The Girl In The Wood, la série télévisée de 2021
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The Girl In The Wood (2021)
Traduction du titre : La fille dans les bois.
Toxique woke.
Diffusé à l’international à partir du 19 mai 2021 (réouverture des cinémas français).
Sorti en blu-ray+DVD français le 3 novembre 2021.
De Krysten Ritter, d’après la web série The Door In The Wood de 2018 de Joey Greene et Jasmine J Johnson; avec Stefanie Scott, Sofia Bryant, Misha Osherovich.
Pour adultes.
« Au plus profond des bois se trouvent une porte secrète, et derrière elle des cauchemars, de cauchemars bien réels. J’appartiens à une colonie qui a juré pendant des siècles de garder cette porte et protéger notre monde des horreurs qui se tiennent derrière elle. C’est mon devoir et je ne peux échouer. »
Une jeune femme avec un gantelet de fer à pointe se tient derrière un mur, contre une porte de métal dans ce mur avec des signes cabalistiques dessus. Tandis que quelqu’un tambourine à la porte, elle pleurniche et crie « non », puis répète qu’elle est désolée… pour s’enfuir à toutes jambes. Un genre de village paisible qui semble technologiquement resté au moyen-âge : tout le monde est habillé de blanc comme dans une secte. La fugitive arrive et se cache, visiblement effrayé par tout et tout le monde. Son visage porte plusieurs coupures fraîches (qui ne saignent pas !) et elle sursaute au moindre coup de marteau du forgeron.
Elle fait le tour des cuisines puis surprend une toute jeune fille qui étendait le linge, et en cachette lui ordonne de compter jusqu’à cent quand elle partira, puis d’aller voir le conseil et de leur dire que les disciples ont été blessés. La toute jeune fille hoche la tête, la fugitive vole du linge dans le panier. Puis, alors qu’elle étreint la toute jeune fille, la fugitive est aperçue par l’un des hommes de la « colonie » qui la reconnait et l’appelle du nom de « Carrie Ecker ».
L’homme s’alarme : pourquoi Carrie n’est-elle pas à son poste ? Carrie se barre à toutes jambes et plusieurs des adultes se lancent à sa poursuite en lui criant de revenir. Elle se vautre, puis se cache derrière une racine et sème efficacement les trois adultes qui la suivaient encore.
Arrivée au bord d’une rivière, elle se rafraîchit mais sursaute au moindre cri d’oiseaux. Puis s’étant changée, elle rejoint une route et passe devant un panneau déclarant qu’elle est le bienvenue à West Pine Oregon (« le pin de l’ouest dans l’Orégon »), la maison du Nickel de West Pine, et elle continue sa marche sur la route, dans la même direction qu’un camion qui vient de passer.
Un vidéo du genre Instagram où deux adolescents proclament que c’est comme ça que l’on danse le West Pine, avec des pantalons trop larges retenus par des bretelles fluo et des blouses bleus. Les mêmes annoncent dans le plan suivant que c’est comme cela qu’ils mangent à West Pine… du ketchup et de la mayo qu’ils font gicler en même temps dans leurs bouches respectives et qu’ils recrachent immédiatement.
Puis les deux mêmes déclarent avec des lunettes de protection d’une voix monocorde que c’est comme cela qu’ils expriment leurs émotions à West Pine, et derrière eux il y a un grand ours en peluche ligoté à un arbre. Ils se retournent et criblent le nounours de balles de peintures. Comme la jeune visionne sa propre vidéo sur une tablette, elle soupire : pourquoi donc personne ne regarde leur vidéo alors qu’ils sont littéralement des génies de la comédie ? Le garçon lui répond en visio conférence que c’est parce que personne ne sait où se trouve West Pine.
La fille rétorque que c’est une ville et que le public est capable d’appréhender le concept… et elle doit devenir célèbre très vite pour ne pas se retrouver à vendre des couches culottes et de la vaseline. A l’écran, le garçon ( ?) est de plus en plus maquillé : fard à paupière vert, lèvre roses luisantes, et tout en continuant la conversation alors que la fille est maintenant sur la route à bicyclette, il ( ?) se perce l’oreille avec une boucle tandis qu’elle lui fait remarquer qu’il est le fils ( ?) de qui est en train de mettre au chômage la ville entière. Et la fille de passer à bicyclettes devant des panneaux avec le slogan « sauvez la mine ».
Comme une femme frappe à la porte du garçon ( ?) en l’appelant Nolan et en lui disant qu’il est l’heure, il ( ?) soupire… et se démaquille pour rejoindre ses parents et des familles derrière une journaliste qui fait un reportage en direct sur la fermeture judiciaire de l’un des tunnels de la mine de Nickel.
Sur les pancartes on peut lire « arrêtez de nous empoisonner ! », et « garderez notre eau pure ! ». Et la mère de Nolan d’affirmer au micro que la galerie 8 ne cessait de décharger de l’acide dans l’eau et qu’elle ne peut pas dire que cela lui manque, mais leur travail n’est pas terminé….
Tandis que la dame continue son discours, la petite fille derrière elle se retourne. Un homme en manteau à capuche à motif de toile d’araignée doré qui semble être sorti d’une illustration d’un jeu de cartes de Fantasy, la regarde fixement en contrebas depuis la forêt. Il lève une main pâle et pointe un doigt dans la direction de la petite fille. Pendant ce temps, la fugitive arrive en ville en se répétant que sa main ne doit pas trembler.
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Just Beyond, de l'autre côté, la série télévisée de 2021
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Just Beyond S01E01: Leave Them Kids Alone ! (2021)
Traduction du titre de la série : juste au-delà.
Titre français : de l'autre côté.
Toxique Woke : tous les épisodes de la série sont écrits pour conditionner le jeune spectateur à répéter la propagande woke et à se conduire de manière irresponsable, imprudente, insolente et à l'exact opposé des postures prétendument écologique ou de respect de son prochain, provoquant au conflit et au mal-être, conduisant d'office le jeune et ses parents à la ruine et selon toute probabilité à l'extermination de sa nation et de sa communauté, sans oublier celles de ses proches et êtres aimés.
Diffusé à partir du 13 octobre 2021 ((les 8 épisodes la première saison) l’international sur Disney Moins.
De Seth Grahame-Smith, d’après les bandes dessinées de R. L . Stine.
Pour adultes et adolescents.
(Anthologie, fantastique, wokissime toxique) Le lycée de Mercer Hill, une banderole dans le couloir annonce que le 13 mars à 9 heure, se tiendra le bal de fin d’année. Presque tout le monde circule avec un casque audio diffusant de la musique à fond dans leurs oreilles, et comme une jeune fille attend avec une autre son tour pour rencontrer la directrice, elle réalise que sa voisine, Robin, est en train de lui parler. Elle soulève son casque et apprend qu’un certain Paul a dit à Tim Hargreaves qu’il l’aimait, elle. Alors elle lui a envoyé un texto en se servant du téléphone de Lauren DiGangi, et avant qu’il ait pu lui répondre par texto… La jeune fille au casque — Veronica Vanderhall — lui coupe la parole : leur planète est en train de mourir, que Robin reprenne ses esprits ! Et de remettre son casque avec la musique à fond.
Dans le bureau, la directrice avoue ne pas comprendre : Véronica est intelligente, elle vient d’une bonne famille, mais elle a cette espèce de crise. Incrédule, Véronica répète : une crise ? La directrice explique que Véronica était jusqu’à présent une fille positive qui collectionnait les bonnes notes jusqu’à sa huitième année d’école, et voilà qu’elle revient des vacances d’été avec tout ces pin’s, toutes ces causes à lutter, elle a perdu son sourire, ses notes sont catastrophiques et elle ne cesse de troubler l’ordre, alors qu’est-ce qui s’est passé. Véronica répond avec un petit sourire supérieur qu’elle a seulement commencé à faire attention à ce qui se passait autour d’elle : c’est à sa génération de sauver la planète.
Peu sensible à la cause de la lutte contre les émissions de méthane en appelant au soulèvement les élèves dans la cafétéria le jour du Hamburger, la principale constate que Veronica en est à sa huitième infraction, elle est donc suspendue. Du coup, ses parents décident de l’envoyer à la pension de Mademoiselle Genevieve pour les jeunes filles difficiles — obéissance, intégrité et discipline —, et le monde sera encore là quand elle en reviendra.
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Akudama Drive, la série animée de 2020
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Akudama Drive (2020)
Titre original : アクダマドライブ(Akudama Doraibu).
Une saison animée de 12 épisodes de 22 minutes chaque.
Diffusé au Japon à partir du 8 novembre 2020 sur SUN JA.
Sorti en coffret 2 blu-rays + 2DVD américain Funimation le 30 novembre 2021.
De Tomohisa Taguchi, sur un scenario de Norimitsu Kaihō et Tomohisa Taguchi, d’après la bande dessinée de Rokurou Oogaki, avec les voix japonaise de Tomoyo Kurosawa et Yūichirō Umehara.
Pour adultes.
(Cyberpunk) Kansai, une cité noyée dans un brouillard de pollution jaune orangé, illuminé par les néons, au ciel sillonné par petits des dirigeables. Dans les rues du quartier Sud, les voitures aux parebrises miroirs roulent parechoc contre parechoc et pour traverser, un chat en profite pour sauter d’un toit à l’autre des véhicules. Un feu de signalisation affiche à coups d’hologrammes superposés à sa couleur ses ordres : ne marchez pas ! marchez ! Et quand il faut marcher, une barrière holographique apparait tout le long du passage piéton avec le message « Stop » à l’intention des conducteurs — et alors le chat peut tranquillement lui aussi traverser la rue avec les autres piétons.
Soudain, une aurore boréale file le long de la crête d’un mur qui semble défendre la ville, et tous les passants s’arrêtent et regarde son passage, les mains jointes, comme pour prier. Et le chat – ou peut-être bien la chatte s’est perchée en haut d’un poteau pour, elle aussi, regarder passer l’étrange phénomène, qui se reflète dans ses pupilles.
Ailleurs, une jeune fille range son uniforme de serveuse dans un placard, et l’uniforme disparait en scintillant, dans un buzz électronique. Alors qu’elle marche dans la rue, son téléphone-portefeuille pliable affiche 17 heures et quinze minutes et elle se félicite d’être sortie à l’heure. Elle est dans le quartier sud, à Dontoburi, et se rend à la station de bus, les bus étant les petits dirigeables qui sillonnent le ciel orangé de la ville. Assise dans le dirigeable, elle soupire, puis regarde à travers la vitre, et en guise de publicité, un autre « bus » affiche sur son flanc « Aujourd’hui : exécution de l’égorgeur ».
Descendu du « bus », la jeune fille s’étire, puis s’exclame qu’il est temps d’acheter de quoi faire à manger. Elle traverse un pont au-dessus d’un canal, toujours dans Dontoburi, tandis que la nuit est apparemment tombée — et s’étonne de croiser un chat blanc tacheté de marron. Celui-ci va pour traverser la rue — alors qu’une voiture arrive droit sur lui. Horrifiée, la jeune fille s’élance en criant « attention », ramasse le chat devant le parechoc de la voiture, qui pour éviter la jeune fille dévie et est stoppée net par l’hologramme interdisant le trottoir aux voitures. Le chauffeur baisse sa vitre et demande à la jeune fille en hurlant si elle est suicidaire.
La jeune fille, le chat dans ses bras, s’excuse platement et part en courant, s’engageant dans une ruelle sombre. Au-dessus d’une porte, un néon holographique répète : « Aujourd’hui : exécution de l’égorgeur ». Alors le chat saute des bras de la jeune fille, qui se retrouve tout près d’une petite boutique de vente à emporter, devant laquelle s’est garé un livreur à moto. Elle lit sur l’enseigne « Takoyaki ? » (brochettes de poulet épicé). Et elle réalise qu’elle n’en a plus mangé depuis des années… et décide en conséquence qu’elle devrait en acheter.
C’est une boutique minuscule tenue par une vieille dame qui compte « 1, 2, 3, 4… », et le jeune motard attend d’être servi. Sans attendre, la jeune fille s’excuse et commande une part de takoyaki. La vieille dame lui répond joyeusement que c’est parti et que cela lui coûtera 500 yens. Puis elle tend au jeune homme sa part, qui fouille dans sa poche et fait tomber une pièce de 500 yens, qui roule au sol. La jeune fille le remarque et prévient le jeune homme, qui l’ignore et va à sa moto. Elle hésite, ramasse la pièce, le rejoint à sa moto alors qu’il est assis dessus et mange sa part. Elle répète qu’il a perdu son argent et lui tend la pièce. Il déglutit, et finit par répondre que l’argent tombé porte malheur. Puis il jette sa barquette de Takoyaki vide par terre. La jeune fille est effarée et crie de ne pas le faire : il faut mettre les ordures dans une poubelle ! Mais tandis qu’elle ramasse la barquette vide, le jeune homme démarre sa moto et part en trombe.
Comme elle reste stupide à lui demander d’attendre, la vendeuse l’appelle pour lui dire que sa commande est prête. Servie et ravie par l’odeur, elle propose son téléphone-portefeuille, mais la vendeuse refuse : ici, on ne paye qu’en liquide. Et la vieille dame pointe l’affichette. La jeune fille est très étonnée : à leur époque, payer en liquide ? La vieille dame s’énerve : quoi ? elle n’a pas de quoi payer ? La jeune fille proteste : bien sûr que non. La vieille dame exige alors d’être payée immédiatement.
Alors la jeune fille réalise qu’elle tient encore dans la paume de sa main droite la pièce de 500 yens que le jeune motard a laissé tomber. Et son cerveau se bloque : si elle ne paye pas, elle est une voleuse — mais si elle paye, elle est aussi une voleuse car cette pièce de 500 yens n’est pas à elle, et elle ne pourra plus la rendre. Elle finit par refermer sa main et dire à la vieille dame que maintenant elle n’a pas d’argent liquide mais que si elle attend un peu, elle pourra… Alors la vieille dame l’accuse de vouloir partir sans payer parce que tous les autres le font : elle n’est pas née d’hier. Et la vieille dame de composer sur le cadran holographique le numéro de la police, qui arrive aussitôt toutes sirènes hurlantes…
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Space Above And Beyond, S01E06 : Un colonel venu d'ailleurs (1995)
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Space: Above And Beyond S01E06: Ray Butts (1995)
Traduction : L'Espace, au-dessus et au-delà : Ray (Raymond) Butts, jeu de mots : rayon à culs.
Titre français : Un colonel venu d'ailleurs.
Episode précédent <> Episode suivant.
Ici l'article de ce blog sur la série Space 2063 (1995)
Diffusé aux USA le 22 octobre 1995 sur FOX US.
Diffusé en France le 14 octobre 1996 sur M6 FR.
Sorti aux USA le 8 novembre 2005 (piste et sous-titres français inclus, sans les bonus ?)
Sorti en DVD Anglais le 30 avril 2012 édition collector (piste et sous-titres français inclus ?, avec les bonus)
De Glen Morgan, James Wong. Avec Morgan Weisser, Kristen Cloke, Rodney Rowland, Lanei Chapman, Joel De La Fuente, James Morrison , Glen Van Ross.
Pour adultes et adolescents
(Space Opera militariste, guerre, prospective, extraterrestre) Une Lune flottant dans l’espace infini. Soudain un astrochasseur fonce… en direction de l’astroporteur l’USS Saratoga. Sur la passerelle, un opérateur radar alerte : « Commandant, j’ai un bug vecteur 2-9-0. » Le commandant demande : « I.F.F. ? » L’opérateur répond « Négatif, Monsieur. » Alors le lieutenant-colonel McQueen qui était présent demande : « Scopez-moi. » Et d’empoigner les manettes du périscope qui descend pour en scruter le viseur.
Les moteurs de l’astrochasseur semblent poussif, la carlingue en est roussie, le cockpit obscur. McQueen retire ses yeux du viseur, très surpris : « C’est une Tête de Marteau. » L’opérateur radar signale : « Toujours en approche, aspect cible zéro. »
Le commandant remarque à McQueen : « Tous nos oiseaux sont au nid et il n’y a pas d’autres vaisseaux dans la région. » McQueen répond : « Y-a-t-il… Y-a-il des rapports des renseignements à propos de Chiques pilotant des SA-43s capturés ? »
L’opérateur confirme : « Il va droit sur nous. »
McQueen déclare : « ça pourrait être un kamikaze silicate. » Et le commandant ordonne : « Refusez, avertissez. » Aussitôt l’opérateur envoie le message radio : « Astronef non identifié au large de ma proue bâbord, vous approchez l’astroporteur états-uniens Saratoga. Changez de trajectoire et identifiez-vous immédiatement. » Puis : « Il approche toujours, Monsieur. »
Le commandant ordonne : « Tirez le coup de semonce. » Et McQueen lance à l’artilleuse : « Deux six neuf au large de la proue bâbord. » Et l’artilleuse acquiesce. Le canon au sommet de la tour de l’astroporteur ouvre le feu, décochant deux faisceaux brillants de part et d’autre de l’astrochasseur.
L’opérateur radar signale alors : « Commandant, il a neutralisé le H.B.D.L. » (Hangar Bay Doors Lock, verrouillage des portes du hangar). Et l’astrochasseur d’obtenir l’ouverture des portes blindées défendant l’une des soutes de réception des astrochasseurs du Saratoga. L’opérateur radar se retourne vers ses supérieurs et annonce, très surpris : « Il s’amarre ! »
McQueen quitte aussitôt la passerelle tandis que le commandant ordonne : « Maître d’armes, alignez le troisième pont. » Dans la soute, au concert des klaxons d’alertes, l’astrochasseur noirci fait monter son cockpit à l’étage au-dessus pressurisé. Dans le haut-parleur une femme répète : « à tout le personnel de sécurité, Code rouge… »
Le cockpit est bien occupé par un pilote dont le casque oscille. La porte d’accès blindée se soulève et des soldats en armes se précipitent pour mettre en joue le pilote de tous les côtés, inclus McQueen au premier rang, qui ordonne : « Ouvez la verrière. »
Alors de la musique country à fond les hauts parleurs résonnent dans le hangar : « Mon père m’avais dit de ne jamais jouer avec un feu, mais j’ai abattu un homme à Reno, juste pour le voir mourir… ». Le pilote — un homme au visage noirci trempé de sueur semble inconscient. Il porte sur son casque le surnom « Kick Butts » (Botte-au-cul ») sur fond rouge avec un dessin représentant un humain donnant un coup de pied aux fesses d’un chig tombant en avant les bras tendus en avant.
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Nisser, Elves, Lutins, la série télévisée de 2021
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Elves (2021)
Titre original : Nisser (« Elfes » en danois).
Titre français : Lutins.
Une saison de six épisodes de 25 minutes chaque.
Diffusé à l’international à partir du 28 novembre 2021 sur NETFLIX INT / FR (tous les six épisodes de la saison 1).
De Roni Ezra, sur un scénario de Stefan Jaworski, avec Ann Eleonora Jørgensen, Peder Thomas Pedersen, Vivelill Søgaard Holm, Rasmus Hammerich, Milo Campanale, Sonja Steen, Lila Nobel.
Pour adultes et adolescents.
(fantasy urbaine folklorique horrifique) Une jeune fille se présente à un chien comme étant (Osez…)Joséphine. Puis son père, son frère et sa mère sortent et le père lui dit de les suivre, sa mère de ne pas caresser des chiens qui ne sont pas à elle. Joséphine réplique que c’est exactement le chien qu’elle veut, et quand aura-t-elle le chien qu’on lui a promis ? Sa mère répond qu’elle est trop jeune et que c’est trop de responsabilité. Ils reviennent chez eux sur un bateau plat. Puis ils se présentent à la jeune fille qui se tient au débarcadère, et demandent leur chemin car leur GPS ne fonctionne pas.
Ils prennent une autre route que celle conseillée, tandis que le fils demande où est la ville, où sont les boutiques et comme les parents le baratine, Joséphine rit, mais son frère lui demande pourquoi elle rit, est-ce qu’elle est stupide ? Ils en viennent aux mains et leur dispute est seulement interrompue par un choc. Le père stoppe la voiture et tout le monde descend pour constater d’éventuels dégâts. Ils trouvent une espèce de liquide bleu, et Joséphine aperçoit une clôture. Un homme l’interpelle alors, le chasseur à bord du pick-up rouge : que Joséphine parte, et sa famille aussi, c’est une route privée, et il la bloquera. Joséphine insiste : qu’est-ce qu’il y a derrière la clôture ? L’homme ne répond pas et ils repartent pour prendre cette fois la bonne route jusqu’à leur résidence pour les vacances. Comme la famille entre dans l’espèce de chalet, Joséphine revient à la voiture et à l’aile enfoncée, dégoulinante de liquide bleu. Sa mère la rappelle à l’ordre.
Joséphine visite la maison, puis elle veut sortir et faire un tour dehors. Sa mère veut qu’elle l’aide pour décorer, cependant Joséphine sort quand même, et s’approchant de l’orée du bois, aperçoit ce qui ressemble à la peau d’un renard, puis des gris-gris pendus aux branches des arbres. Elle trouve également une scierie avec des bâtiments de tôles, et va pousser la porte. C’est abandonné. Lorsque Joséphine revient, le reste de la famille a commencé à fabriquer les décorations.
La jeune fille s’exclame que c’est si cool, il y a même une grange abandonnée et sinistre. Sa mère lui ordonne de ne pas y aller. Puis comme elle s’assied, elle insiste sur le fait qu’ils ont bien heurté quelque chose. Sa mère ne veut rien entendre : ils sont en vacances. Joséphine rétorque qu’elle n’est pas en vacances, elle. Puis elle sort prendre son vélo car elle estime qu’ils ont bien heurté un animal et qu’il doit saigner quelque part. Sa mère lui ordonne de lâcher le vélo et de rentrer, et son père la soutient, donc Joséphine cède.
Plus tard, la mère et le fils vont faire des courses et comme il vient d’apercevoir la jeune fille de l’embarcadère, il décide lui aussi faire des courses, prétendant avoir besoin de plombs pour le tableau électrique. Pendant ce temps, la mère vient saluer une dame qui la reconnait comme étant celle qui a loué le chalet. La mère se présente comme Charlotte, la dame comme Karen, et tout de suite elle dit qu’elle a entendu dire qu’ils ont eu un accident sur la route. Charlotte répond que c’était seul un trou. Karen rétorque qu’ils ne doivent pas aller de ce côté. Puis comme Charlotte demande s’ils vendent des arbres de Noël, Karen répond sèchement qu’ils croient ici que les arbres devraient rester là d’où ils viennent, dans la forêt.
La nuit tombée, Joséphine boude dans sa chambre, et son père vient lui rendre visite : ils sont ses parents, c’est leur travail de la protéger et prendre soin d’elle. Et à chaque fois qu’elle part vagabonder, il arrive quelque chose de fou comme quand elle s’est cassée le bras. Tout va bien. Joséphine n’en démord pas : ils ont écrasé quelque chose là-bas et elle pense avoir vu quelque chose courir dans le champ voisin.
Aussitôt son père sorti de la chambre, elle récupère une lampe torche et enjambe le rebord de sa fenêtre au rez-de-chaussée pour récupérer son vélo et filer en douce dans la nuit (logiquement glacée). Joséphine roule alors le long de la route déserte avec son phare à vélo bien visible de loin, puis retourne inspecter les herbes folles à proximité de la clôture, agitant sa lampe torche là encore super visible de très loin. Elle marche jusqu’à la clôture, puis le long de la clôture alors que le vent agite les plaques de tôle. Elle entend alors comme un animal qui gémit et découvre un truc bleu difforme, croisement d’un Minimoy et d’ET, caché sous les brindilles. Elle enlève son anorak et lui disant qu’elle va l’aider, l’emmène dans son anorak. Au même moment, un truc bien plus gros se relève derrière la clôture et donne un gros coup dedans.
Et l’épisode est déjà terminé parce qu’il ne dure que vingt-cinq minutes.
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