Nordsjøen - The Burning Sea, le film de 2021
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Nordsjøen (2021)
Autre titre : The North Sea.
Traduction du titre original : La mer du Nord.
Traduction du titre anglais : La mer qui brûle.
Sorti en Norvège le 20 octobre 2021,
Sorti aux USA le 25 février 2022.
Sorti en blu-ray norvégien le 31 janvier 2022,
Sorti en blu-ray 4K américain et allemand le 24 mai 2022.
Sorti au cinéma en France le 7 juin 2022.
Sorti en blu-ray anglais le 25 juillet 2022.
De John Andreas Andersen, sur un scénario de Harald Rosenløw-Eeg et Lars Gudmestad ; avec Kristine Kujath Thorp, Henrik Bjelland, Rolf Kristian Larsen.
Pour adultes et adolescents.
(catastrophe) (William Lie) J’ai commencé à travailler dans la Mer du Nord quand j’avais 18 ans. Oui, ça remonte à 1971, ça commence à faire longtemps maintenant. Oui, et puis ça payait vraiment bien : deux semaines de sortie en mer, puis quatre semaines retour à la maison pour moi. Nous n’avions aucune idée dans quoi nous avions mis les pieds. Zéro entraînement, juste imitez les ricains. Allez à gauche, qu’ils disaient, et nous allions à gauche. Je me souviens alors que c’était un peu dangereux, mais s’il y avait un risque, nous étions prêt à le prendre. Ou plus exactement, nous n’y réfléchissions pas. Tout le monde faisait du fric après tout, toute la nation faisait du fric. Mais je suppose que c’est comme conduire une voiture : si vous conduisez trop vite, pendant beaucoup trop longtemps, ça ne se passera pas bien. Des risques d’incidents non désirés, comme on avait l’habitude d’appeler ça dans le bizness du pétrole.
Une jeune femme — Sofia Hartman — se réveille dans une chambre au bord de la mer. Habillée, elle rejoint son amant, Stian, et le fils de celui-ci, prénommé Odin. D’un coup le garçon se lève de table en disant qu’il a fini, et en demandant où c’est. Stian lui répond qu’il ne le sait pas et qu’il faudra que le garçon cherche. Et comme ce n’est pas la journée pour une chasse au trésor, il suggère de chercher plutôt du côté de la cave. Sofia demande où est quoi ? Stian répond sans sourire que c’est une voiture téléguidée par radio. Puis il sourit. Sofia sourit, et il demande pourquoi. Elle ne répond pas et sourit plus largement. Il demande si tout va bien, elle répond que oui, il sourit lui aussi plus largement et demande si elle veut des œufs, et c’est oui.
Après le petit déjeuner, Sofia se brosse les dents, puis part sur la route, arrive au bord de la mer. De fait, elle s’entraîne à la plongée dans une piscine en combinaison thermique. Son collègue rouquin — Arthur — lui remarque comme elle sort de l’eau qu’elle n’arrivera pas à finir en moins de 30 secondes. Sofia réplique que si c’est le cas, il pourra choisir la musique en voiture pendant un mois. Arthur répond « pari tenu », elle se ravise : une semaine. Arthur corrige : deux semaines. Nous sommes dans le laboratoire d’Eelume Offshore Robotics, une société qui teste dans ces locaux le fonctionnement de ses robots sous-marins (et c’est une société qui existe, tout comme ses robots).
Du bord de la piscine, Sofia active un robot sous-marin à l’aide d’une télécommande. Arthur lui demande si elle est prête, elle confirme, il lance le compte-à-rebours. Cinq secondes, le robot serpente sous l’eau à travers un labyrinthe de tuyau, touche du nez une cible, repart en arrière, mais heurte de l’hélice un des tubes et s’éteint. Elle jure, Arthur s’esclaffe, elle descend dans l’eau. Arthur remarque qu’il n’y aura pas de manuel pour réinitialiser le robot à 1000 pieds de profondeur. Elle lui fait remonter la structure sous-marine. Passe un autre collègue qui leur souhaite une bonne soirée ?
Peu après, Sofia et Arthur quittent leur laboratoire ; elle l’invite à un barbecue, avec des gens très gentils, ce sera drôle. Puis elle lui demande ce qu’il a dans son gros sac orange, qui a l’air lourd. Arthur répond qu’il n’est pas lourd – seulement 15 kilos. Elle prend le sac, elle remarque qu’il a des bras de joueuse de jeux vidéo, aucun muscle. Il lui demande alors quand est-ce qu’elle va emménager chez lui : cela fait déjà un an qu’ils sont ensemble. Sofia corrige, neuf mois. Arthur maintient que c’est un an, que les couples emménagent ensemble plus vite que d’habitude, qu’elle n’a qu’à emménager, s’acheter un minivan et puis il se retrouvera tout seul à programmer au bureau. Elle prétend que non. Elle a sa vie, « il » a la sienne, et ça se passe bien.
Et c’est justement « lui », Stian, le père d’Odin, qu’ils rejoignent au barbecue. Et alors que Arthur a demandé qu’il ne la laisse pas seul, Sofia s’empresse de suivre le père d’Odin à la remise pour l’aider à chercher des bières, ce qui apparemment implique de se rouler une pelle. Ils sont interrompus immédiatement par l’oncle d’Odin qui récupère les boissons. La soirée se termine par du foot alors que la nuit tombe, suivi d’une baignade sans maillot de bain une fois Odin couché, et Sofia restée sur la plage se presse tendrement contre Stian pour ne pas avoir froid.
Le lendemain, dans le laboratoire, Sofia se moque d’Arthur qui a pris froid à se baigner tout nu dans l’eau glacé. Puis elle reçoit un appel téléphonique, qui semble l’alarmer. Elle annonce qu’ils viennent tous les deux tout de suite : Saga vient d’appeler, il y a eu un accident sur une plate-forme pétrolière en mer, elle ne sait pas quel genre, ils prennent l’hélicoptère immédiatement pour s’y rendre, avec le robot. Arrive sur l’héliport William Lie, le directeur de permanence de Saga, qui se présente à Sofia, qui demande ce qui est arrivé et où ils doivent se rendre. William Lie l’arrête : ils doivent d’abord signer un document – un accord de confidentialité. Et vite, parce qu’ils sont à court de temps. Ils signent, mais William Lie s’en va sans répondre à la question de Sofia et comme elle l’interpelle, il déclare seulement qu’un certain Normand Maximus les attend et que Saga a un représentant à bord de la plate-forme pétrolière.
L’hélicoptère décolle, file au-dessus de la mer. Normand Maximus est en réalité un bateau transporteur de matériel sous-marin, avec une grue, un mat et un héliport installé sur sa proue. Il s’est garé à proximité d’une plateforme de pompage pétrolier, Ormen Lange Feltet FASE 2, avec déjà installé des boudins pour limiter les marées noires autour d’une passerelle qui plonge dans la mer. Débarqué à bord du Normand Maximum, ils déchargent le robot, très allongé, et le descendent dans la piscine à bord qui donne sur la mer.
Dans le même temps, William Lie est arrivé dans les bureaux de surveillance de Saga et une femme aux cheveux gris habillée en noir lui demande s’ils sont arrivés. William Lie confirme qu’ils sont en site et prêts. Puis il demande à une femme s’ils sont connectés. Elle confirme : à l’écran. William demande alors à Jasin, un jeune homme installé devant des moniteurs, s’il peut mettre le navire dans les hauts-parleurs. A bord du Normand Maximus, Sofia et Arthur entrent sur la passerelle et le radio confirme leur arrivée. Berit de chez Saga demande alors à parler à Sofia. Bérit passe à Sofia William, qui avoue enfin ce qui vient d’arriver : une plate-forme a coulé, probablement à cause d’un affaissement local du fond de la mer.
William Lie lui envoie les plants en 3D de la plate-forme et lui demande si son robot peut naviguer autour, à la recherche de survivants : quand une structure aussi grande coule aussi vite, on peut s’attendre à ce qu’il y ai des poche d’air. Ils doivent trouver s’il y a encore qui que ce soit de vivant.
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Coppelia, le film ballet de 2021
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Coppelia (2021)
Sorti en blu-ray américain le 19 octobre 2021.
Sorti aux USA le 22 décembre 2021, au cinéma et en streaming sur HBO PLUS.
Sorti au cinéma en Allemagne le 3 mars 2022.
Sorti au cinéma en Angleterre le 1er avril 2022.
De Steven de Beul, Ben Tesseur et Jeff Tudor (également scénaristes), inspiré du ballet de 1870 du même nom, lui-même inspiré de la nouvelle Le Marchand de Sable d’E.T.A. Hoffman ; avec Michaela DePrince, Daniel Camargo et Vito Mazzeo.
Pour adultes et adolescents.
Une petite ville de faux dessin animé pastel. Une jeune fille se réveille sans réveil par une matinée radieuse en chemise de nuit, fait quelques pas de danse et se retrouve habillée en mini-jupe en un clin d’œil. Comme elle fait des grimaces dans son miroir, nous pouvons remarquer que son cou est tacheté de maquillage ou de gouache, et comme ses tables sont jonchées de matériel de peinture, nous en déduisons qu’elle ne doit pas se laver si souvent.
La jeune fille retrouve sa maman dans une cuisine où la vaisselle blanche est posée sur une table blanche et les plaques de cuisson orange sale sont fixée sur une cuisinière orange, ce qui parait un brin dangereux pour qui cuisinerait, tout comme utiliser une casserole de cuivre dont le bord est incliné, je suppose spécialement pour déborder et ébouillanter au premier usage. La bonne dame pose le beurre et des céréales américaines, du miel et un verre de jus d’orange et une seule tartine personne, puis dans la foulée un nœud dans les cheveux de sa fille, qui doit certainement apprécié qu’on lui tripote la tête après avoir touché la nourriture, sans s’être lavé une seule fois les mains depuis le matin. Une autre explication des tâches sur le cou de la jeune fille ?
La jeune fille fait non de la tête et place le même nœud sur la tête de sa mère, qui n’a pas l’air contente. Un faux baiser et la jeune fille s’en va (sans avoir mangé son petit déjeuner). La mère s’étonne mais sourit : ah ces mioches ! La jeune fille va pour monter sur son vélo tout neuf que personne n’a encore volé alors qu’il n’y a aucun cadenas, puis voyant passer une voiture, décide d’aller à pieds en dansant. Elle croise un grand supposé jeune balayeur, et danse avec lui, qui ne s’est pas non plus lavé les mains. Puis le boulanger sort pour éternuer dehors sa boutique et s’admirer dans sa vitrine, car il est vrai que lorsqu’on éternue, la morve tend à s’envoler du nez pour retomber sur le visage et les vêtements. Arrive la jeune fille et hop, voilà-t-y pas qu’il la fait danser avec la même main qu’il a utilisé pour arrêter les projections de son éternuement. Plus qu’à lui caresser le cou et tout le monde en ville attrapera son genre de lèpre.
Bref la jupe est courte et tout le monde peut voir sa petite culotte plusieurs fois, et je ne suis plus si certain que ce film soit animé. La jeune fille n’est pas pressée, danse avec n’importe qui et dérange tout le monde en chemin, y compris une classe de petits rats, sans oublier d’autres passantes qui font des pointes, le truc qui fait atrocement mal et vous laisse les pieds en sang et déforme vos orteils. Là voilà enfin sur la place où apparemment notre héroïne est patronne d’un café où tout est ouvert, les tables et les chaises installées avant son arrivée, et où personne ne paye. Notre héroïne ne s’embarrasse pas de manière et arrache à ses clientes un magazine de beauté. Puis le tenant, elle aperçoit un grand beau garçon et lui fait signe toute émue. Le grand beau garçon au lieu de venir lui parler, s’élance immédiatement pour faire sauter et danser un autre garçon de son âge, vite rejoint par deux amis. D’ailleurs seuls les trois garçons fondent comme des prédateurs en direction du café tandis que le chéri de l’héroïne fait danser d’autres filles et que l’héroïne astique furieusement son verre en fantasmant un rêve supposé érotique ressemblant à une publicité pour une lessive adoucissante.
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Ghosts, la série télévisée de 2021
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Ghosts (2021)
Remake de la série anglaise de 2019.
Une saison de 18 épisodes de 22 minutes.
Diffusé aux USA à partir du 15 octobre 2021 sur CBS US.
De Mathew Baynton, Simon Farnaby, Martha Howe-Douglas, Jim Howick, Laurence Rickard, and Ben Willbond ; avec Rose McIver, Utkarsh Ambudkar, Brandon Scott Jones, Richie Moriarty, Asher Grodman, Rebecca Wisocky, Sheila Carrasco, Danielle Pinnock, Roman Zaragoza, Devan Chandler Long.
Pour adultes et adolescents.
(comédie horrifique) La nuit, dans un grand manoir hanté, une très vieille dame respire difficilement allongée dans son lit, veillée par une petite assemblée de gens très différents : un jeune trader en costume cravate qui dit que cela ne tardera plus à présent, une imposante chanteuse de jazz afro-américaine en costume d’époque 1920, plumes et rangs de perles inclus qui dit qu’au moins la dame est à son aise, un grand scout à lunette, qui déclare qu’il y a définitivement pire façon de mourir, pointant la flèche qui semble lui être restée à travers le cou.
Tous les autres présents dans la pièce approuve. Un militaire avec veste à boutons dorés, manches de dentelle et chemise à jabot confirme que la dysenterie n’était pas une fête. C’est alors qu’un authentique indien d’Amérique tout à fait à gauche du pied du lit l’interrompt parce qu’il pense que c’est en train d’arriver. Aussitôt la chanteuse de jazz déclare qu’elle devrait chanter quelque chose pour faciliter le passage de la vieille dame. Une aristocrate en robe à collet serré lui répond qu’ou bien, peut-être elle, la chanteuse ferait bien de ne pas ramener ça à elle en plus de tout le reste. La chanteuse de jazz l’ignore et entonne Amazing Grace.
C’est alors qu’une vapeur lumineuse semble monter du corps de la vieille dame, sous le regard intrigué ou fasciné des huit spectateurs : l’indien, une jeune hippie, le soldat en frac, un jeune blouson noir au coup barré d’une énorme cicatrice sanglante, la dame aristocrate, un viking barbu massif, le scout à la flèche dans le cou et la chanteuse de jazz.
Baignée d’une lumière dorée, la vieille dame en chemise de nuit apparaît comme un ange suspendue debout au-dessus du lit et du corps qu’elle vient d’abandonner. Puis elle aperçoit les huit spectateurs et surprise demande qui ils sont. La dame aristocratique se prononce solennellement comme étant le fantôme de son arrière-arrière-grand-mère, Hetty Woodstone. Aussitôt la hippie fait un pas et se présente comme étant Fleur : elle vagabondait sur la propriété de la vieille dame ayant quitté un festival de musique dans les années 1960, puis elle a essayé d’éteindre amicalement un ours dans ses bras… des drogues étaient en causes.
Le soldat veut parler à son tour, mais le grand viking le devance et se présente comme Thorfinn… euh, il aime le hareng. Le soldat interrompt le viking : la vieille dame n’a pas besoin que le rang entier se présente ! Puis d’une voix douce il explique qu’ils sont des fantômes : alors que la plupart des esprits passent de l’autre côté pour la vie après la mort, ils sont les quelques infortunés condamnés à passer l’éternité… Soudain la vieille dame est aspirée à travers le plafond et avec elle la lumière surnaturelle et la petite musique céleste. Le soldat soupire alors : « Et elle est partie. » Le viking proteste : c’est si injuste, elle s’envole et eux restent en bas. Par Odin, pourquoi ? La chanteuse de Jazz préfère poser la question de ce qui va arriver maintenant à la maison… la fierté et la joie d’Hetty Woodstone. Maintenant elle va revenir à Dieu sait qui : des meurtriers ? des pervers ?… des irlandais ? Le soldat propose de quitter la chambre puisqu’il n’y a plus rien à y faire, tandis que le scout ajoute qu’il espère juste que quelqu’un d’intéressant emménagera : un champion de Baseball, ou un astronaute. Puis il demande à la cantonade quel genre de personne les autres ont envie de zieuter ?
New-York. Un jeune couple dans le bureau du notaire s’extasie devant la taille de la maison dont ils viennent d’hériter. Le mari s’inquiète : ils sont propriétaires de tout ça à présent, où est l’attrape-nigaud ? Aucun attrape-nigaud, assure le notaire : comme il l’a déjà expliqué au téléphone à son épouse, sa parente est décédée et lui a laissé sa propriété en héritage. La jeune femme blonde à veste rose réalise qu’il s’agissait de sa grand-tante Sophie : elle pense qu’elle l’a connue lorsqu’elle était enfant. Mais elle croyait qu’elle était morte il y a des années. Non, assure le notaire, elle vient seulement de mourir. Mais la bonne nouvelle est que la jeune femme est la suivante pour hériter. Mais est-ce qu’elle n’avait pas un fils ? s’étonne la blonde. Eh bien, répond le notaire, encore plus de bonnes nouvelles, lui est réellement mort il y a des années… Le mari préfère poser la question qui lui tient le plus à cœur : selon le notaire, à combien ils pourraient vendre cette propriété. Son épouse corrige : à supposer qu’ils veuillent vendre cette propriété. Le mari n’est pas d’accord : ils ne vont pas déménager dans une maison vieille de trois cents ans au milieu de nulle part parce que ça serait… il éclate de rire nerveusement puis fixe son épouse qui sourit ingénument, et il achève : n’est-ce pas ?
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Chroniques de la Science-fiction du 18 octobre 2021
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Chroniques de la Science-Fiction #2021-10-18 (2021)
Numéro précédent <> Numéro suivant.
Téléchargez ici l'exemplaire gratuit .pdf 48 pages A5 couleurs.
Ici bientôt l'index de toutes les Chroniques de la Science-fiction de 2021
Sorti le 17 octobre 2021 (première édition).
De David Sicé.
Les Chroniques sont une rubrique du fanzine l’Étoile étrange. Cette rubrique paraîtra désormais séparément pour tenir le rythme hebdomadaire de l'actualité de la Science-fiction même si le numéro complet de l’Étoile étrange n'est pas bouclé. Les numéros ont vocation à sortir rétroactivement et par anticipation, et donc à être mis à jour quand l'activité n'est pas complètement couverte.
Au sommaire, l'actualité de la semaine du 18 octobre 2021, plus les critiques de Warning 2021, Le peuple loup 2020, Needle in a timestack 2021, Injustice 2021, Smallville 2001, la main qui tue 1999, Rencontres du troisième type 1977, Les mains d'Orléac 1935, Un bonheur insoutenable 1970.
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Day Of The Dead, la série de 2021
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Une saison de 10 épisodes de 40 et quelques minutes.
Diffusé aux USA à partir du 15 octobre 2021 sur SYFY US.
De Jed Elinoff et Scott Thomas, d'après le film Day of the Dead 1985 (le jour des morts-vivants) de George A. Romero, avec Keenan Tracey, Daniel Doheny, Natalie Malaika, Morgan Holmstrom, Kristy Dawn Dinsmore.
Pour adultes.
(comédie horrifique) C'est jour d'élection pour la petite ville de Mawinhaken tandis que quelque part dans la montagne, un chantier d'extraction de boue bitumeuse par fracture hydraulique vient de perforer la voûte d'une grotte. Le chef de chantier envoie au fond du trou la dernière embauchée, une frêle amérindienne qui découvre un cadavre momifié attaché là. Elle prévient immédiatement la police locale, sans l'accord de son patron qui ne compte pas retarder le chantier pour si peu.
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