Superman, le film de 1978Feu vert cinéma

Superman (1978)
Traduction du titre original : Le Surhomme.

Sorti aux USA le 11 décembre 1978.
Sorti en Angleterre le 14 décembre 1978.
Sorti en France le 26 janvier 1979.
Sorti en blu-ray américain le 28 novembre 2006 (multi-régions, français inclus, anglais DD 5.1).
Sorti en blu-ray français le 27 juin 2007 (multi-régions, son anglais et français DD 5.1, image et son correct, bonus 4:3).

De Richard Donner, sur un scénario de Mario Puzo, David Newman, Leslie Newman, Robert Benton, d'après la bande dessinée de Jerry Siegel et Joe Shuster ; avec Christopher Reeve, Margot Kidder, Gene Hackman, Jeff East, Valerie Perrine, Terence Stamp, Marlon Brando, Susannah York, Jackie Cooper, Glenn Ford, Ned Beatty, Aaron Smolinski.

Pour tout public.

Juin 1938. Dans les années 1930, même la grande ville de Métropolis n’était pas épargnée par les ravages de la crise financière mondiale. À une époque de peur et de confusion, la mission d’informer le public incombait au Daily Planet (La planète au quotidien), un grand journal national dont la réputation de clarté et de véracité était devenu le symbole de l’espoir pour la ville de Métropolis.

Sur la planète glacée de Krypton, au soleil rouge, sous un dome de protection, Jor-El achève sa plaidoirie à charge contre une bande de trois criminels mené par le Général Zod, qui a tenté d’établir une dictature, et réclame la sentence du Conseil, qui les déclare coupable. Cependant, pour que Zod soit condamné, il faut encore que Jor-El se range à la décision du Conseil, avec lequel Jor-El lui-même a pu être en désaccord. Zod demande alors à Jor-El de rejoindre sa rebellion, mais laissé sans réponse, il jure alors que Jor-El et ses héritiers s’inclineront un jour devant lui. Jor-El quitte le dome, qui s’ouvre sur le ciel. Une dalle volante va alors planer au-dessus des trois criminels, et les capture, les emportant emprisonnés et hurlants à travers l’Espace.

Sur Krypton, le Conseil félicite Jor-El d’avoir bien mené un tâche déplaisante – isoler les rebelles dans la Zone Fantôme et les avoir condamné à une éternité de mort-vivante. Ce que Jor-El considère au contraire comme une chance de survie, alors que la population de Kryton court au suicide, et même pire, au génocide. Le Conseil rappelle à Jor-El qu’il a déjà examiné sa théorie farfelue, mais Jor-El rappelle qu’il n’a jamais été précipité ou impulsif, qu’il ne prétend rien sans appuyer ses propos par des faits, et il affirme que la planète Krypton doit être évacuée immédiatement.

Le Conseil oppose aux conclusions de Jor-El celles d’une autre éminence scientifique, Vond-Ah, qui, sans nier les faits, affirme que Jor-El fait erreur quant à ce qu’il faut en déduire. Or selon Jor-El, leur planète va exploser dans les trente jours ou plus tôt. Pour Vond-Ah, la planète Krypton est simplement en train de changer d’orbite. Et comme on accuse Jor-El d’être déraisonnable, celui-ci répond que la folie est entièrement dans l’autre camp. Le Conseil met alors fin à toute discussion, sa décision étant finale – puis déclare que toute tentative de créer un climat de panique doit être considérée comme un acte de rebellion, et menace alors Jor-El de le bannir à son tour dans la Zone Fantôme. Puis le Conseil demande de déclarer qu’il approuve la décision du Conseil. Jor-El répond alors qu’il restera silencieux et que ni lui, ni son épouse ne quitteront Krypton. Le Conseil semble satisfait.

Plus tard, Lara, l’épouse de Jor-El vient trouver son mari, avec leur bébé dans ses bras. Jor-El affirme que c’est pour eux la seule solution : si leur bébé reste sur Krypton, il mourra avec eux. Mais Lara ne comprend pas pourquoi Jor-El a choisi d’envoyer leur enfant sur la Terre, alors que c’est une planète primitive, en retard de plusieurs milliers d’années de civilisation. Jor-El estime que leur enfant aura besoin de cet avantage pour survivre : l’atmosphère de la Terre lui permettra de survivre. Lara fait alors remarquer que leur enfant défiera la gravité de la Terre. Jor-El répond que leur enfant aura l’air d’un terrien. Lara objecte que leur enfant ne sera pas un terrien – la densité de sa structure moléculaire le rendra fort. Lara réplique que leur enfant sera bizarre, différent – mais selon Jor-El, rapide et quasiment invulnérable. Lara réplique que leur enfant sera isolé, et seul. Jor-El répète alors, un cristal à la main que leur enfant ne sera jamais seul.

Pendant ce temps, le Conseil est en alerte : ils ont détecté que Jor-El utilisait trop d’énergie pour sa résidence, et ordonne une enquête. Au même moment, Jor-El place son bébé dans une capsule cristalline, et déclare que la richesse de leurs vies sera à lui, car il lui lègue toutes ses recherches, toute sa connaissance, et que sa vie à lui sera dans son fils, qui deviendra en quelque sorte son père. Un cristal vert remonte alors du pupitre de Jor-El, et Jor-El le place parmi les cristaux qui entourent le bébé. Une secousse se produit, et des débris commencent à tomber du plafond, tandis que les murs de la cité se disloquent. Le berceau du bébé se referme en une étoile qui monte jusqu’au plafond et le traverse pour s’envoler. Au même moment des gigantesques cristaux traversent le sol de la cité, qui s’ouvre sous les pieds des kryptonniens, tandis que des blocs tombent de tous les côtés et que les Kryptoniens sont projetés dans le vide. Les glaces de la surface se liquéfient, et finalement la planète explose.

La capsule du bébé passe alors à tout allure devant la dalle qui emprisonne Zod et ses complices, qui s’engouffre dans un trou donnant sur un autre point de l’Espace, tandis que la voix de Jor-El dicte des connaissances, et des règles, comme ne pas intervenir dans l’Histoire Humaine. Puis c’est la chute à travers l’atmosphère terrienne, et sur une route poussiéreuse de campagne, un pick-up transportant George et Martha Kent, est stoppé par une détonation. Comme ils descendent, ils découvre un grand bambin qui leur tend les bras depuis la tranchée creusée par un météore. Martha est persuadé que l’enfant n’a pas de parents, et qu’ils pourront prétendre que c’est le fils de sa cousine du Dakota. George n’est pas d’accord car ils ne savent pas d’où vient l’enfant. Comme le cric, que George utilisait pour remplacer leur pneu crevé, plie, et que George manque de se faire écraser par la voiture, Martha le rattrape, et tous les deux réalisent que c’est l’enfant qui tient la voiture à bout de bras.

Clark Kent est à présent un adolescent, qui ne peut pas se rendre à la fête avec la jolie Lana parce que c’est à lui de ranger tout le matériel de football américain. De rage, il donne un coup de pied dans un ballon, qui s’envole jusqu’au ciel. Puis il dépasse un train à la course, et comme une petite fille nommée Lois Lane, qui voyage dans le train déclare qu’elle a vu un garçon courir plus vite que le train, ses parents lui déclarent qu’elle a le don de l’écrivain pour imaginer des choses, et comme on lui demande de se remettre à lire son livre, la fillette soupire que personne ne la croit jamais.

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The Magazine Of Fantasy And Science-Fiction, le numéro d'octobre 1978

The Dark Tower 1: The Gunslinger (1978)

Adapté au cinéma dans La Tour sombre (février 2017, The Dark Tower)

Attention, ce roman existe au moins en versions : une série de six nouvelles de 1978 à 1981, le recueil de 1983, la version révisée et augmentée de 2003.

Sorti aux USA de octobre 1978 à novembre 1981 dans The Magazine of Fantasy and Science-Fiction.
Sorti aux USA en 1982 chez DONALD M. GRANT US (grand format)
Sorti en France en 1991 chez J'AI LU (poche, traduction de Gérard Lebec)
Sorti aux USA en juillet 2003 chez SIGNET US (poche, texte révisé et augmenté)
Sorti en France en 2004 chez J'AI LU FR (semi-poche, texte révisé, nouvelle traduction de Marie de Prémonville)

De Stephen King.

Comprend les nouvelles suivantes :

Le Pistolero (1978, The Gunslinger, paru dans The Magazine Of Fantasy And Science-Fiction d'Octobre 1978)

Le Relais (1980, The Way Station, paru dans The Magazine Of Fantasy And Science-Fiction d'avril 1980)

L'Oracle et les Montagnes (1981, The Oracle and the Mountains, paru dans The Magazine Of Fantasy And Science-Fiction de Février 1981)

Les Lents Mutants (1981, The Slow Mutants, paru dans The Magazine Of Fantasy And Science-Fiction de Juillet 1981)

Le Pistolero et l'Homme en Noir (1981, The Gunslinger and the Dark Man, paru dans The Magazine Of Fantasy And Science-Fiction de Novembre 1981).

La Tour Sombre 1: Le pistolero, le roman de 1978  La Tour Sombre 1: Le pistolero, le roman de 1978

La Tour Sombre 1: Le pistolero, le roman de 1978  La Tour Sombre 1: Le pistolero, le roman de 1978

La Tour Sombre 1: Le pistolero, le roman de 1978   La Tour Sombre 1: Le pistolero, le roman de 1978

La Tour Sombre 1: Le pistolero, le roman de 1978  La Tour Sombre 1: Le pistolero, le roman de 1978

La Tour Sombre 1: Le pistolero, le roman de 1978  La Tour Sombre 1: Le pistolero, le roman de 1978

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(Texte original non révisé de 1982)

THE GUNSLINGER

The man in black fled across the desert, and the gunslinger followed.

The desert was the apotheosis of all deserts, huge, standing to the sky for what might have been parsecs in all directions. White; blinding; waterless; without feature save for the faint, cloudy haze of the mountains which sketched themselves on the horizon and the devil-grass which brought sweet dreams, nightmares, death. An occasional tombstone sign pointed the way, for once the drifted track that cut its way through the thick crust of alkali had been a highway and coaches had followed it. The world had moved on since then. The world had emptied.

The gunslinger walked stolidly, not hurrying, not loafing. A hide waterbag was slung around his middle like a bloated sausage. It was almost full. He had progressed through the khef over many years, and had reached the fifth level. At the seventh or eighth, he would not have been thirsty; he could have watched own body dehydrate with clinical, detached attention, watering its crevices and dark inner hollows only when his logic told him it must be done. He was not seventh or eighth. He was fifth. So he was thirsty, although he had no particular urge to drink. In a vague way, all this pleased him. It was romantic.

Below the waterbag were his guns, finely weighted to his hand. The two belts crisscrossed above his crotch. The holsters were oiled too deeply for even this Philistine sun to crack. The stocks of the guns were sandalwood, yellow and finely grained. The holsters were tied down with rawhide cord, and they swung heavily against his hips. The brass casings of the cartridges looped into the gun belts twinkled and flashed and heliographed in the sun. The leather made subtle creaking noises. The guns themselves made no noise. They had spilled blood. There was no need to make noise in the sterility of the desert.

His clothes were the no-color of rain or dust. His shirt was open at the throat, with a rawhide thong dangling loosely in hand-punched eyelets. His pants were seam-stretched dungarees.

He breasted a gently rising dune (although there was no sand here; the desert was hardpan, and even the harsh winds that blew when dark came raised only an aggravating harsh dust like scouring powder) and saw the kicked remains of a tiny campfire on the lee side, the side which the sun would quit earliest. Small signs like this, once more affirming the man in black’s essential humanity, never failed to please him. His lips stretched in the pitted, flaked remains of his face. He squatted.

He had burned the devil-grass, of course. It was the only thing out here that would burn. It burned with a greasy, flat light, and it burned slow. Border dwellers had told him that devils lived even in the flames. They burned it but would not look into the light. They said the devils hypnotized, beckoned, would eventually draw the one who looked into the fires. And the next man foolish enough to look into the fire might see you.

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(traduction de Gérard Lebec, 1991 - texte original non révisé)

LE PISTOLERO

L'homme en noir fuyait à travers le désert et le pistolero le poursuivait.

De tous les déserts ce désert était l'apothéose, immensément posé sous le ciel et couvrant jusqu'à plusieurs parsecs en tous sens. Blanc ; aveuglant ; aride ; sans rien pour le rompre sinon la trainée brumeuse des montagnes se découpant sur l'horizon et l'herbe du diable, porteuse de songes délicieux, puis de cauchemars, et de mort. Une pierre tombale, de temps à autre, montrait la direction à prendre, car cette piste tracée dans l'épaisse croûte d'alcali avait été jadis une route fréquentée. Le monde avait changé depuis. Le monde s'était vidé.

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(Texte original révisé de 2003)

CHAPTER ONE

The Gunslinger

I

The man in black fled across the desert, and the gunslinger followed.

The desert was the apotheosis of all deserts, huge, standing to the sky for what looked like eternity in all directions. It was white and blinding and waterless and without feature save for the faint, cloudy haze of the mountains which sketched themselves on the horizon and the devil-grass which brought sweet dreams, nightmares, death. An occasional tombstone sign pointed the way, for once the drifted track that cut its way through the thick crust of alkali had been a highway. Coaches and buckas had followed it. The world had moved on since then. The world had emptied.

The gunslinger had been struck by a momentary dizziness, a kind of yawing sensation that made the entire world seem ephemeral, almost a thing that could be looked through. It passed and, like the world upon whose hide he walked, he moved on. He passed the miles stolidly, not hurrying, not loafing. A hide waterbag was slung around his middle like a bloated sausage. It was almost full. He had progressed through the khef over many years, and had reached perhaps the fifth level. Had he been a Manni holy man, he might not have even been thirsty; he could have watched his own body dehydrate with clinical, detached attention, watering its crevices and dark inner hollows only when his logic told him it must be done. He was not a Manni, however, nor a follower of the Man Jesus, and considered himself in no way holy. He was just an ordinary pilgrim, in other words, and all he could say with real certainty was that he was thirsty. And even so, he had no particular urge to drink. In a vague way, all this pleased him. It was what the country required, it was a thirsty country, and he had in his long life been nothing if not adaptable.

Below the waterbag were his guns, carefully weighted to his hands; a plate had been added to each when they had come to him from his father, who had been lighter and not so tall. The two belts crisscrossed above his crotch. The holsters were oiled too deeply for even this Philistine sun to crack. The stocks of the guns were sandalwood, yellow and finely grained. Rawhide tie-downs held the holsters loosely to his thighs, and they swung a bit with his step; they had rubbed away the bluing of his jeans (and thinned the cloth) in a pair of arcs that looked almost like smiles. The brass casings of the cartridges looped into the gunbelts heliographed in the sun. There were fewer now. The leather made subtle creaking noises.

His shirt, the no-color of rain or dust, was open at the throat, with a rawhide thong dangling loosely in hand-punched eyelets. His hat was gone. So was the horn he had once carried; gone for years, that horn, spilled from the hand of a dying friend, and he missed them both.

He breasted a gently rising dune (although there was no sand here; the desert was hardpan, and even the harsh winds that blew when dark came raised only an aggravating harsh dust like scouring powder) and saw the kicked remains of a tiny campfire on the lee side, the side the sun would quit earliest. Small signs like this, once more affirming the man in black’s possible humanity, never failed to please him. His lips stretched in the pitted, flaked remains of his face. The grin was gruesome, painful. He squatted.

His quarry had burned the devil-grass, of course. It was the only thing out here that would burn. It burned with a greasy, flat light, and it burned slow. Border dwellers had told him that devils lived even in the flames. They burned it but would not look into the light. They said the devils hypnotized, beckoned, would eventually draw the one who looked into the fires. And the next man foolish enough to look into the fire might see you.

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Feu vert livre / BD

Battlestar Galactica (1978)
Traduction du titre original : L'étoile de guerre Galactica.
Autre titre : Saga Of A Star World.

Ici l'article de ce blog sur le film Galactica la Bataille de l'Espace (1978)

Sorti aux USA en septembre 1978 chez BERKLEY US.
Sorti en France le 15 février 1979 chez LAFFONT (collection l'Âge des étoiles n°11)
Sorti en France le 13 juin 1980 chez J'AI LU (poche).
Sorti aux USA en 2002 chez IBOOKS (couverture de Frazetta).

De Robert Thurston, d'après le film de Glen A. Larson.

Après mille ans de guerre, les Cylons s'apprêtent à signer la paix avec les Humains. Mais ce n'était que l'occasion pour l'ennemi de détruire les astrobases et d'anéantir les douze mondes humains.

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(Traduction de Jacques Polanis)

Extraits des carnets d'Adama

Voilà plus de mille ans, commençait brusquement la guerre contre les Cylons - sans avertissement, sans même une déclaration de guerre officielle. Comme des pirates, sous une apparence inoffensive et de faux pavillons, les Cylons ont ouvert le feu sur nos vaisseaux de commerce sans la moindre injonction à mettre en panne ni un seul coup^de semonce de canon laser. Ils étaient venus pour détruire, et ils ont détruit nos vaisseaux par milliers...

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Jason of Star Command, la série télévisée de 1978 Feu rouge télévision

Jason of Star Command (1978)
Jason du Commandement des étoiles.

Deux saisons d'épisodes de 10 à 20 minutes.

Série dérivée de la série Space Academy de 1977.

Diffusé aux USA à partir du 9 septembre 1978 sur CBS US (diffusé les samedi matins).
Sorti en DVD américain le 28 octobre 2008 coffret 7DVD - 3DVD pour Jason, 2DVD pour Ark II, 2DVD pour Star Academy (région A, image 4:3 format original respecté, DD 2.0 anglais et espagnol).

De Arthur H. Nadel ; avec Craig Littler, Sid Haig, Charlie Dell, Susan Pratt, James Doohan.

Pour tout public.

L'an 3732. Le danger se cache dans les étoiles : voici le monde de Jason du Commandement des étoiles – un mercenaire de l’âge spatial qui se présente pour arrêter la force la plus sinistre de l’Univers : Dragos, le Maître du Cosmos. Assistant Jason dans sa bataille contre le Mal, une équipe talentueuse d’experts : la charmante capitaine Nicole Davidoff, le très sérieux mais ridicule professeur E.J. Parsafoot et le grisonnant commandant Carnavin – tous travaillent de concert dans une section secrète de l’Académie Spatiale.

Jason of Star Command, la série télévisée de 1978

Jason of Star Command, la série télévisée de 1978

Jason of Star Command, la série télévisée de 1978

Jason of Star Command, la série télévisée de 1978

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Jason of Star Command, la série télévisée de 1978 Feu rouge télévision

Saison 1 (1978 - 16 épisodes de 10 minutes

Jason Of Star Command S01E01: Chapitre 1 : L'Attaque du vaisseau Dragon (Chapter 1 : Attack of the Dragonship)
Jason Of Star Command S01E02: Chapitre 2 : Prisonnier de Dragos (Chapter 2 : Prisoner of Dragos)
Jason Of Star Command S01E03: Chapitre 3 : Hors d'atteinte de Dragos (Chapter 3 : Escape from Dragos)
Jason Of Star Command S01E04: Chapitre 4 : Un appel à l'aide (Chapter 4 : A Cry for Help)
Jason Of Star Command S01E05: Chapitre 5 : Wiki à la rescousse (Chapter 5 : Wiki to the Rescue)
Jason Of Star Command S01E06: Chapitre 6 : La Planète perdue (Chapter 6 : Planet of the Lost)
Jason Of Star Command S01E07: Chapitre 7 : Piège dans le temps (Chapter 7 : Marooned in Time)
Jason Of Star Command S01E08: Chapitre 8 : L'Attaque des dragons (Chapter 8 : Attack of the Dragons)
Jason Of Star Command S01E09: Chapitre 9 : La Dernière Chance de Peepo (Chapter 9 : Peepo's Last Chance)
Jason Of Star Command S01E10: Chapitre 10 : L'Homme disparu (Chapter 10 : The Disappearing Man)
Jason Of Star Command S01E11: Chapitre 11 : La Planète hantée (Chapter 11 : The Haunted Planet)
Jason Of Star Command S01E12: Chapitre 12 : L'Évasion de Kesh (Chapter 12 : Escape from Kesh)
Jason Of Star Command S01E13: Chapitre 13 : Le Retour de la créature (Chapter 13 : Return of the Creature)
Jason Of Star Command S01E14: Chapitre 14 : Le Procès de Peepo (Chapter 14 : Peepo on Trial)
Jason Of Star Command S01E15: Chapitre 15 : Le Cheval de Troie (Chapter 15 : The Trojan Horse)
Jason Of Star Command S01E16: Chapitre 16 : La Victoire de Star Command (Chapter 16 : The Victory of Star Command)

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Saison 2 (1979 - 12 épisodes de 20 minutes)

Jason Of Star Command S02E01: Mission vers les étoiles (Mission to the Stars)
Jason Of Star Command S02E02: Cryogénisée (Frozen in Space)
Jason Of Star Command S02E03: Dans l'antre de Nébula (Web of the Star Witch)
Jason Of Star Command S02E04: Au-delà des étoiles ! (Beyond the Stars !)
Jason Of Star Command S02E05: Le Secret des anciens (Secret of the Ancients)
Jason Of Star Command S02E06: Le Pouvoir du disque étoile (The Power of the Star Disk)
Jason Of Star Command S02E07: A travers la porte des étoiles (Through The Stargate)
Jason Of Star Command S02E08: Face à face (Face to Face)
Jason Of Star Command S02E09: Force fantômatique (Phantom Force)
Jason Of Star Command S02E10: La Petite Fille perdue (Little Girl Lost)
Jason Of Star Command S02E11: Le Secret de Mimi (Mimi's Secret)
Jason Of Star Command S02E12: Bataille pour la liberté (Battle for Freedom)

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