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無への跳躍/mazecity (2006)
Romanji : Mu e no Cho-yaku/mazecity.
Traduction : Méditation 3, la cité labyrinthe.

Episode précédent <> Episode suivant.

Ici la page de ce blog consacrée à la série animée Ergo Proxy 2006.

Diffusé au Japon le 11 mars 2006 sur WOWOW JA.

De Shukō Murase sur un scénario de Dai Satō, avec les voix de Kōji Yusa, Rie Saitō, Kiyomitsu Mizuuchi, Akiko Yajima.

Pour adultes et adolescents ?

(cyberpunk, dystopie, robots) Une rame de métro apparemment déserte à part quelqu’un habillé en rouge, affalé sur une banquette. Sauf qu’une ombre haute aux cheveux dressés est fugacement projetée contre une cloison.

Comme ce quelqu’un a apparemment laissé choir une sorte de smartphone à ses pieds, le smartphone glisse sur le sol, emporté par son inertie comme la rame aborde ses virages. Et après le virage, un tunnel.

Un ciel nuageux jaune verdâtre. Triste, incroyablement triste... Un brouillard rampant à ses pieds nus, le jeune homme qui le pense regarde la paume de sa main. C’est... C’est encore ce rêve...

Alors la paume de la main du jeune homme s’illumine d’un logo en forme de trident, à moins que cela ne soit une sorte de clé électronique qu’il tiendrait dans sa main. Deux grosses gouttes s’écrase sur sa paume. Est-ce que je suis en train de pleurer ?

Soudain, il aperçoit sur un rocher proche, au travers de lambeaux de brume poussé par le vent un homme aux cheveux ébouriffés, et au long manteau dont les pans battent. C’est lui !

Le rêveur tente d’approcher l’inconnu, tend sa main vers lui, mais gémit de douleur, comme si quelque chose l’en empêchait douloureusement.

L’inconnu semble soudain se retourner, mais tout ce que le rêveur voit, ce sont des traînées de feu qui montent vers le ciel et en percent les nuages désormais noirs.

Puis le rêveur voit l’inconnu sourire. Je suis profondément triste, et pourtant je souris. Un nouveau cri de douleur, le monde bascule et la paume du rêveur vient frapper la terre. Ai-je été touché ?

L’inconnu marche. Le rêveur, s’appuyant sur ses mains, tente de se relever. Les pans du manteaux de l’inconnu flottent juste à côté de lui : Aujourd’hui, je vais le voir... J’y suis presque... Presque.

Nouveau cri de douleur. L’inconnu est toujours debout devant le rêveur, mais à distance, tandis que les colonnes de feu continuent de zébrer le paysage. Seulement l’inconnu clignote : il disparaît par intermittence, comme s’il n’était qu’un trucage vidéo.

Le ciel embrasé se perce alors de lumières blanches cliniques, qui recomposent le décor de la rame de métro. Quelqu’un vient de sortir à l’arrêt d’une station, par les portes automatisées.

A nouveau le smartphone glisse sur le sol, cette fois tout le long de l’allée centrale de la rame. De fait, son propriétaire, le rêveur, un jeune homme habillé de rouge, gît en travers de l’allée, sur le ventre, comme dans le rêve.

Le jeune homme murmure : « Le rêve... toujours le même rêve ! » Il tente de se relever en s’appuyant sur les paumes de ses mains, mais sa vue se trouble. Alors il veut voir la paume de sa main droite, lève la main gantée, ouvre la main : sa paume gantée est tâchée de sang.

Le smartphone bipe discrètement. Le jeune homme se lève, marche, tombe à genoux pour ramasser le téléphone la main tremblante et décrocher. Une voix de petite fille demande dans le haut-parleur : Vincent ? Mais où es-tu ?

Ergo Proxy S01E03:Le grand saut (2006)

Ergo Proxy S01E03:Le grand saut (2006)

Ergo Proxy S01E03:Le grand saut (2006)

Ergo Proxy S01E03:Le grand saut (2006)

Ergo Proxy S01E03:Le grand saut (2006)

Ergo Proxy S01E03:Le grand saut (2006)

Ergo Proxy S01E03:Le grand saut (2006)

Ergo Proxy S01E03:Le grand saut (2006)

Ergo Proxy S01E03:Le grand saut (2006)

Ergo Proxy S01E03:Le grand saut (2006)

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.

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Event Horizon, le film de 1997.Feu rouge cinéma

Event Horizon (1997)
Traduction : Horizon d'évènement (NDT limite de visibilité depuis un trou noir qui aspire en théorie la lumière).

Sorti aux USA et au Canada le 15 août 1997.
Sorti en Angleterre le 22 août 1997.
Sorti en France le 6 mai 1998.

De Paul Anderson, sur un scénario de Philip Eisner, avec Laurence Fishburne, Sam Neill, Kathleen Quinlan, Joely Richardson, Richard T. Jones, Jack Noseworthy, Jason Isaacs, Sean Pertwee.

Pour adultes.

(Horreur spatiale gore fantastique) 2015. Première colonie permanente établie sur la Lune. 2032. L’exploitation commerciale minière commence sur Mars. 2040. Lancement du vaisseau de recherche spatial Horizon d’Evènement pour explorer les limites du Système Solaire. Disparaît sans laisser de trace au-delà de la huitième planète Neptune. La pire catastrophe spatiale jamais recensée. 2047. Le présent. Un astéroïde file à travers l’Espace, dépassant une planète bleue avec un œil cyclonique. Neptune ?

Au-dessus de l’œil cyclonique, un vaisseau spatial illuminé en forme de croix. Son arrière train ventru d’allure steampunk affiche en gros caractère son nom de baptême, l’Horizon d’Evènement. A l’intérieur, des objets divers abandonnés flottent apparemment en apesanteur dans la pénombre : une bouteille d’alcool, un livre, un gobelet, un miroir ou cadre vitré, une montre-bracelet.

Sous le large corridor, une pièce avec un seuil en forme de croix illuminé de brume bleue, avec le corps d’un homme pied nu qui flotte à mi-hauteur tournant sur lui-même. L’homme est ensanglanté, la bouche ouverte et les yeux exorbités, il semble hurler et son hurlement semble résonner dans la pièce.

Le bip électronique d’un réveil matin. C’était seulement le cauchemar d’un homme allongé sur son lit blanc, le teint pas vraiment frais, mal rasé. Il arrête le réveil, tourne la tête trois photos grands format et une petit format fixée au mur de sa couchette : toutes les photos représentent une femme rousse d’âge possiblement aussi mûr que le sien, et lui-même figure un couple avec la rouquine, photo prise apparemment un soir de fête, cocktails à la main.

Sans crainde de tâcher la seconde photo de ses gros doigts, l’homme la détache de la cloison, puis s’assied au bord du lit et considère la photo : va-t-il la manger ou pas ce matin ? Il souffle : « Tu me manques. »

De fait, il y a encore plus de photo de la rousse sur l’étagère en face qui du coup prend sacrément l’allure d’un autel pour tueur en série. Finalement il ne mangera pas cette photo-là, pas tout de suite en tout cas, puisqu’il la dépose pour cacher une carte représentant en peinture un genre de cœur, ce qui en filant la métaphore supposerait qu’elle ne lui manque que physiquement.

Le même va pour se raser avec un grand coupe-chou. Sans doute lui fallait-il un prétexte pour embarquer une arme blanche redoutable à bord ? Il se fige et fixe des yeux le robinet qui goutte. Notez que la goutte ne flotte pas dans les airs. Il reprend son rasage.

L’homme semble avoir fait se lever un volet, et nous le voyons approcher la tête en bas, une barquette à la main qu’il semble déguster à la fourchette. La caméra dé-zoomant (où est le cameraman ?), nous découvrons qu’il habite un module immatriculé USAC appartenant à une sorte d'échafaudage orbitant au-dessus supposément de la terre, a priori sans dispositif permettant de maintenir une gravité à bord. Et pourtant la goutte du robinet qui fuyait ne partait pas en flottant dans l’air déclencher quelque court-circuit puis incendie ravageur à bord de cette station spatiale.

Et c’en est bien une : il s’agit de la station Jour, en basse orbite terrienne. Dans le haut parleur, nous supposons, de la cabine du raseur, une voix de femme type hôtesse de l’air en moins glamour annonce : « Professeur Weir, présentez vous au Lewis et Clark, quai d’amarrage quatre. »

Le vaisseau Lewis & Clark de l’USAC, catégorie Recherche et Sauvetage, Mission Top Secret est effectivement amarré nous supposons au quai quatre de la station Jour, mais cela ne se voit pas, puisque ce vaisseau a déjà quitté son quai d’amarrage et s’éloigne de la Terre.

Dans la cabine de pilotage, un certain Justin annonce que la propulsion ionique est parée. Un certain Smith lui répond : « Merci. » et je répond « Pas de quoi. »

Impossible de savoir si c’est Justin ou Smith ou Wesson, mais il ajoute : « Direction, vecteur un, neuf degrés… » et nous sommes super-avancés si nous voulions les suivre avec notre propre fusée.

Ils sont apparemment trois aux pupitres de ce poste de pilotage, portant ce qui ressemble à des uniformes militaires, cependant plus ou moins débraillés : une blonde qui n’a apparemment rien dit, à moins que ce soit un homme déguisé, et deux hommes à moins que ce soient des femmes déguisés. Le dernier qui a parlé annonce qu’ils sont prêts pour le verrouillage.

Possiblement celui qui a parlé enfonce des touches illuminées d’allures très sales parce que personne ne se lave les mains après avoir mangé et que personne non plus ne nettoie le pupitre. Un bip prolongé se fait entendre.

La cabine de pilotage est elle-même très mal éclairé et le tapis de sol qui semble essayer de se faire passer pour un grillage est froissé. Il semble y avoir des trous et des passages partout, mais vu les tonalités anthracites, les zones d’ombres étendues et les angles morts, absolument n’importe quelle peste ou prédator du moustique au caniche enragé ne ferait qu’une bouchée de cet équipage.

D’un autre côté je ne vois pas non plus comment ils pourraient se défendre sans faire immédiatement exploser leur vaisseau en court-circuitant l’inévitable dispositif d’auto-destruction si facile à enclencher et toujours impossible à désamorcer.

Et le premier qui a parlé, comme s’il avait lu dans mes pensées déclare, de manière tout à fait protocolaire : « Je ne peux pas le croire, c’est d’un ridicule ! J’en ai eu plus sur les bras ces six dernières semaines et maintenant cette m.rde. »

Et histoire de compliquer encore davantage toute tentative de repérer un xénomorphe dans la cabine de pilotage, il y a deux gros ventilateurs rétro-éclairés au plafond pour faire danser les ombres et probablement provoquer des crises d’épilepsie chez qui regarderait dans cette direction.

Le bavard se tourne alors vers la blondasse décorative qui n’a encore rien dit alors qu’habituellement à bord d’un bombardier ou d’un jet d’antan, tout le monde participait aux vérifications nécessaires à chaque manœuvre : « Je veux dire, pourquoi nous ne pouvons pas aller sur Mars, Capitaine ? »

Et avec l’air pénétré du violeur multi-récidiviste, il fixe la capitaine pour ajouter : « Je veux dire, que Mars a des femmes. » La blondasse répond de l’air d’avoir fait la fête les trois jours et nuits précédents d’affilés : « Smith a raison : Neptune, il n’y a rien là-bas. »

Haem, il y a bien Neptune, non ?

Apparemment, Smith c’est la tête de violeur multi-récidiviste qui a parlé le premier, voire tout le temps. Ils ne sont pas censés porter leur nom scotchés sur leur uniforme à la hauteur de la poitrine ou de l’épaule ? Smith surenchérit : « Ouais, et si la merde tombe, nous serons livrés à nous-même. »

D’abord elle ne tombera pas en apesanteur, c’est physiquement impossible. D’un autre côté, l’apesanteur des engins spatiaux lancés à l’ancienne, c’est une chute perpétuelle qui explique que les objets flottent, sinon ils tomberaient toujours mais dans la direction de la planète ou de l’étoile le plus proche.

Et puis ils ne seraient pas tous seuls, puisqu’un autre vaisseau de recherche et secours pourraient se mettre en route vers Neptune, puis celui-là perdu à son tour, un autre, et encore un autre, jusqu’à ce que quelqu’un se décide à installer des avants-postes et les desservir d’une ligne spatiale régulière, quand bien même automatisée, genre un train continu de drones jouant à saute moutons jusqu’à Nepture pour l’aller et le retour.

Le capitaine n’est pas la blondasse — une femme ou un trans mâle vers femelle-capitaine, mais qu’allais-je imaginer ? — C’est un acteur noir l’air mastoc et surtout célèbre : « Vous connaissez la règle, les gens. »

Ils sont pas militaires ces trois-là ? Et les formules d’adresse dans l’armée, il les connait, lui ? Le capitaine précise : « Quelqu’un déboulonne, c’est nous que l’on sonne. »Et qui faut appeler ? (Tous en chœur) Ghost Buster !!! Et d’ajouter pour de vrai : « Maintenant, on y va. »

Event Horizon, le film de 1997.

Event Horizon, le film de 1997.

Event Horizon, le film de 1997.

Event Horizon, le film de 1997.

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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Braindead, la série télévisée 2016 Feu vert télévision

Braindead S01E06: Notes Toward a Post-Reagan Theory of Party Alliance, Tribalism, and Loyalty: Past as Prologue (2016)
Traduction du titre original : Mort cérébrale S01E06: Notes vers une théorie post-reaganienne de l'alliance partisane, du tribalisme et de la loyauté : le passé en guise de prologue).
Titre français : La Musique des sphères.

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Ici l'article de ce blog sur la série télévisée Braindead (2016)

Diffusé aux USA le 31 juillet 2016 sur CBS US.

De Michelle King et Robert King ; Mary Elizabeth Winstead, Danny Pino, Aaron Tveit.

Pour adultes et adolescents.

(invasion extraterrestre satirique) Avec une violente aspiration, Laurel se redresse soudain dans son lit, les yeux grands ouverts, encore recouverte par la moustiquaire étendue plus tôt. Puis elle porte ses mains à sa tête et crie deux fois : « Oh ! » avant de soupirer : « Non, non ; non !!! »

Laurel se traîne hors de son lit, soulevant et rejetant la moustiquaire et répétant : « Non ! » Elle dégringole au sol, criant à nouveau, trouve son
smartphone et l’empoigne.

Le téléphone répond à son appel avec une voix fe femme blasée : « 911, quelle est le lieu exact de votre urgence ? » Laurel répond, tendue : « 857 Acker ! »

Toujours aussi inexpressive, la femme demande : « Maison ou appartement ? » Laurel répond d’une voix déformée : « Appartement 2 ! » Puis pousse un cri de douleur.

Au service des urgences, la dame devant son clavier et son moniteur, portant sur son gilet bley l’écusson « Communications Unifiées : 911-311) demande simplement : « Est-ce que vous allez bien, Madame ? »

Au téléphone, Laurel soupire et d’une petite voix répond : « J’ai besoin… d’une assistance médical ! » La standardiste répond sans se troubler : « Quelle est la nature de votre problème ? »

Laurel crie à nouveau de douleur et répond : « Des insectes sont entrés dans mon oreille ! » A son poste, la standardiste soupire. Laurel crie encore : « J’ai besoin d’aide ! »

La standardiste d’appuyer sur une touche qui bipe et d’annoncer : « J’ai un de ces appels, Mademoiselle Mooser. » Et la demoiselle en question répond en passant dans le dos de la standardiste : « Bien, transfère, j’y vais. »

La demoiselle effectivement s’assied au poste de la rangée derrière la première standardiste, met le casque avec micro et demande : « Vous avez des insectes dans votre oreille, Madame ? »

Laurel relève la tête et crie : « Oui !!! » Puis répète : « Oui, j’ai besoin d’aide, s’il vous plait, dépêchez-vous ! » Et la nouvelle standardiste de lui répondre : « Nous appelons immédiatement une ambulance, Madame : restez s’il vous plait à l’écoute, ne raccrochez pas. »

Sauf que la nouvelle standardiste n’appelle personne : elle se contente de piocher un bout de carotte et de le croquer avec délectation.

Pendant ce temps, Laurel n’est pas restée à l’écoule : elle s’est précipitée dans sa salle de bain et ouvre un lot de coton-tige. Comme elle s’apprête à enfoncer un premier coton-tige dans son oreille, on tambourine à sa porte.

C’est Gustav qui crie à travers la porte : « Laurel ! Sors les fleurs de cerisier, les insectes sont dans les fleurs !!! » Laurel titube hors de la salle de bain, tandis que Gustav tambourine à nouveau : « Laurel, réveille-toi ! C’est les fleurs !!! »

Effectivement, le bouquet de fleurs de cerisier dépasse encore de la poubelle. Laurel tombe à genoux en poussant un nouveau cri de douleur. Gustave tambourine encore : « Il faut que tu les sortes, maintenant !!! »

Braindead S01E06: La Musique des sphères (2006)

Braindead S01E06: La Musique des sphères (2006)

Braindead S01E06: La Musique des sphères (2006)

Braindead S01E06: La Musique des sphères (2006)

Braindead S01E06: La Musique des sphères (2006)

Braindead S01E06: La Musique des sphères (2006)

Braindead S01E06: La Musique des sphères (2006)

Braindead S01E06: La Musique des sphères (2006)

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.

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Disney Alien Predator Badlands, le film de 2025

Predator: Badlands (2025)
Traduction : Prédateur: Mauvaises terres.

Film précédent <

Annoncé en France le 5 novembre 2025.
Annoncé en Allemagne le 6 novembre 2025.
Annoncé aux USA le 7 novembre 2025.

De Dan Trachtenberg (également scénariste), sur un scénario de Patrick Aison et Brian Duffield, d'après le film Predator de 1987 de John McTiernan scénarisé par Jim Thomas et John Thomas ; avec Elle Fanning, Dimitrius Schuster-Koloamatangi.

Pour adultes.

(Artificiel woke toxique) Dans un futur lointain, sur une planète reculée, un jeune Predator, banni de son clan, trouve une alliée inattendue en la personne de Thia et se lance dans un périlleux voyage à la recherche de l'adversaire ultime.

Disney Alien Predator Badlands, le film de 2025

Disney Alien Predator Badlands, le film de 2025

Disney Alien Predator Badlands, le film de 2025

Disney Alien Predator Badlands, le film de 2025

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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