- Détails
- Écrit par David Sicé
L'effondrement S01E04 : J+25, Le hameau (2019)
Titre anglais : Collapse.
Episode précédent <> Episode suivant.
Ici la page de ce blog consacrée à cette série télévisée.
Diffusé en France à partir du 11 novembre 2019 sur Canal Plus et partiellement sur Youtube à partir du 12 novembre 2019.
De Jérémy Bernard, Guillaume Desjardins et Bastien Ughetto, avec Stéphane Malassagne, Samuel Giuranna, Husky Kihal, Titouan Laporte, Florence Fauquet, Marie Bouvet, Bertrand Constant, Sylvy Ferrus, Cyril Gueï, Julia Malassagne, Romane Malassagne, Cathrine Davenier, Roxane Bret, Arezki Halli, Xavier Gojo.
Pour adultes et adolescents.
Le conducteur chauve de la station service porte désormais une casquette et un sac à dos, et marche sur une petite route d’une forêt, en tête d’un petit cortège de gens visiblement fatigués et accompagnés d’enfants. A la femme rousse à côté de lui, il demande si elle ne pense pas qu’elle passe à côté d’un truc, transmettre la vie.
La femme répond blasée, encore moins maintenant, et de demander si l’autre se verrait avec des gamins dans ce bordel. Le chauve n’a pas cessé de sourire, mais la femme regarde de nouveau devant elle en déclara que c’est sûrement le meilleur choix qu’elle aura fait dans sa vie. Le chauve insiste : « et, t’en as jamais eu envie ? — Non. »
Un homme les rejoint avec une petite fille dans les bras et leur demande s’il ne leur reste pas un petit peu d’eau pour Romane : c’est le père de famille de la station-service. La femme rousse s’excuse : elle vient juste de finir sa gourde, mais ils ne devraient pas tarder à arriver, non ? Le chauve propose de la vodka mais le père refuse.
La jeune femme qui l’accompagne et tient la main à l’autre fillette demande si ça va mieux, et le père explique que non, Romane a toujours la diarrhée.
La jeune femme à la béquille se montre rassurante : la petite fille ne doit pas s’inquiéter, ils auront des médicaments pour la soigner. Le père déclare alors qu’il ne sait pas comment la remercier : sans elle et Mathieu, il ne sait pas ce qui leur serait arrivé…
C’est alors que la marche du cortège se précipite et qu’ils sont dépassés par un barbu qui annonce qu’ils sont arrivés : au bout du chemin, un portail de fer forgé et les toits d’une grande bâtisse et de ses dépendances.
Le chauve dit alors à la rousse qu’elle ne doit pas oublier : elle a perdu, elle doit donner. La rousse proteste : non, non, c’était juste un pari en l’air, qu’il ne s’emballe pas.
Le petit cortège entre alors dans la propriété, sous le regard apparemment médusé des habitants qui étaient occupés à cultiver un potager. La femme rousse réalise immédiatement qu’ils n’étaient pas attendus, et qu’ils ne sont a-priori pas les bienvenus…
***
Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
***
- Détails
- Écrit par David Sicé
L'effondrement S01E03 : J+6, L'aérodrome (2019)
Titre anglais : Collapse.
Episode précédent <> Episode suivant.
Ici la page de ce blog consacrée à cette série télévisée.
Diffusé en France à partir du 11 novembre 2019 sur Canal Plus et partiellement sur Youtube à partir du 12 novembre 2019.
De Jérémy Bernard, Guillaume Desjardins et Bastien Ughetto, avec Thibault de Montalembert, Michaël Abiteboul, Pauline Huruguen, Jean-Claude Lecas, Nézhaa Khelouya, Ambroise Carminati, Christophe Favre, Lola Le Roch, Pierre Rousselet, Alex Black, Laura Hatchadourian.
Pour adultes et adolescents.
(Apocalypse) "Maria, l’aspirateur !" appelle un barbu en marcel allongé dans le lit d’une chambre cossue, en compagnie d’une fille beaucoup plus jeune que lui. Maria ne répond pas, alors il se lève, nu, et regarde par la fenêtre. Il fait un temps splendide, il a vu sur la mer, pas un bruit à part le bip d’alarme de l’aspirateur robot.
Le barbu passe dans le couloir, enfile une robe de chambre. Comme il fait sombre, il appuie sur l’interrupteur, mais la lumière ne s’allume pas. Il trébuche alors sur l’aspirateur robot, un disque épais argenté monté sur roulettes, abandonné au milieu du chemin.
Le barbu appelle Maria à nouveau. Il entend encore un bip : ce n’est pas l’aspirateur, cela vient de son bureau, la pièce d’à côté. Il se précipite dedans, récupère une clé dans un coffret posé sur le bureau, va un meuble haut à tiroirs et avec un placard avec une plaque de marbre sur le dessus et un globe terrestre à l’ancienne posé dessus, déverrouille le placard, qui abrite deux grosses valises en plastique jaune et poignets métal, ainsi qu’un téléphone satellite, qui émettait le bip électronique depuis le début.
Le barbu déploie l’antenne du téléphone satellite, on entend un oiseau chanter dehors, puis il répond « allo » au téléphone. Un jeune homme lui répond, l‘appelant Monsieur Démarest, et dit : « écoutez-moi bien, vous devez absolument être à l’aérodrome de Saint-Remy dans 16 minutes ».
Pas bien réveillé, Démarest demande l’heure qu’il est. Son interlocuteur lui répond : « 8 heures 34, cela fait trois heures que nous essayons de vous joindre vous et votre femme pour vous évacuer. »
Demarest demande si c’est un entrainement, son interlocuteur lui répond : « non, Monsieur, la procédure a été lancée dans la nuit. » Après un temps, Demarest demande encore si son interlocuteur est sûr de son fait. Celui-ci confirme : oui, tous nos indices sont dans le rouge ; en fait nous avons déjà trop attendu. »
***
Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
***
- Détails
- Écrit par David Sicé
Firefly S01E10: Ariel.
Traduction : Ariel. Titre canadien et français : intrusion.
Episode précédent <> Episode suivant.
Ici l'article de ce blog sur la série Firefly (2002)
Diffusé aux USA le 15 novembre 2002 sur FOX US.
Sorti en DVD anglais le 19 avril 2004 (piste français canadien incluse, sous-titres français inclus).
Diffusé en France le 28 avril 2005 sur SERIE CLUB FR.
Sorti en Blu-ray américain le 11 novembre 2008 (multi-régions, piste français canadien incluse, sous-titres français inclus).
De Joss Whedon, avec Nathan Fillion, Gina Torres, Alan Tudyk, Morena Baccarin, Adam Baldwin, Summer Glau, Sean Maher, Mark Sheppard.
Pour adultes et adolescents.
(Space opera, Western spatial, horreur, comédie) Le Sérénité vole de nouveau à travers l’Espace. Dans le salon des passagers, Jayne a démonté l’une de ses armes pour la nettoyer en grimaçant.
Autour de la table basse, assises, Inara sur le divan, Kaylee dans un des fauteuils — disputent ce qui ressemblerait à une partie de Mah Jong très calm, à côté d’une pile de livres.
Au comptoir de la salle à manger, Simon et sa jeune sœur River font la cuisine, ou plutôt Simon remplit un bol de quelque chose qui ressemblerait à du riz pour River, qui répond très vite : « J’en veux pas. »
Simon objecte : « River, tu dois manger. » Et d’insister en prenant de l’aliment avec ses baguettes et en portant la bouchée à sa bouche : « C’est bon, ça a le goût du… » Il s’interrompt pour goûter, et grimaçant, la bouche pleine, il insiste à nouveau : « C’est bon ! »
De la table à manger sur laquelle il a étalé les parties de son arme et son nécessaire de nettoyage, Jayne intervient : « … ça a un goût de cul. »
Kaylee fait mine de s’indigner, toujours souriante : « Jayne ! » Jayne lui répond, toujours appliqué à nettoyer son arme : « Eh bien, c’est vrai. »
Dans le couloir des cabines d’équipage, à l’étage au-dessus, le pilote Wash et son épouse Zoé ont un débat. Wash argumente : « Nous n’avons même pas besoin d’aller dans un endroit chic : on pourrait juste aller au parc ou quelque chose (du genre) ; nourrir les pigeons. »
Zoé répond en souriant : « C’est sûr, nourrir les pigeons… » Et comme elle pose ses mains sur les épaules de Wash, elle achève : « Et probablement se retrouver fusiller pour avoir jeté des trucs par terre. »
Zoé le laisse et descend l’escalier de métal vers le salon des passagers. Wash suit en protestant : « Allons, c’est pas si dangereux. » Zoé réplique : « ça l’est : c’est une planète centrale, c’est sans défaut, ils ont des détecteurs — et quand il n’y a pas de détecteurs, il y a des flics. »
Wash et Zoé passent du salon des passagers à la salle à manger et Zoé de conclure : « Toutes les planètes centrales sont pareilles. »
Alors Wash prend à partie Jayne, Inara et Kaylee : « Pourriez-vous dire à mon épouse tout le plaisir qu’elle est en train de rater ? » Inara répond : « Ariel est t plutôt un endroit agréable, en fait : il y a de très beaux musées, sans oublier parmi les meilleurs restaurants du Centre (du système solaire). »
Wash veut corriger Inara à l’attention de Zoé, qui se sert du café au comptoir de la salle à manger : « Oui mais — pas aussi barbant que de la manière qu’elle le dit. Il y a euh… euh… » Wash se tourne vers Simon occupé à manger la nourriture qu’il a préparée, et Simon suggère ingénuement : « Il y a la randonnée. »
Zoé fait mine d’admettre le frénétiquement palpitant de ce genre de distraction, alors que Simon poursuit son énumération : « Et vous pouvez aller nager dans un lac bio-luminescent. »
Plein d’espoir, Wash hoche la tête, mais Zoé répond : « Je me fiche de savoir s’il y a des couchers de soleil toutes les heures de la journée, je ne poserais pas le pied sur cette planète. »
Et le capitaine Malcom Reynolds de faire son entrée dans la salle à manger : « Personne ne posera le pied sur ce caillou à la mode : je refuse que quiconque quitte ce vaisseau ; et même en y rependant, je refuse que quiconque la regarde par une fenêtre, ou parle à voix haute ; on est juste là pour déposer Inara et c’est tout. »
Jayne objecte : « Quel intérêt de visiter le Centre si je ne peux même pas débarquer ? » Mal marmonne : « Tu n’avais qu’à débarquer avec le pasteur Book à l’Abbaye des Portes des Thermes : tu aurais pu être à méditer sur les merveilles de ton jardin de pierres à présent. »
Jayne soupire et admet : « … ça serait toujours mieux que juste rester assis là. » Wash objecte : « (Méditer) c’est juste rester assis. »
Alors Zoé demande : « Alors combien de temps est-ce que vous resterez à planète ? » Inara répond : « Cela ne devrait pas durer plus d’un jour ou deux. » Pendant ce temps, River regarde fixement Jayne qui lèche la lame son grand couteau de combat.
Wash, qui s’est vautré dans un grand fauteuil, remarque : « C’est une longue escale, juste pour renouveler votre permis de Compagner. » Puis il demande : « Est-ce que je peux utiliser (le mot) Compagne en tant que verbe ? » Inara rit : « C’est la loi de la Guilde : elle exige de tous les compagnons qu’ils subissent un examen médical une fois par an. »
Jayne se râcle alors audiblement la gorge et crache sur sa lame. Simon, toujours à manger, ferme douloureusement les yeux. Puis il essaie : « Pourriez-vous — ne pas — faire ça quand nous… Jamais ! » Jayne regarde le jeune médecin et crache à nouveau. Simon, écœuré, quitte la table à manger.
Wash reprend : « Alors, deux jours à l’hôpital, c’est affreux ! Est-ce que vous ne haîssez pas les docteurs (à force) ? » Offensé, Simon se retourne vers Wash : « Hé ! » Wash corrige aussitôt : « Je voulais dire, ceux qui sont actuellement en notre compagnie exclus… »
Et pendant ce temps, River a pris un couteau de boucher dans le pot à couverts derrière le comptoir. Jayne répond, sarcastique : « N’excluons personne, ce serait impoli… »
Très fier de son bon mot, il n’a pas vu River se glisser derrière lui — et la jeune fille lui taillade alors la poitrine, et le mercenaire pousse un cri de douleur, puis bondit de sa chaise et envoie une baffe magistrale à River, précipitée au sol.
Tout le monde s’est levé de son siège et se précipite, Simon s’exclamant : « Que Diable ? River, non !!! » Auprès de Jayne qui est retombé sur sa chaise et Zoé constate : « Il saigne, c’est profond ! »
Mal, lui s’est précité auprès de sa jeune sœur : « Est-ce que ça va ? ». River saigne de la lèvre, et fixe à nouveau Jayne, qui ahane de douleur ; elle déclare : « Il est mieux en rouge. » devant tout l’équipage, horrifié.
Dans l’infirmerie, Jayne, que recoud Simon, accuse devant son capitaine : « La gorram de flippante est complètement déjantée ! » Simon s’excuse platement : « Je suis désolé à ce sujet, je ne sais pas ce qui… » Jayne rétorque : « La ferme, je te parle pas ! »
Puis il ajoute à l’attention de son capitaine : « Faut qu’elle dégage, les deux doivent dégager : Ariel est est un endroit aussi bien que n'importe quel autre pour les abandonner ; on pourrait même s’offrir une récompense pour nos ennuis. » Malcom Reynolds répond simplement : « Personne ne sera abandonné. »
Jayne insiste : « Sa place est dans un asile de piqués ! Si tu ne l’arraches pas de ce vaisseau maintenant, j’te jure que… »
Son capitaine revient alors à lui, menaçant : « Tu quoi ? Tu me jure que quoi, Jayne ? » Jayne répond simplement : « S’ils ne dégagent pas, — va falloir commencer à verrouiller vos cabines la nuit : la prochaine fois que la p’tite sœur est d’humeur massacrante, ça sera p’têt’ toi qu’elle viendra chercher ; ou peut-être Kaylee — ou Inara : tu les laisses rester, on verra bien qui. »
***
Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
***
- Détails
- Écrit par David Sicé
L'effondrement S01E02 : J+5 La Station-service (2019)
Titre anglais : Collapse.
Episode précédent <> Episode suivant.
Ici la page de ce blog consacrée à cette série télévisée.
Diffusé en France à partir du 11 novembre 2019 sur Canal Plus et partiellement sur Youtube à partir du 12 novembre 2019.
De Jérémy Bernard, Guillaume Desjardins et Bastien Ughetto, avec Philippe Rebbot, Quentin Faure, Stéphane Malassagne, Christelle Cornil, Etienne Ménard, Naël Malassagne, Théo Gross, Vanessa Perea, Julia Malassagne, Romane Malassagne, Baptiste Caminade.
Pour adultes et adolescents.
(Prospective, Apocalypse) Deux petites filles sont assises à l’arrière d’une voiture en stationnement. L’une d’elle avec des nattes chante pour passer le temps une comptine à propos du papa tortue, de la maman tortue qui vont toujours au pas ! et… elle s’arrête pour écouter les voix étouffées dehors.
C’est leur père qui négocie avec l’employé de la station service : il explique qu’il voudrait acheter 1500 euros d’essence. L’employé lui veut de la nourriture alors le père peut garder son fric. Le père répond qu’ils n’en ont pas, alors l’employé s’étonne : et les filles, elles n’ont rien à manger. Le père confirme, ils n’ont presque rien.
Alors l’employé ordonne au père de dégager, et siffle. Le père demande d’attendre, ouvre alors la portière et dit aux petites filles de lui passer leur sac. Il referme la portière, et l’employé lui répond qu’ils ne prennent pas ça.
Le père proteste : il n’a que ça. L’employé répond que dans ce cas, ils perdent leur temps, le père doit dégager. Le ton du père monte : il dégage comment, il n’a plus d’essence, il lui a dit. L’employé appelle son fils et à deux, ils poussent la voiture dans le fossé tandis que les deux fillettes sur la banquette arrière se retournent et se mettent à crier et à demander ceux que font les hommes.
A travers la vitre, le père tente de les rassurer : ce n’est rien ! c’est pas grave. Un choc violent. Dehors le père est retenu par les deux hommes et le plus âgé lui rend son sac en lui disant que toutes manières sa voiture ne serait pas allée plus loin, et qu’il est désolé pour les petites.
Déjà le plus âgé va voir un autre automobiliste chauve qui vient de s’arrêter pour demander si leur station service ont encore du Diesel. Du Diesel non, de l’essence, oui, il n’a qu’à faire la file.
L’homme demande encore s’ils ont des bidons et l’homme qui déjà s’en va répond qu’ils n’ont pas de bidons, ils rationnent. Déjà une autre voiture arrive devant les pompes, accueillie par le pompiste moustachu.
***
Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
***