève et la bouteille de vin rouge est sifflée au dernier quart sans que personne n’ai rien versé dans son verre. Est-ce le signe d’une possession démoniaque ?
Le soir est déjà venu, et sa journée apparemment bien remplie par ce seul épisode, Carly ( ?) se couche et trouve cette fois un message de Martin qui veut la revoir et lui a donné rendez-vous à la terrasse d’un café. Bière pour lui, coca pour elle, beaucoup de vent pour tous les deux. Martin a eu un appel téléphonique d’une compagnie qui lui offrait de l’argent pour faire partir d’un comité, et ils savaient qu’il connaissait sa mère Angela, et elle serait dans une clinique totalement paralysée, patiente dans le cadre d’un programme de recherche. Martin suggère donc à Carly de contacter ce programme de recherche pour obtenir d’avoir plus d’informations sur ce qui se passe.
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Chroniques de la Science-fiction du 16 août 2021
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Chroniques de la Science-Fiction #2021-08-16 (2021)
Numéro précédent <> Numéro suivant.
Téléchargez ici l'exemplaire gratuit .pdf 29 pages A5 couleurs.
Ici bientôt l'index de toutes les Chroniques de la Science-fiction de 2021
Sorti le 15 août 2021 (première édition).
De David Sicé.
Les Chroniques sont une rubrique du fanzine l’Étoile étrange. Cette rubrique paraîtra désormais séparément pour tenir le rythme hebdomadaire de l'actualité de la Science-fiction même si le numéro complet de l’Étoile étrange n'est pas bouclé. Les numéros ont vocation à sortir rétroactivement et par anticipation, et donc à être mis à jour quand l'activité n'est pas complètement couverte.
Au sommaire, l'actualité de la semaine du 16 août 2021, plus les critiques de Loups garous 2021, Dark Web Cicada 3301 - 2021, F.P.1 ne répond plus 1932, Kull le Conquérant 1997, Labyrinthe 1986, Stardust 2007, The Cell 2000, Terreur extraterrestre 1980, What If 2021.
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Réminiscence, le film de 2021
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Reminiscence (2021)
Autre titre : The Jade Earing (la boucle d'oreille de jade)
Sorti aux USA pour le 20 août 2021.
De Lisa Joy. aka Lisa Joy Noland (également scénariste). Avec Hugh Jackman, Rebecca Ferguson, Thandiwe Newton, Daniel Wu, Cliff Curtis.
Pour adultes et adolescents
(cyberpunk) L’océan. Sous le ciel bleu les vagues lèches jusqu’aux premiers étages des tours sans apparemment les endommager le moins du monde. Entre les toits végétalisés des bâtiments plus bas sont jetés des passerelles et un pont suspendu traverse cette partie de la ville.
Le passé peut hanter un homme, c’est ce qu’ils disent. Et le passé n’est qu’une série de moments, chacun, parfait, complet, une perle sur le collier du temps. Le passé ne nous hante pas, il ne nous reconnaîtrait pas. S’il faut trouver un fantôme, c’est nous, qui hantons le passé.
La nuit les tours, les immeubles, les lampadaires des trottoirs qui surnagent s’illuminent comme si la ville n’était pas complètement inondé. Un homme s’arrête devant un bonimenteur âgé, sa table pliable et ses trois cartes. L’homme fait remarquer en souriant que le bonimenteur a perdu sa reine mais refuse de jouer. Il entre dans l’immeuble poussant les portes vitrées, et la femme qui l’attendait à l’intérieur range son manteau sur un cintre et le pend tout en lui faisant remarquer qu’il est en retard. L’homme — Bannister répond en souriant que le retard est une construction du temps linéaire et que ce n’est pas leur fonds de commerce.
La femme réplique en lui passant une veste sèche que pourtant, c’est à l’heure qu’ils facturent et que son premier rendez-vous est déjà là. Bannister demande qui c’est ? Son vieux pote de l’Armée, celui qui ne paye jamais. Bannister passe dans la salle suivante où l’attend Hank, un cul de jatte sur une chaise roulante, en robe de chambre et slip. Bannister salut Hank et l’aide à se coucher dans une espèce de sarcophage dont le couvercle vitré rétractable coulisse. Bannister demande à Hank comment il va et Hank répond qu’il s’est fait jeté dehors son squat. Bannister demande si c’était un Baron le responsable et Hank confirme : ils volent toutes les terres immergées, et Hank de confier que sa maison d’autrefois lui manque et qu’il voudrait revoir Angie.
C’était autrefois et l’on ne peut plus revenir, mais le temps n’est plus le courant d’une seule direction qu’il était : la mémoire est le canot qui vogue à contre-courant et j’en suis le canotier. Quand les eaux sont montées et que la guerre a éclaté, il n’y avait plus grand chose à regarder en avant, alors les gens se sont mis à regarder en arrière.
Bannister abaisse une grande manette au mur et un grand cercle s’illumine au sol derrière le sarcophage. Un pupitre s’allume, et de l’eau monte dans le sarcophage jusqu’à mi-hauteur pour que le client flotte. Bannister suggère alors d’une voix douce mais ferme que c’est l’été, il y a treize ans, que Hank est dans les champs derrière la maison de son père, il ramasse la balle de base-ball... et au fur et à mesure qu’il parle, la scène est projetée en trois dimensions dans le cercle de lumière...
Plus tard, une femme en robe rouge impudique arrive sans rendez-vous et veut que Bannister et son assistante l’aide à retrouver ses clés et lorsque la scène où elle pose ses clés dans sa loge passe, Bannister insiste pour continuer de visionner le souvenir : la femme entre sur la scène d’un club de style années 1940 et accompagné d’un pianiste, chante une chanson romantique jazzy. Et bien sûr la cliente oublie ses boucles d’oreilles que Bannister va devoir lui rapporter.
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Brand New Cherry Flavour, la série télévisée de 2021
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Brand New Cherry Flavour (2021)
Traduction du titre : toute nouvelle saveur cerise.
Une saison de 8 épisodes de 30 à 50 minutes.
Diffusé à l'international à partir du 13 août 2021 sur NETFLIX FR / INT.
De Nick Antosca et Lenore Zion ; d'après le roman de Todd Grimson, avec Rosa Salazar, Catherine Keener, Eric Lange, Manny Jacinto, Jeff Ward.
Pour adultes.
Dans la nuit, un chat se roule par terre sur la route. Des phares arrivent sur lui, et le chat se dépêche de déguerpir en miaulant. Les années 1990 sur la route de Los Angeles. Une jeune fille, Lisa, s’arrête de nuit à une station service déserte et appelle un certain Code au téléphone pour lui demander de pouvoir dormir chez lui car elle a une chance de voir son film d’horreur produit par un certain Lou Burke qui veut la rencontrer. Un motocycliste à casque rouge s’arrête à la limite des lumières. Puis elle remonte dans sa voiture et le motard la suit. Arrivée à Los Angeles elle se gare devant une espèce d’entrepôt complètement taggé, l’appartement de Code qui lui demande de ne pas parler fort. Elle avait dit qu’elle ne viendrait jamais à Los Angeles, eh bien elle a changé d’avis. Ils fument un joint sur le divan et Lisa se plaint que les gens deviennent timbrés quand elle les fréquent. Code lui assure que ce ne sera pas son cas.
Le soleil se lève, Lisa ouvre les yeux : une blonde mange son petit déjeuner en la dévisageant. Lisa détrompe Christina : elle n’est pas l’ex de Cole, elle n’est pas actrice mais réalisatrice. Christina, elle, travaille dans l’immobilier... Lisa se rend à son rendez-vous avec Lou Burke, mais l’entretien part dans tous les sens : au lieu de parler de son projet, Burke veut qu’elle parle d’elle. Lisa l’arrête assez vite, qu’est-ce qu’ils font là maintenant. Burke répond qu’il voulait la rencontrer et que c’est comme cela que ça fonctionne une réunion : il a seulement vu la cassette vidéo, a entendu dans sa tête un voix qui lui disait de ramasser la cassette et de la visionner.
Lisa est flattée, Burke a vu son court-métrage et il a été impressionné, mais quelle est la version long métrage à sortir sur des milliers d’écrans. Lisa lui parle d’une femme qui aurait une sorte de superpouvoir et doit s’en servir contre un homme qui cherche à la tuer, un thriller paranoïaque... Burke s’inquiète de la difficulté qu’aura Lisa à se présenter comme le nouveau Cronenberg : elle doit apprendre à persuader les gens qu’elle est celle qui doit réaliser ce film. Comme ils sortent du bureau sur le parking, Burke est ravi d’apercevoir Roy Hardaway, l’acteur et commence à discuter avec lui. Mais ce que Lisa remarque, c’est le même motard au casque rouge, un homme assez fort qui s’est arrêté pour l’épier. Comme Lisa va s’en aller, Burke la retient et lui remet un chèque de 10.000 dollars signé sur le capot, en guise d’acompte, l’invitant à se trouver un appartement.
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