Deathstalker (2025)
Ce film est la suite ou le reboot du ou des films de 1983, 1987, 1988, 1991.
Attention aux fausses bandes-annonces.
Sorti en Suisse le 25 août 2025 (Festival de Locarno)
Annoncé aux USA pour le 10 octobre 2025.
De Steven Kostanski (également scénariste) ; avec Daniel Bernhardt, Patton Oswalt, Christina Orjalo, Paul Lazenby, Nina Bergman.
Pour adultes ?
((Heroic Fantasy) Le grondement d’un orage, la rumeur d’une bataille à coups d’épée, et dans les éclairs, ruisselant de sang, on s’égorge... Le royaume d’Abraxion est assiégé.
Si les chevaliers qui le défendent en armure de plaques semblent humains, leurs adversaires ont l’apparence de démons.
La horde Dreadite se taille un sentier de mort et de destruction à travers le royaume. Qui maniera le pouvoir de résister à la puissance des ténèbres sans fin ?
Le champ de bataille à l’aube encore ensanglantée : une maigre forêt de bouleaux effeuillés, des hampes plantées aux oriflammes déchirés, des chevaliers gisants un peu partout. Au loin, les lourds volutes de ce qui ressemble à une éruption volcanique.
Soudain, un chevalier encore vivant tombe, ventre à terre, la bouche dégoulinant de sang. Il regarde autour de lui. Deux démons achèvent les survivants. Le chevalier dans un sursaut rampe pour échapper à leur attention, mais il se découvre sous la lame barbelée d’un troisième démon. Alors il supplie : « S’il vous plait, non ! »
Le démon va pour l’achever, mais lui comme les deux autres interrompent leurs gestes meurtriers aux hennissements d’un cheval approchant. Un homme en descend et approche, dégainant sa propre épée. Et il affronte les trois démons d’un coup... et les tue.
Le chevalier veut le remercier, mais il est à bout de souffle. Il tend sa main pour serrer la sienne. Le nouveau venu la prend... pour en ôter les bagues, puis fouiller le chevalier pour le délester de ses valeurs, dont un étrange disque d’or aux allures maya.
Le chevalier bredouille : « Non, non... Il faut que vous le rendiez... » Puis retombe raide mort.
Chevauchant, l’inconnu s’est remis en route, a dépassé la forêt incendiée, rejoint les abords verdoyants d’une capitale, arrive à une auberge. Dans la salle commune, un client se plaint : « Une autre défaite ! Quel intérêt pour Abraxion de confisquer mes récoltes pour nourrir ses soldats s’ils doivent continuer à perdre du terrain ? Comment mes enfants sont-ils supposé survivre à l’hiver sans rien à manger ? Ils ont déjà manger mes meilleures bottes ! »
Son voisin s’esclaffe et le paysan s’indigne : « Hé, c’était pas supposé être une blague ! » Puis sur le ton de la confidence : « A ce point, nous ferions aussi bien de rejoindre les charognards : ce sont les seuls à tirer profit de tout ça à se servir sur les cadavres, tels les vautours... Ah, en voilà un qui vient ! »
Nul autre que l’inconnu qui a dépouillé le chevalier mourant...
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.
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