The Beastmaster (1982)
Traduction du titre original : Le maître des Bêtes.
Noter que ce film n'est pas une adaptation fidèle du roman de Andre Norton.
Ici l'article de ce blog sur la série télévisée Beastmaster, le dernier des survivants (1999)
Sorti aux USA le 16 août 1982.
Sorti en France le 27 avril 1983.
Sorti en blu-ray australien le 4 décembre 2013 (région B, anglais DTS HD MA 5.1 et DD 2.0, non sous-titré).
De Don Coscarelli (également scénariste) ; sur un scénario de Paul Pepperman, d'après le roman de Andre Norton ; avec Marc Singer, Tanya Roberts, Rip Torn, John Amos, Joshua Milrad, Rod Loomis, Ben Hammer, Billy Jayne.
Pour adultes et adolescents.
La nuit, dans une cité barbare. Une porte se soulève pour laisser passer trois silhouettes encapuchonnées qui marchent contre le vent jusqu’à une pyramide. À l’intérieur de la pyramide trois sorcières caquètent en faisant des passes au-dessus d’un miroir magique qui fait apparaître le visage d’une femme endormie – l’épouse du roi Zed, selon l’une des sorcières. Celui qui marchait en tête des trois encapuchonnés entre dans la pyramide et suit un couloir souterrain jusqu’aux trois sorcières. Il retire son capuchon et l’une des sorcières le salue : Maax, grand prêtre de la cité de Aruk. Puis elle déclare que le Dieu Ar a parlé et elles connaissent la vérité, et que la vérité a faim – et qu’elle est horrible ; une prophétie est funeste pour Maax. Celui-ci veut alors connaître la prophétie, et les trois sorcières relèvent la tête – elles sont défigurées. Selon l’une d’elle, Maax mourra des mains du fils non-né du roi Zed.
Maax s’en amuse : alors le fils non-né du roi Zed mourra. La sorcière proteste : la vérité ne peut-être altérée. Maax s’emporte : l’enfant mourra cette nuit-là. C’est alors que le roi lui-même fait son entrée, précédé de trois gardes armés d’épées. Les trois sorcières reculent, tandis que le roi Zed accuse Maax de préparer le sacrifice d’un enfant. Maax répond que le Dieu Ar réclame la vie d’un enfant non né. Zed rétorque qu’il ne permettra pas que l’on sacrifie un innocent, et bannie Maax à vie – personne en Aruk ne se rappellera de son nom, et il devra pratiquer sa religion païenne avec les barbares Juns aux frontières. Maax annonce alors que l’enfant non-né est celui du roi Zed, et qu’il doit être arraché au ventre de sa mère, marqué du signe de Ar et sacrifié.
Le roi Zed répond qu’il pourrait faire exécuter Maax. Celui-ci regarde chacun des deux prêtres qui l’accompagnaient. Les deux hommes sortent une espèce de harpon au bout d’une chaîne qu’ils plantent au plafond – et se pendent avec. Maax sourit alors largement. Zed commente que Maax n’est qu’un fanatique et fait emmener le prêtre. Alors que les gardes l’emmènent, il passe devant une vieille femme tirant un bœuf qu’il fixe. Cette vieille femme et son bœuf entre alors dans la chambre de la reine, verse un liquide fluorescent sur la gorge du couple royal – ils sont alors paralysés. La vieille femme fait des passes au-dessus du ventre de la reine qui se gonfle, en même temps que le ventre de la vache. Puis le ventre de la reine s’affaisse. La reine meurt, et la vieille femme part avec la vache, affirmant que l’enfant est à eux désormais.
Plus tard, dans une clairière, la vieille sorcière fait accoucher la vache d’un bébé humain, qu’elle marque à la main. Les cris du bébé attirent l’attention d’un berger, qui, au moment où la sorcière allait sacrifier le bébé, lui lance un couteau dans le dos. La sorcière semble s’effondrer, mais quand le berger approche, le manteau de la créature ne contient plus rien. La sorcière se tient debout dans le dos du berger, mais celui-ci parvient à la transpercer d’une épée et récupère le bébé, qu’il emmène avec lui jusqu’à un village dont les maisons sont montées sur pilotis. IL brandit alors le bébé avec fierté – et adopte le petit garçon, qu’il forme au maniement des armes. Mais alors que le père entraîne l’enfant – Dar – un ours arrive et s’en prend devant eux à un autre villageois, Tiis. Comme il approche pour menacer son père adoptif, Dar lui tient tête, et l’ours s’enfuit. Son père lui fait alors promettre de ne rien dire de son pouvoir : Dar est selon le vieil homme capable de toucher l’esprit des bêtes…
Devenu adulte, Dar salue son chien blanc Todo et descend de sa cabane perchée sur pilotis. Puis il va travailler aux champs comme les autres. Mais son attention est attirée par les aboiements de son chien du haut de la crête. Il court voir, vite rejoint pas les autres : la poussière au loin et le bruit du galops des chevaux lui signale que les barbares Juns arrivent droit sur leur village.
***
Donnez votre avis sur ce film en nous rejoignant sur le forum Philippe-Ebly.fr
***