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- Écrit par David Sicé
The Towering Inferno (1974)
Traduction du titre ; L'enfer vertigineux / l'Enfer culminant (littéralement, "l'Enfer en forme de tour")
Titre français : La tour infernale.
Sorti au Canada le 14 décembre 1974.
Sorti aux USA le 19 décembre 1974.
Sorti en Angleterre le 30 janvier 1975.
Sorti en France le 12 mars 1975.
Sorti en blu-ray américain 20TH CENTURY FOX US le 14 juillet 2009, région A, son anglais DTS MA 5.1 et original DD 4.0, sous-titres français.
Sorti en blu-ray français WARNER BROS FR le 9 janvier 2010, région B, anglais et français DTS HD MA 5.1, original DD 4.0, allemand, italien, espagnol et sous-titres notamment scandinaves, polonais et hollandais.
De Irwin Allen (pour l'action, également producteur) et John Guillermin (pour le reste) sur un scénario de Stirling Silliphant, d'après les romans The Tower 1973 (La Tour, traduit en français en 1975) de Richard Martin Stern et The Glass Inferno 1974 (L'enfer de verre) de Thomas N. Scortia et Frank M. Robinson ; avec Steve McQueen, Paul Newman, William Holden, Faye Dunaway, Fred Astaire, Susan Blakely, Richard Chamberlain, Jennifer Jones, O. J. Simpson, Robert Vaughn, Robert Wagner.
Pour adultes et adolescents.
Ce film est dédié avec reconnaissance à ceux qui donnent leur vie afin que d'autres survivent : les pompiers du monde entier. San Francisco. Un hélicoptère rouge et blanc au logo de Duncan Enterprises longe la côte et ses récifs, passe au-dessus du Golden Bridge à l'entrée de la pie, longe les cargos et survolent les quais.
Puis l'hélicoptère passe derrière le dôme du palais des Beaux-Arts dans le quartier de la Marina, pour s'élancer au-dessus des bâtiments et avenues du centre-ville, rasant les toits en terrasse de plusieurs tours. A bord de l'hélicoptère, le pilote blasé, et son passager, Doug Roberts, tout à la joie de l'expérience, soupirant d'aise.
L'hélicoptère vire et reprend de l'altitude, pour redescendre atterrir sur un héliport où le vent souffle si l'on en croit la chaussette jaune horizontale, attendu par un homme mûr aux cheveux noirs et costume bleu, portant de grosses lunettes (Jim Duncan).
Empoignant son sac, Roberts descend de l'hélicoptère et remercie le pilote silencieusement d'un geste du poing serré droit et s'en va serrer la main de qui l'attendait, tandis que l'hélicoptère redécolle.
Les deux hommes descendent le petit escalier qui mène de la plate-forme de l'héliport aux portes coulissantes de métal de l'ascenseur menant à la terrasse de la tour. L'homme d'âge mur presse le bouton transparent circulaire et les portes de métal s'écartent.
L'homme d'âge mûr fait passer Roberts à l'intérieur de l'ascenseur, le suit et presse sur le bouton numéroté 65, le plus bas à droite du tableau si l'on excepte les boutons 3 et 1, les autres boutons étant le 66, le 67, le 68, 70, le 81, le 100, les 132 à 134, le 135 étiqueté "Promenade", le 136 et d'autres pour des étages plus haut.
L'homme d'âge mûr se retourne vers Roberts et demande, blasé, "Alors, comment c'était ?", et Roberts répond enthousiaste et le teint rougi, souriant : "Bon." Alors l'autre lui demande : "Vous allez foncer ?"
Et Roberts confirme : "A pleine vapeur." L'autre demande encore : "Je peux faire quoi que ce soit pour vous faire changer d'avis ?" Roberts baisse les yeux puis les relève et secoue la tête : "Non, pas question."
L'autre soupire : "Vous savez, il y a un vieux proverbe : ' peu importe à quel point il fait chaud là-haut durant le jour, il n'y a..." Roberts complète en souriant largement : "... Il n'y a pas une seule foutue chose à faire la nuit."
L'autre acquiesce : "Exact." Et reprend : "Que diable allez-vous faire la nuit au milieu de nulle part ?" Toujours souriant et un peu défiant, Roberts répond, convaincu : "Dormir comme un gagnant."
L'autre sourit, baisse les yeux et revient à la charge : "Doug, vous êtes un p'tit gars de la ville avec un seuil bas de résistance à l'ennui."
Et de fixer Roberts, sourire en coin, lui aussi sûr de son fait : "Vous serez de retour dans deux semaines." Roberts en rit tout bas et hausse les épaules, ramassant son gros sac de cuir parce que, sans un bruit, l'ascenseur est arrivé à destination.
Les deux hommes sortent dans un salon à la moquette moutarde, aux fauteuils beiges, avec des marches qui montent vers plusieurs bureaux d'accueil et secrétariat orange, et au fond les baies vitrées donnant sur l'océan et des plantes vertes pour les décorer. L'homme d'âge mûr (Jim Duncan) commande à Roberts : "Venez dans mon bureau une minute." Roberts objecte : "J'ai des gens qui m'attendent à l'étage."
Et de marcher sans s'arrêter vers les autres portes métalliques des ascenseurs de l'autre côté de l'allée, talonné par l'autre. L'étage indiqué à côté de la porte du nouvel ascenseur est le 65.
Au-dessus, sur le pan de mur incliné gris montant vers le plafond, il y a une devise en lettre orange : "Nous construisons pour la vie." (jeux de mots, "pour la durée de toute une vie humaine, en théorie cent années..." / "pour que l'on puisse y vivre et profiter de la vie").
Roberts appelle le nouvel ascenseur et se tourne vers l'autre, déposant à nouveau son sac, et l'autre explique : "Ce que je veux vous dire, c'est que le Sénateur Parker viendra ce soir pour la soirée d'inauguration ; et il a pratiquement garantit le renouvellement du contrat urbain ; vous savez ce que ça veut dire ?"
Il fait une très courte pause censée être dramatique, et tend la main paume ouverte en direction de la baie vitrée et des bureaux oranges derrière eux : "Des gratte-ciels comme celui-ci partout dans le pays : vous les dessinez, je les construirai."
L'un des deux ascenseurs voisins est arrivé, car ses portes coulissent. Roberts baisse les yeux et répond, mains dans les poches : "Jim, je crois que vous souffrez d'un complexe de l'édifice."
Roberts ramasse son sac et entre dans le nouvel ascenseur, tandis que hilare, l'autre lui prédit, index pointé dans le dos de l'architecte : "Vous ne vous en irez jamais."
Ce à quoi répond Roberts tout aussi souriant, allant pour appuyer sur le bouton d'étage du tableau de commande de son ascenseur : "Juste après la fête, venez me voir sortir dans la rue et brûler ma cravate noire"." Et les portes de l'ascenseur se referment sur lui.
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- Écrit par David Sicé
The Bondsman (2025)
Une saison de huit épisodes de moins d'une demi-heure chaque.
Diffusé à l'international à partir du 3 avril 2025 sur AMAZON PRIME INT/FR.
De Grainger David, avec Kevin Bacon, Jennifer Nettles, Beth Grant, Damon Herriman, Maxwell Jenkins, Jolene Purdy.
Pour adultes ?
(Fantastique, démon, presse, potentiellement woke artificiel et toxique) Le chasseur de primes Hub Halloran, ressuscité, se voit offrir une seconde chance inattendue dans la vie, l'amour et sa carrière musicale presque oubliée, mais il découvre que son ancien travail a pris une tournure démoniaque.
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- Écrit par David Sicé
Antiviral (2013)
Notez que ce film existe en deux versions : director's cut longue projeté à Cannes en 2012, cinéma sortie en 2013.
Sans être toxique ni gore, ce film est à déconseiller aux personnes sensibles.
Présenté au Festival de Cannes 2012 sélection Un certain regard dans une version plus longue de six minutes.
Sorti en Angleterre le 1er février 2013.
Sorti en France le 13 février 2013.
Sorti en blu-ray français TF1 VIDEO le 19 juin 2013.
Sorti en blu-ray américain IFC FILMS le 6 août 2013 région A, sous-titres espagnol.
Sorti en blu-ray allemand BUSCH MEDIA DE le 19 octobre 2018 (version anglais original et allemand, pas de bonus, pas de sous-titres)
Sorti en coffret américain 4K+2blu-ray SEVERIN US, sorti le 25 mars 2025, inclus sur le second blu-ray le director's cut projeté à Cannes, nombreux bonus, courts métrages et commentaire audio plus livret.
De Brandon Cronenberg (également scénariste) ; avec Caleb Landry Jones, Sarah Gadon, Douglas Smith, Joe Pingue, Nicholas Campbell, Sheila McCarthy, Wendy Crewson, Malcolm McDowell.
(Prospective cyberpunk horrifique, eugénisme, violent) Un jeune homme pâle le visage couvert de tâches de rousseur attend mains dans les poches de son manteau noir, un thermomètre électronique dans la bouche. Il doit couver quelque chose...
Le jeune homme est en fait adossé contre une immense affiche murale de la Clinique Lucas, "pour le vrai connaisseur", illustré sur fond blanc du portrait d'une blonde pâle aux yeux bleus et aux lèvres vermeil.
De son point de vue, il fixe la circulation automobile en contrebas des tours et immeubles de la ville. Une alarme électronique le tire de sa contemplation, et il retire le thermomètre de sa bouche. Il soupire ; grimace ; semble frisonner.
Plus tard, un autre jeune homme pâle aux cheveux bruns tout bouclés se présente à l'accueil du secrétariat de la fameuse clinique Lucas.
La secrétaire, très chic, à son clavier d'ordinateur blanc comme le reste des lieux, en veste cintrée noire, lui fait signe d'attendre en levant l'index, tout en répondant au téléphone grâce à son micro-casque : "Oui... oui." Puis, clignant des yeux : "Merveilleux : je vous transfère aux réservations."
Puis la secrétaire se tourne vers le jeune homme : "Est-ce que je peux vous aider ?" Le jeune homme semble intimidé, et articule en réponse avec difficulté : "Edward Porris... Je... J'ai rendez-vous."
La secrétaire répète : "Porris..." et se penche pour récupérer derrière son pupitre une tablette reliée qu'elle tend à l'intéressé. Celui-ci reste immobile.
La secrétaire ajoute : "Juste, asseyez-vous." Et le jeune homme se décide enfin à prendre la tablette.
La salle d'attente est haute de plafond, entièrement blanche comme le reste, mais les murs sont occupés par de grandes photos serrées sur le visage de top-modèles masculins, et devant chaque colonne, à gauche et à droite, deux écrans plats l'un au-dessus de l'autre.
A gauche, les écrans affiche le visage d'une top-modèle aux cheveux couleur de miel, et à droite les écrans affiche le visage de la même blonde que la grande affiche devant laquelle se tenait le premier jeune homme qui prenait sa propre température.
Les six fauteuils design blancs aux pieds chromés sont occupés par deux hommes -- un asiatique en costume cravate et un caucasien en jeans et pull noir sur chemise bleu sombre -- et quatre femmes, toutes pâles, deux brunes et deux blondes.
Tout le monde semble être occupé à lire des magazines sur les célébrités, ou de la documentation ou le même genre de tablette relié de blanc que la secrétaire a remis à Porris.
Et entre les lecteurs, sur les quatre tables basses jointes bord à bord deux par deux, des vases contenant des bouquets de tulipes rouges ourlées de blanc.
Au fond deux autres écrans plats plus petits semblent suivre les faits et gestes de la blonde des écrans à droite pour les actualités.
Et voilà Porris qui, toujours un peu gauche, entre dans la salle d'attente par la gauche des écrans plats diffusant l'actualité. Il n'y a guère qu'une place libre sur la banquette occupée par une grosse blonde pas vraiment ravie.
Coïncidence ? Juste au-dessus de cette banquette, est pendu au mur le portrait serré sur le visage de la même blonde pâle aux yeux bleus au rouge à lèvre vermeil.
Porris s'assied sur son côté de banquette, et visiblement mal à l'aise, contemple la clientèle d'en face de lui. La femme brune lit un magazine qui a pour titre ACCLAME, avec en couverture une certaine Aria Noble, la top modèle aux cheveux couleur de miel.
L'homme caucasien en jeans lit un autre magazine intitulé CÉLÈBRE, avec une autre top-modèle qui prend la pause. Pas la blonde aux yeux bleus et lèvres vermeil dont la photo est à nouveau pendue en vis à vis.
Sur les écrans privés de son défilent des reportage : sur l'écran de gauche, la chaîne SPOT, un bandeau vert portant la légende : Rumeur de côtes : un virus ? a-t-elle arrêté de manger à nouveau ?
La voix du reportage est sous-titrée en anglais : ... représentant dit que sa perte récente de poids est due à un virus qu'elle a attrapé lors de son voyage en Ouganda.
Et en fond un gros plan sur le dos nu d'une femme très pâle en robe de soirée noire, l'une de ses côtes saillantes entourée d'un trait infographique blanc.
Sur l'écran de droite, la chaîne C-LIFE : bandeau rouge légendé : Nouvelles de C-Life en direct : les autoportraits d'Aria Noble ont fuité : Ses agents disent que ce n'est pas elle, ouais, bien sûr que non.
Et en fond une photo complètement floue d'un couple marchand devant la palissade d'une maison de brique et de pierre. Il est strictement impossible de reconnaître qui que ce soit sur la photo flou.
Puis d'un coup des photos pas du tout flou de Aria Noble faisant la moue on ne peut plus reconnaissable enchaînant les selfie topless et en string se photographiant dans le miroir de sa salle de bain.
Une caméra de surveillance braquée sur Porris qui a la tête tournée vers les "informations", cramponné à sa tablette.
Soudain la grosse blonde chuchote quelque chose, peut-être : "Hanna Geist ?" à Porris qui tourne la tête vers sa voisine et dit : "Pardon ?"
Alors la blonde précise : "Vous avez l'air d'un Hanna Geist, je vous prends pour un Hanna Geist."
Et les yeux de la grosse blonde vont de la tablette que tient Porris au visage du jeune homme, qui dit simplement : "Oh!" Puis avoue tout bas : "Oui."
La blonde soupire : "Hé bien, la plupart des gens le sont." Puis elle avoue à son tour, aussi nerveuse que l'autre : "Je suis ici pour Michael Felix."
La blonde et le jeune homme se regardent l'un l'autre, puis, sur le ton de la confidence, et avec une certaine gourmandise, la blonde déclare à Porris : "Savez-vous qu'il a l'habitude de tourmenter ses conquêtes (...) ?"
Porris reste alors les yeux obstinément baissés tandis que, sur l'écran de surveillance vidéo, la blonde rêveuse continue de chuchoter sans regarder Porris : "Je suis tellement chanceuses qu'ils aient réussi à l'avoir avant l'exécution, vraiment chanteuse..."
La personne devant l'écran de surveillance n'est autre que le jeune homme pâle au visage couvert de tâches de rousseurs. Il porte un costume cravate noir et une chemise blanche, et il est renversé dans un fauteuil, télécommande à la main. Il dit alors, apparemment dans un micro inséré dans la télécommande : "Je prends celui-là." Et de poser la télécommande.
Hanna Geist n'est autre que la blonde pâle aux yeux bleus et aux lèvres vermeil. Un peu floue toujours sur le fond blanc, elle ôte ses lunettes de soleil et regarde quelqu'un sur le côté, apparemment séduite. Elle sourit finement.
L'image saute, le mouvement d'Hanna Geist recommence, encore et encore...
Le jeune homme aux tâches de rousseur commente : "... à couper le souffle. Je comprends votre fascination pour elle. Je comprends complètement : quelque part, elle est parfaite, n'est-ce pas ?"
La boucle vidéo est projetée sur l'écran plat de marque Toshiba posé à un bout de la petite table entre Porris et le jeune homme aux tâches de rousseur, qui ajoute : "Plus que parfaite. Plus qu'humaine."
Ce dernier semble tout aussi hypnotisé que Porris, mais il n'arrête cependant pas de parler, presque en transe : "Son regard semble passer... tout droit à travers votre peau..." Et il fixe alors Porris : "... et toucher vos organes..."
Porris n'a d'yeux lui que pour l'écran à la boucle vidéo, et le jeune homme aux tâches de rousseur persiste : "... il touche votre estomac, vos poumons..."
L'autre ne quitte pas des yeux Porris, l'expression vide, les yeux fixes braqués sur Porris, comme sur une proie : " ...Il donne des frissons."
Soudain, le jeune homme aux tâches de rousseur se penche sur la petite table où sont alignées quatre boites noires, numérotées et illustrées de photos de virus ou de bactérie, et de visages déformés : S-622, S-243, S-558; S-184. Les quatre boîtes sont marquées du logo de la clinique Lucas.
Le jeune homme reprend d'une voix douce, presque fêlée : "Comme vous pouvez le voir, nous avons plusieurs options disponibles ; chacune a été acquise directement à partir de Mademoiselle Geist."
Porris semble émerveillé mais n'a toujours rien dit, l'autre ajoute aussitôt : "Si je devais penser que votre intérêt n'est que passager, je peux offrir un très grand nombre de kits bas de gamme ; néanmoins, vous me faites l'impression d'être quelqu'un dont la motivation me parait un petit peu plus... profonde que cela : je vous vois... comme un homme de goût."
Le jeune homme aux tâches de rousseurs, les doigts de ses mains entrecroisés posés sur la table, fixe toujours Porris : "... Un connaisseur." Et de sourire.
D'autres entretiens se déroulent simultanément en tête à tête entre les hommes en costume cravate noir et l'un des clients ou l'une des clientes de la salle d'attente. Leurs conversations sont étouffées par les cloisons en verre qui séparent les espaces, situées de part et d'autre de l'allée immaculée.
L'homme aux tâches de rousseur dit : "alors si vous me le permettez, je ferais une recommandation : S-558."
Il retire l'étiquette portant la photo d'un visage déformé et de tâches noires circulaire en guise de clichés du virus : "Coûteux... Mais c'est un must pour les plus passionnés."
Il ouvre le boîtier noir, révélant un cartouche pour injection étiquetée d'un code barre, de la mention "La clinique Lucas" et du logo de la clinique sur fond blanc." Il s'agit d'une ampoule de verre incolore contenant un liquide également incolore."
Porris se redresse, fixant l'ampoule tandis que l'homme aux tâches de ressource continue de fixer, l'air nonchalant, Porris et mentionne : "Miss Geist en fut affectée durant son liaison très médiatisée avec Laura Law en 2003. Nous le lui avons acheté peu après..."
Porris répète "S - cinq cinq huit ?" Le jeune homme aux tâches de rousseur confirme : "Oui, une forme du virus Herpes Simplex." Et faisant rouler sa langue à l'intérieure de sa bouche, pressant et relâchant ses lèvres : "Après l'infection, le virus continue de vivre dans les cellules de son hôte..."
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- Écrit par David Sicé
Sinners (2025)
Traduction : pécheurs ou pécheresses.
Annoncé en France, en Espagne et aux USA limité le 16 avril 2025.
Annoncé en Angleterre et aux USA le 18 avril 2025.
De Ryan Coogler (également scénariste et producteur) ; Michael B. Jordan, Hailee Steinfeld, Miles Caton, Jack O'Connell, Wunmi Mosaku, Jayme Lawson, Omar Benson Miller, Li Jun Li, Delroy Lindo.
Pour adultes ?
(vampires, woke, toxique, artificiel, raciste anachronique, presse) Alors qu'ils essaient de s'y faire oublier, deux frères jumeaux afro-américains reviennent dans la ville de leur enfance où les attend une "force malfaisante encore plus grande", comprenez une horde de vampires. Spécistes, va !
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