Los Angeles 2013, le film de 1996Feu orange cinéma

Escape From Los Angeles (1996)
Traduction du titre: L'évasion de Los Angeles.
Titre français : Los Angeles 2013.

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Sorti aux USA le 9 août 1996.
Sorti en Angleterre le 20 septembre 1996.
Sorti en France le 13 novembre 1996.

Sorti inclus dans le coffret 4x4K John Carpenter (New York 1997 / Prince des ténèbres / Invasion Los Angeles / Fog) STUDIO CANAL FR le 2 octobre 2019.
Sorti en blu-ray américain SHOUT FACTORY US le 26 mai 2020.

Sorti en coffret br+4K américain PARAMOUNT US US le 22 février 2022 (disque 4K défectueux -- dialogues confiné au satellite droit -- au code barre blanc, le code barre jaune serait correct, remplacé par la Paramount; Code central du disque UHD Original défectueux : (1188566) WW151275UVR1; remplacement : 58142498/WW151275UVR2).

Sorti en blu-ray 4K français PARAMOUNT FR le 23 février 2022.
Sorti en blu-ray français PARAMOUNT FR le 6 juillet 2022.
Sorti en br+4K allemand PARAMOUNT DE le 13 juillet 2022.
Sorti en blu-ray+4K+DVD américain PARAMOUNT US le 12 octobre 2022 (Wallmart exclu jusqu'au 21 mai 2024) UHD correct.

De John Carpenter (également scénariste), sur un scénario de Debra Hill (également productrice) et Kurt Russell (également acteur et producteur), d'après le film de 1981 de John Carpenter et Nick Castle ; avec Kurt Russell, Stacy Keach, Steve Buscemi, Peter Fonda, Georges Corraface, Cliff Robertson, A.J. Langer, Michelle Forbes, Pam Grier, Jeff Imada, Valeria Golino, Bruce Campbell.

Pour adultes et adolescents.

(Dystopie) 1998. Vers la fin du 20ème siècle, les forces hostiles à l’intérieur des Etats-Unis se renforcèrent. La ville de Los Angeles est ravagée par le crime et l’immoralité. Pour protéger et défendre ses citoyens, la Force de Police des Etats-Unis est formée.

Un candidat présidentiel prédit qu’un tremblement de terre millénaire détruira Los Angeles en guise de punition divine : « tel le puissant poing de Dieu, Armageddon descendra sur la cité de Los Angeles, la cité du péché, la cité de Gomorrhe, la cité de Sodome, et les eaux monteront, et sépareront cette cité pécheresse de notre pays. »

Un tremblement de terre atteignant 9.6 sur l’échelle de Richter frappe à douze heures et cinquante-neuf minutes le 22 août de l’année 2000. Après la dévastation, la Constitution est amendée et le président nouvellement élu accepte un mandat présidentiel à vie. La capitale du pays est déplacée de Washington D.C. à Lynchburg en Virginie, la ville d’origine du président.

L’île de Los Angeles est déclarée comme ne faisant plus partie des Etats-Unis et devient un point de déportation pour toute personne déclarée indésirable ou inadaptée à vivre dans la nouvelle et morale Amérique.

La Force de Police des Etats-Unis, telle une armée, campe le long du rivage, rendant impossible toute évasion de Los Angeles. Depuis les collines au Sud-Est du comté d’Orange jusqu’aux côtes du Nord-Ouest de Malibu, la grande muraille coupe Los Angeles du continent.

La première loi ordonnée par le président en tant que commandant en chef permanent est la Directive 17 : une fois qu’un américain perd sa citoyenneté, il est déporté sur cette île des damnés et ne revient jamais.

2013. Le présent.

Une rangé de policiers casqués avec un bouclier à l’insigne en forme d’aigle stylisé. Dans les hauts-parleurs, un homme débite : « Attention, nous sommes en alerte tactique : que tout le monde reste à son poste de combat. Je répète, restez à vos postes de combat. »

Los Angeles, Vendredi 19 heures. Dans la nuit, deux hélicoptères portant le même insigne en forme d’aigle survole une côte, avec un supermarché en ruine dont l’enseigne encore lisible mentionne que nous sommes dans ce qui était la vallée de San Fernando.

Les hélicoptères passent au-dessus des miradors de la base de la Force de Police des Etats-Unis, et en contrebas, les policiers soldats trottent tandis qu’un groupe de civils penauds attendent derrière les grilles d’être pris en charge.

Tandis qu’un van sort d’un portail aux lourdes portes blindées, un homme à la radio annonce : « Ceci est la chaîne de la Police et les nouvelles du soir : dans un sujet de dernière minute, la Force a annoncé l’arrivée du plus fameux hors-la-loi de l’Histoire des Etats-Unis à la Base de Feu numéro 7, le centre de déportation pour l’île de Los Angeles. A présent nous sommes en direct pour ce reportage sur place »

Une blonde prend un air dramatique devant les grillages retenant les civils penauds, entourés de casques et de bottes : « Héros de la guerre, criminel, l’homme le plus recherché de la Force, convaincu de 27 crimes moraux ; arrêté il y a deux semaines pour le crime de se battre à l’arme à feu pour de l’argent à New Vegas sur le territoire américain de la Thaïlande. Cela faisait seize ans depuis son fameux sauvetage dans New-York et les témoignages sur les apparitions de Plissken ont été constants tout ce temps durant… »

Une policière entre dans le poste de commandement : « Commandant ? » et un homme barbu en uniforme arborant une moue supérieure fait pivoter son fauteuil pour se tourner vers elle, qui poursuit : « Nous traçons encore l’équipe de sauvetage, Monsieur. »

Le barbu demande : « Un signal stationnaire ? » La policière confirme : « Il n’a pas bougé de cette localisation. » Le barbu en déduit en attrapant un atomiseur de parfum ou de produit désinfectant ou les deux : « Cela veut dire qu’il se cache, qu’il a été capturé ou qu’il est mort. » La policière demande : « Alors, on fait avec Plissken ? » Le barbu confirme : « c’est tout ce qui nous reste. »

Le van qui venait d’arriver ouvre automatiquement ses portes arrières : à l’intérieur, un seul prisonnier, chevelu et barbu, menotté, que quatre gardes casqués alignés en deux ailes devant les grilles retenant les civils mettent immédiatement en joue. Le prisonnier se lève et fait face aux gardes

Ses cheveux sont grisonnants, il a toujours sa barbe de trois jours, son cache-œil à gauche, son tee-shirt noir et sa veste de cuir usée, mais au moins il a échangé ses jeans contre un pantalon de treillis. Les gardes ont relevés le canon de leurs armes automatiques et encadre un chef aux cheveux blancs, qui vient d’arriver et qui déclare : « Plissken, bienvenue à L.A. Allez, on bouge… »

Apercevant le prisonnier sur l’un de ses écrans vidéos, la policière à côté du chef barbu s’étonne : « C’est ça, Snake Plissken ? » Le barbu demande à la femme : « Vous vous attendiez à quoi ? — Je ne sais pas, il a l’air si rétro, genre, du 20ème siècle. » Le barbu répond en mettant sa casquette : « Le bon vieux temps ; allons y ! »

Pendant ce temps, dans la cour, une colonne de femmes, d’enfants et de vieillards sont escortés l’entrée d’un autre bunker et dans les hauts-parleurs un homme déclare : « Vous entrez à présent dans le Centre de déportation : vous avez été convaincu de crime moral contre les Etats-Unis d’Amérique et condamné à l’expulsion permanente au-delà de ses frontières ; tout refus de se conformer aux instructions de la procédure entraînera l’usage de la force. »

Los Angeles 2013, le film de 1996

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New-York 1997 le film de 1981Feu orange cinéma

Escape From New-York (1981)
Traduction du titre : L'évasion de New-York.
Titre français : New-York 1997.

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Sorti en France le 24 juin 1981.
Sorti aux USA le 10 juillet 1981.
Sorti en Angleterre le 24 septembre 1981.

Sorti en blu-ray anglais OPTIMUM UK, le 4 août 2008.
Sorti en blu-ray français STUDIO CANAL FR le 23 octobre 2008.
Sorti en coffret br+dvd américain MGM US (multi-régions vf inclus) le 3 août 2010.
Sorti en coffret deux blu-rays américain SHOUT FACTORY US (collector) le 21 avril 2015.
Sorti en coffret deux blu-rays anglais STUDIO CANAL (nouveau transfert) le 26 novembre 2018.
Sorti en coffret 2br+4K français STUDIO CANAL le 5 décembre 2018.
Sorti en coffret 2br+4K anglais STUDIO CANAL le 18 mars 2019.
Sorti en coffret 2br+4K SHOUT FACTORY US (collector) le 17 mai 2022 (réputé meilleur image et son du moment)
Sorti en 4K STUDIO CANAL FR le 1er mars 2023

De John Carpenter (également scénariste), sur un scénario de Nick Castle, avec Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Donald Pleasence, Isaac Hayes, Harry Dean Stanton, Adrienne Barbeau.

Pour adultes et adolescents.

(Dystopie) 1988. Le taux de criminalité dans les Etats-Unis a été multiplié par quatre. New-York City devient l’unique prison de haute-sécurité pour l'entièreté du pays. Un mur de rétention de 150 mètres de haut est construit sur la rive opposée à l’île de Manhattan et entour complètement l’île. Tous les ponts et voies fluviales sont minées. La police campe telle une armée autour de l’île. Il n’y a pas de gardes à l’intérieur de la prison, seulement les prisonniers et le monde qu’ils ont construit. Les règles sont simples : une fois que vous êtes entrés, vous ne ressortez pas.

1997 : le présent. La nuit. Une jeep s’arrête au bas d’un haut mur de béton . Le chauffeur en uniforme casqué tient un talkie-walkie, et dedans, il déclare « ceci est la Station 17 de Gotham 4, Baie du Nord : j’ai une tentative d’évasion en cours, un objet à mi-chemin des eaux se dirigeant vers le mur. » Il y a une plaque scellée dans le béton quelques mètres au-dessus de la jeep : « Pénitencier de Sécurité Maximale de New-York, île de Manhattan. »

Sur le chemin de ronde qui surmonte la muraille, deux gardes armés, et quelques immeubles illuminées dans l’obscurité d’en face. Un hélicoptère passe dans ciel. Un projecteur balaie les eaux noires sur lesquelles deux hommes à plat-ventre sur un radeau recouvert d’un treillis militaire pagaient. Un haut-parleur à bord de l’hélicoptère leur annonce : « Vous avez dix secondes pour faire demi-tour. » Puis l’hélicoptère largue une torpille qui illumine d’un halo vert le dessous de la surface de l’eau. Et le radeau explose.

L’hélicoptère refait un tour en promenant ses projecteurs sur la rive, passe derrière la Statue de la Liberté en contrebas de laquelle un garde en marche demande par talkie-walkie de confirmer que la cible a bien été éliminée. Ce que fait apparemment l’équipage de l’hélicoptère par un « Ai fait un cercle autour, terminé… », et le garde d’annoncer à la Sécurité : « Ici Rehme, nous avons la confirmation de Gotham 4, nous en avons abattu deux à mi chemin de la baie, au Sud de la Batterie, deux corps à l’eau … » et on lui répond « Deux confirmés. »

Rehme lance un « très bien » et entre dans une guérite illuminée où se trouvait déjà un autre garde. Il décroche le combiné téléphonique dans la guérite, et déclare « Contrôle aérien, ici Rehme… » Sur le mur de la guérite, imprimé en blanc au pochoir : « Poste de contrôle de l’île de la Liberté. Et un peu plus loin, l’héliport au sol détrempé. Un hélicoptère est garé, un autre se pose au loin, un bus passe derrière le premier hélicoptère et devant la bannière étoilées pendue au fond depuis une passerelle.

Du bus illuminé par des néons verdâtres descend un homme en jeans et veste de cuir marron usée ( ?), chevelu barbu et borgne (Snake Plissken), suivi de trois gardes casqué visière baissé et armé d’un fusil d’assaut. Comme le barbu semble marquer un temps d’arrêt, le premier garde le pousse dans la direction du fond de l’héliport et tous se remettent en marche. Ils obliquent en direction d’escaliers descendants ouverts dans un long bloc de béton.

Au mur, au pochoir, les consignes : « pas de bavardage, pas de tabac ; suivez la ligne orange » le dernier mot étant poché à la peinture orange. Dans les hauts-parleurs, une voix de femme avertit : « Attention, vous venez d’entrer la zone de débarquement : ne parlez pas, ne fumez pas, suivez la ligne orange jusqu’à la zone d’enregistrement… Le prochain départ pour la prison est dans deux heures. Vous avez l’option de mourir et d’être incinéré sur place. Si vous choisissez cette option, notifiez-le au sergent de votre zone d’enregistrement. »

Les policiers regardent passer le prisonnier barbu, puis quelqu’un demande au petit cortège d’attendre à ce point du couloir. A la surface, une limousine blanche passe à son tour entre les hélicoptère et se gare. En descend un moustachu chauve avec une boucle à l’oreille gauche. Il soupire. Rehme vient le rejoindre et lui fait son rapport : « Nous avons un petit avion à réaction en difficulté dans la zone aérienne restreinte. »

Le moustachu demande : « Où est-il ? — A sept miles, en approche. » Ils s’en vont vers le bunker derrière eux, la zone d’enregistrement. Au bas des escaliers, dans le couloir, Rehme explique : « Nous les avons à l’écran depuis les dernières vingt minutes ; nous n’avons pas pu les contacter ; il y a eu une transmission il y a dix minutes : ils se sont identifiés comme étant David 14, et tout d’un coup plus rien. »

Alors que le vol ne répond toujours pas, Rehme ajoute qu’ils n’ont pas retrouvé ce code dans leurs archives et ont envoyé un telex à Washington, sans réponse. C’est alors que le radio du poste de contrôle leur annonce qu’il pense les avoir en contact radio, et une voix de femme leur lance : « C’est trop tard, trouducs, toutes vos armes impérialistes et vos mensonges ne pourront plus le sauver à présent : nous plongeons, nous allons nous écraser ! »

Puis derrière eux, un autre opérateur lance qu’ils ont identifié le code du vol David 14 : sur son écran, s’affiche en vert sur fond noir : aéronef identifié, code « David 14, décodé : Airforce One. » aka l’avion du président des Etats-Unis d’Amérique du Nord.

New-York 1997 le film de 1981

New-York 1997 le film de 1981

New-York 1997 le film de 1981

New-York 1997 le film de 1981

New-York 1997 le film de 1981

New-York 1997 le film de 1981

New-York 1997 le film de 1981]New-York 1997 le film de 1981

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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ImageFeu rouge télévision

The Book of Boba Fett (2021)
Traduction du titre en français : Le Livre de Boba Fett.

Une saison de sept épisodes dont certains prévus pour la saison 3 du Mandalorian.

Diffusé à l’international à partir du 29 décembre 2021 sur Disney Moins.

De John Favreau (également producteur), d’après les trois premiers films Star Wars ; avec Temuera Morrison et Ming-Na Wen. Notamment producteurs : Dave Filoni et Kathleen Kennedy.

Pour adultes et adolescents.

(faux Star Wars, faux Space opera, toxique woke) Un type masqué se débat dans ce qui ressemble à un œsophage géant à Storm Troopers. Il décide d’utiliser son lance-flamme pour sortir, sans craindre de se rôtir lui-même alors que l’endroit est très étroit. Puis s’étant hissé pour arriver dans un désert il est capturé par des extraterrestres masqués de divers formats qui le déleste de son masque et sa combinaison — il est chauve et laid, sans trait de personnalité — traînent en plein soleil jusqu’à l’attacher de nuit sans surveillance.

Là il s’échappe et tue une espèce de chien échappé de Resident Evil, puis il affronte un humanoïde en combat qui après avoir assommé le chauve dialogue en aboyant avec ses deux collègues. Le chauve se réveille alors dans une cuve de régénération, déclare que les rêves sont revenues, enfile la combinaison et le masque de Boba Fett pour s’installer sur un espèce de trône pour recevoir une fourrure en guise d’offrande par un extraterrestre — ayant apparemment pris la place de Jabba le Hutt, flanqué d’une esclave asiatique (complètement habillée) qui se la joue première femme de main. Mais contrairement à Boba, et tant d’autres acteurs dans cette série, elle a le visage découvert, signe qu’elle est vraiment sur le plateau de tournage.

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The Green Hornet,le serial de 1940)Feu vert télévision

Greenhornet S01E03: Flying Coffins (1940)
Traduction du titre : le frelon vert, les cercueils volants.

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Ici la page de ce blog consacré au serial The Green Hornet 1940.

Sorti au cinéma à partir du 23 janvier 1940.

De Ford Beebe et Ray Taylor sur un scénario de Fran Striker, George H. Plympton, Basil Dickey, Morrison Wood, Lyonel Margolies, d’après le feuilleton radiophonique de 1936 de Fran Striker et George W. Trendle ; avec Gordon Jones, Wade Boteler, Keye Luke, Anne Nagel.

Pour adultes et adolescents

(mystère, justicier, super-héros, techno-thriller) Chapitre Trois.

Britt Reid apprend que les hommes tués dans le désastre du tunnel étaient assurés en faveur de la compagnie de construction par un courtier nommé Mortenson. Masqué en tant que le Frelon Vert, Reid localise Mortenson, mais avant qu’il ait pu forcer celui-ci à tout avouer, Axford et la police arrive et le Frelon doit prendre la fuite. Monroe, le patron de l’organisation criminelle, ordonne à Mortenson de détruire tous les documents et de quitter le pays. Le Frelon et Kato se lancent à la poursuite de Mortenson, qui est monté dans un train. Le Frelon saute à bord après lui et…

On se bat au poste de pilotage du train à vapeur. Le Frelon et son adversaire — Mortenson — tombent et roulent tout en bas d’une pente herbue. Kato, qui suivait le train en voiture, rejoint le Frelon Vert auprès de Mortenson : encore en vie, mais inconscient ; ils doivent l’amener à l’hôpital de la Police, immédiatement.

Dans le bureau de l’organisation criminelle au Bradbury Building, l’un des mafieux lit le journal à son patron : un grand jury a inculpé Mortenson. « Et quoi d’autre ? » demande son patron. « L’inculpation est basé sur des preuves envoyés par courrier au procureur du district, par le désormais fameux Frelon Vert. Le procureur du district espère découvrir les hauts responsables pour qui le courtier en assurance a agi. »

Le patron remarque à son lieutenant : « Ils te connaissent à la prison du Comté en tant qu’avocat. Va voir Mortenson et fais le taire. » L’autre répond en souriant : « ça va être facile : Mortensen pense beaucoup à sa femme et à son petit garçon. »

Le patron ajoute : « Quand tu auras réglé l’affaire de Mortenson, tu ira à l’école de pilotage et vois à Barlett au sujet de leurs polices d’assurance. »

Le lieutenant hoche la tête et part : nous le retrouvons à traîner devant l’un des hangars à avion de l’école de pilotage. Comme les autres, il regarde en l’air les acrobaties d’un petit avion à hélice. Les autres : Peebles, le patron de l’école de pilotage, Jenks — aka Jinks ,— reporter à la Sentinelle. Barless assure à Jenks qu’il a vu de meilleurs élèves, mais ne se souvient pas de quand.

Seulement l’avion se met à piquer du nez, et sous les yeux incrédules de Barlett et Jenks, rebondit en dehors de la piste d’atterrissage, puis va se planter sur le gazon, basculant sur le côté et le nez. Peebles et Jenks s’élancent pour porter secours au pilote (Gilpin), tandis que le mafieux, satisfait de ce qu’il vient de voir, s’en va.

The Green Hornet S01E03: Flying Coffins (1940)

The Green Hornet S01E03: Flying Coffins (1940)

The Green Hornet S01E03: Flying Coffins (1940)

The Green Hornet S01E03: Flying Coffins (1940)

The Green Hornet S01E03: Flying Coffins (1940)

The Green Hornet S01E03: Flying Coffins (1940)

The Green Hornet S01E03: Flying Coffins (1940)

The Green Hornet S01E03: Flying Coffins (1940)

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.

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