Garcia ! S01E01: Chapitre premier (2022)
- Détails
- Écrit par David Sicé
- Catégorie : Blog
- Affichages : 23
¡García! S01E01 (2022)
Ici la page de ce blog consacré à la série télévisée Garcia! 2022.
Diffusé à partir du 28 octobre 2022 (avec l'épisode S01E02) sur HBO MAX US.
De Sara Antuña et Carlos de Pando (également scénaristes), réalisé par Eugenio Mira, d'après la bande dessinée ¡García! de Santiago García et Luis Bustos ; avec Veki Velilla, Curro Ortiz, Daniel Freire, Francisco Reyes, Silvia Abascal, Emilio Gutiérrez Caba, Lola Herrera.
Pour adultes et adolescents.
(Superhéros, espionnage, eugénisme) Quelque part dans les Pyrénées de l’Aragon. Du ciel bleu au-dessus des pics enneigés jusqu’à une voie ferrée bordées de pins – tout est désert, silencieux, jusqu’à ce que depuis l’entrée d’un tunnel un train à vapeur fantôme arrive et s’engouffre.
Nous sommes désormais en 1961, si 1961 était un film en noir et blanc au format 4 :3. Le dictateur Francisco Franco gouverne depuis vingt ans le pays d’une main de fer. L’Europe et les Etats-Unis ne se préoccupent que de la Guerre Froide. Les agents secrets courent le monde à surveiller leurs ennemis dans des missions hautement confidentielles. L’Espagne a pour elle l’un des meilleurs de ces agents.
Posté derrière un rocher avec vue sur la vallée, un skieur guette le passage du train à vapeur avec une paire de jumelle et déclare tranquillement qu’ « ils » arrivent. Puis il tend la paire de jumelle à son camarade plus jeune pour qu’il regarde à son tour. Il demande ensuite si son camarade est prêt, et retire son anorak, révélant un costume clair, une chemise noire et cravate rouge. Le jeune lui répond en souriant que ce serait plutôt les autres qui auraient besoin d’être prêt. Son aîné soupire : les gamins…
Puis, surpris, le cadet se demande si l’autre ne va pas avoir froid sans son anorak. Son aîné rit : qu’il ne s’inquiète pas à ce sujet, ils ne vont pas tarder à avoir chaud. Alors le jeune retire à son tour son anorak. Le train à vapeur entre à nouveau dans un tunnel, et cette fois les deux hommes sont debouts au-dessus du passage du train. Le jeune veut sauter, son aîné le retient et compte : un, deux, et trois !
Les soldats qui jouaient aux cartes dans le wagon entendent le bruit de leur atterrissage sur le toit. Les six soldats se relèvent et fixent la porte à une extrémité du wagon. Un homme au visage plongé dans l’ombre, portant un grand chapeau, et une cane à pommeau d’argent en forme d’aigle, entre, flanqué d’un garde du corps.
Le nouveau, un barbichu déclare qu’il travaille nuit et jour depuis vingt ans à expérimenter pour créer le soldat parfait, entraîné pour le combat et la discipline, qui obéira à n’importe quel ordre sans hésiter. Mais le problème avec les soldats, c’est qu’ils ont été humains, et les humains ont des faiblesses ridicules dont apparemment ils ne peuvent se passer.
Le soldat remarquant qu’une des cigarettes tombée sur le plancher fume encore, veut l’éteindre en l’écrasant de sa botte. Le barbichu le devance et écrase la cigarette du bout de sa canne, pour ajouter qu’un soldat faible ne servira pas l’objectif. Il se recule alors en faisant signe à son garde du corps d’avancer.
Très grand, le garde du corps attrape le soldat fumeur par la gorge et le soulève du sol, l’étranglant. Mais comme le garde du corps remarque par le vasistas du wagon que quelqu’un est en train de passer sur le toit, il relâche sa victime.
D’un coup de botte, l’agent espagnol aîné défonce le vasistas et saute dans le wagon, prêt à se battre à poings nus. Le barbichu le reconnait et hurle le nom de l’agent : Garcia ! Alors le cadet du super-agent espagnol saute à son tour dans le wagon pour atterrir à côté de Garcia pour s’écrier : « Et Ortiz ! »
Les soldats arment leurs pistolets mitrailleurs mais le garde du corps du barbichu écarte les canons pour marcher en direction de Garcia. Il est arrêté d’un ordre en allemand « Warten ! » (attendez !) par le barbichu qui vient se planter devant Garcia et Ortiz, qui ont les mains en l’air.
Garcia déclare qu’il débarrassera le monde des horreurs du barbichu, même si c’est la dernière chose qu’il doit faire dans sa vie. Le barbichu répond que ce que Garcia appelle une horreur, le barbichu appelle cela le Futur. Puis il revient derrière ses soldats et leur hurle de faire feu sur Garcia et Ortiz.
Comme la lumière disparaît, et que seuls les flashs de la mitraille éclairent désormais la scène, Garcia semble assommer tous les gardes, puis il réalise qu’Ortiz n’est plus là, tandis que la porte du wagon bat encore. Il se précipite par la porte et dans le wagon suivant se retrouve nez à nez avec le garde du corps qui lui dit que selon les rapports, Garcia n’aurait jamais perdu un combat, et Garcia confirme.
Le garde du corps répond : jusqu’à présent. Ils se battent brièvement, mais le garde du corps a facilement le dessus, et hissant Garcia par la gorge, il explique que Garcia n’avait aucune chance de gagner un combat contre lui.
Le garde du corps demande alors si Garcia n’a pas un dernier mot pour la postérité, s’apprêtant à le frapper du poing. Garcia arrête le poing et balance plusieurs fois le garde du corps à travers le wagon. Celui-ci se relève et affirme que son père avait raison : il est plus fort que Garcia, il est le futur.
Garcia répond que son adversaire parle trop. Garcia retourne dans le wagon pour être balancé à travers par le garde du corps qui le martèle de coups de poings pour appuyer ses dires : il … ne parle… pas… trop ! Mais comme Garcia esquive le dernier coup de poing, un panneau de bois d’une caisse qui abritait un engin bizarre tombe.
Le combat reprend, mais le dernier uppercut de Garcia fait passer le garde du corps à travers la porte du fond du wagon – le dernier wagon. Garcia se retourne, le barbichu tient en joue Ortiz et comme le super-agent hésite, le barbichu abat Garcia qui s’écroule.
Madrid, de nos jours, la nuit. Une femme blonde et élégante (Cathalina) descend de sa voiture avec chauffeur, refusant que ce dernier l’attende : elle a seulement à récupérer des broutilles et elle rentrera directement chez elle. Elle marche, puis entend un bruit et se retourne. Un homme tousse, elle s’écrit « par la mère qui t’a enfanté et pour l’amour du Christ qu’est-ce que tu fais ici Manolo ? »
Un barbu binocleux sort de l’ombre et s’excuse auprès de Catalina la blonde, qui répond que ce n’est ni l’heure et le lieu. Le barbu répond qu’il le sait mais explique que les russes sont en effervescence, il ne sait pas quoi leur dire. Catalina répond que Manolo saura quoi leur dire. Manolo répond qu’ils l’appellent au téléphone chez lui, ils le suivent jusqu’à son travail, ils veulent savoir à propos des appartements à Lloret sur Mer. Catalina répond qu’ils ne peuvent rien faire : avec cette histoire de corruption, les russes doivent attendre que les élections passent et ils remédieront à ça.
Mais Manolo affirme qu’il ne peut pas leur dire cela : ces gens sont dangereux, et elle lui avait dit que… Non, Catalina ne s’en souvient pas, elle ne lui a rien dit, elle ne sait pas de quoi Manolo parle ou qui sont ces russes, et que maintenant Manolo la fait ch.er. Et d’abandonner là Manolo, malgré ses suppliques.
Catalina est entré dans une superette acheter une bouteille de whisky pure single malte 12 ans d’âge et des oeufs. Le caissier lui demande si elle compte régler en liquide ou par carte. En liquide. Comme elle lui souhaite une bonne nuit, il répond en l’appelant Capitaine. Dehors il y a un mur recouvert d’affiches à son portrait, Catalina Bellido, candidate à la présidence pour le parti de la Nouvelle Démocratie.
Elle marche encore dans l’allée pavée qui mène à chez elle quand le téléphone de la politicienne se met à sonner. C’est une femme qui lui demande son avis sur le slogan « Tous ensemble avec notre capitaine » Elle répond qu’elle préfère « Capitaine Catalina », alors son interlocutrice annonce qu’ils garderont ce slogan-là. Catalina répond qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent à condition que le sujet soit à la mode sur internet avant l’interview de midi.
Catalina s’interrompt alors qu’un bruit métallique vient de retentir dans le hall désert. Et comme son interlocutrice répond qu’elle la tiendra au courant, Catalina est frappée en pleine tête à coup d’une barre de fer et s’écroule, laissant échapper son portable. Elle respire encore, son interlocutrice l’appelle « Capitaine ? », et quelqu’un entraîne dans l’obscurité le corps de la femme politique.
***
Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
***
Le Ministère du Temps S02E13: Changement de Temps (2016)
- Détails
- Écrit par David Sicé
- Catégorie : Blog
- Affichages : 21
El Ministerio Del Tiempo S02E13 : Cambio de tiempo (2016)
Traduction : Changement de Temps.
Épisode précédent <> Épisode suivant.
Ici l'article de ce blog sur la série télévisée El Ministerio Del Tiempo (2015)
Diffusé en Espagne le 23 mai 2016 sur RTVE ES.
Sorti en blu-ray espagnol le 23 juin 2016 (multi-régions, espagnol sous-titré seulement).
Annoncé en France et à l'international sur NETFLIX FR (jamais diffusé)
Diffusé sur internet officiel gratuit sur la page dédié de tve ici[/url] :
Annoncé en France à partir du 26 janvier 2025 sur SYFY FR.
De Javier Olivares et Pablo Olivares, avec Hugo Silva, Aura Garrido, Nacho Fresneda.
Pour adultes et adolescents
(Voyage dans le temps, aventure, uchronie) Au bord de la mer. Plymouth, Angleterre, 1588. La plage est jonchée de débris de bois. Deux garçons trouvent un premier cadavre, puis au son des canons contemplent au large les voiliers espagnols en train de brûler.
Dans les bois, un cavalier file en direction de l’Alcazar de Madrid. Il se rend auprès d’un ministre du roi d’Espagne pour lui remettre une lettre du Duc de Medina Sidonia, qui remet le message au roi : ils ont perdus, la grande armada a été anéantie par les Anglais – soixante-dix vaisseaux coulés, plus de dix-mille soldats morts pour l’instant.
Le roi est furieux, il a failli à son royaume, il l’a brisé. Le roi demande alors qu’on appelle Las Cuevas., il veut le voir immédiatement. Le ministre s’inquiète : pourquoi le roi voudrait-il voir le secrétaire du Ministre du Temps. Le roi répond, déterminé, que l’Armada va reprendre la mer. Et cette fois, ce sera pour vaincre les Anglais.
Le présent. Le réveil-matin d’Alonzo sonne. Celui-ci se retourne et constate qu’il est seul dans son lit. Il se lève, appelle Elena.
L’appartement semble désert. Il y a un message scotché au miroir : c’est une lettre d’adieu — « Un jour, tu m'as dit qu'à côté de toi, je n'aurais jamais peur. Tu t’es trompé, parce que la personne de qui j’ai peur, c’est toi. » Signé Elena.
Et effectivement, alors qu’elle s’en va dans la rue, Elena se retourne fréquemment pour vérifier qu’elle n’est pas suivie. La jeune femme ne remarque pas Irène qui sort en blouson noir d’un immeuble avec sa dernière conquête : elles se reverront cette nuit.
Dans la caféteria du Ministère, le téléphone portable d’Ernesto bipe : Nexus 6, son fils naturel, vient de sortir une nouvelle vidéo en ligne. Ernesto sourit.
Au comptoir, Amélia dit à Jullian qu’elle aurait dû lui parler plus tôt de la photo, Julian l’assure que cela n’aurait rien changé : la vie d’Amélia est la vie d’Amélia. Amélia répond que c’est quand même un peu la sienne aussi. Jullian dit que de toute manière il ne sait pas ce qu’est sa vie, et Amélia répond que c’est la même chose pour elle.
Julian reprend : il a essayé de sauver Maïté, il s’est planté. Il s’est enfui à une autre époque pour se sentir utile et il n’a trouvé que davantage de peine et de misère. Quand il est revenu, il se sentait vide. « C'est peut-être pour ça que j'ai commencé à penser des choses que je n'aurais pas dû. » Et de conclure qu’Amélia n’est coupable de rien : c’est lui qui est comme le roi Midas mais pour la laideur, tout ce qu’il touche il le change en merde. Amélia éclate de rire.
1588. Le roi répond au sous-secrétaire du Ministère du temps : comment ça, ils ne peuvent pas utiliser les portes du temps. Le sous-secrétaire rappelle que ce sont les règles qu’avait dictées la Reine Isabelle la Catholique, quand le ministère fut fondé. C’est clairement écrit : le ministère ne devra céder aux ambitions de personne pas même le roi.
Le roi rétorque que son arrière-grand-mère n’avait pas un royaume aussi grand que le sien, ni autant d’ennemis à frapper à sa porte : il est son roi, qu’il lui montre la porte par laquelle il doit entrer afin que l’Armada gagne la bataille contre l’Angleterre.
Comme le sous-secrétaire ne répond rien, le roi se fâche : qu’il parle ! il a généreusement doté le ministère, il lui a construit son siège et qu’a-t-il reçu en échange ? Le sous-secrétaire répond : la vie. Leurs agents ont servi sa grand-mère Juana alors qu’elle donnait naissance à son père. Ils l’on sauvé d’un attentat à Londres et d’un autre à Lisbonne.*
Le roi rétorque que ce n’est pas suffisant, car ce n’est pas que sa vie qui est en danger à présent, mais la gloire du royaume, qui est bien plus importante. Le sous-secrétaire répond que la gloire se gagne jour après jour, pas en changeant l’Histoire. Le roi s’indigne : comment le sous-secrétaire ose-t-il donner des consignes à son roi ? C’en est fini de lui : le Saint Office les aidera à délier la langue du sous-secrétaire.
L’intéressé répond que le roi commet une erreur. Changer l’histoire pourrait avoir des conséquences terribles. Le sous-secrétaire emmené, le ministre insiste à son tour : changer l’ordre des choses n’est pas l’affaire des êtres humains, seul Dieu devrait pouvoir le faire. Ce à quoi le roi répond : où était Dieu quand on a détruit sa flotte ?
***
Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
***
Le Ministère du Temps S02E11: Le Temps de l'Occulte (2016)
- Détails
- Écrit par David Sicé
- Catégorie : Blog
- Affichages : 26
El Ministerio Del Tiempo S02E11 : Tiempo de lo oculto (2016)
Épisode précédent <> Épisode suivant.
Ici l'article de ce blog sur la série télévisée El Ministerio Del Tiempo (2015)
Diffusé en Espagne le 9 mai 2016 sur RTVE ES.
Sorti en blu-ray espagnol le 23 juin 2016 (multi-régions, espagnol sous-titré seulement).
Annoncé en France et à l'international sur NETFLIX FR (jamais diffusé)
Diffusé sur internet officiel gratuit sur la page dédié de tve ici[/url] :
Annoncé en France à partir du 12 janvier 2025 sur SYFY FR.
De Javier Olivares et Pablo Olivares, avec Hugo Silva, Aura Garrido, Nacho Fresneda.
Pour adultes et adolescents
(Voyage dans le temps, aventure, uchronie) La lame d’un rasoir sur la gorge, Salvadore Martì déclare qu’il ne sait pas si un certain Anselmo se souvient, ou si c’est seulement lui, mais quand j'étais jeune, il était important de savoir combien de longueur de patte on devait garder, surtout s'il y avait une fête ou une soirée dansante. Il se souvient qu'à l'époque, il disait à Don Galo, le coiffeur : "cette fois, des pattes de trois doigts, parce que je vais aller danser. Plus de trois doigts, et mon père m’accusait d’être un voyou."
Le barbier de Martì le confirme : c’était comme ça à l’époque. Non, répond Martèi : ce n’était pas l’époque, c’était son père. La longueur d’un doigt, c’était la norme et c’était comme ça qu’on lançait la mode automne-hiver, mais qu’arrive le printemps et Don Galo lui demandait « j’en laisse combien ? »
Un homme barbichu s’est assis dans le fauteuil d’à côté, l’air bizarre, et interpelle Martì : « il s’est passé beaucoup de temps depuis cette époque-là, non ? ». Le sourire de Martì se fige, et il demande à l’étranger s’ils se connaissent. L’homme demande s’il ne se souvient pas de lui : il lui adonné beaucoup de travail il y a sept ans et demi, presque huit ans. Martì répond qu’il pense que l’homme se trompe de personne.
Alors l’inconnu prend le ton d’un présentateur et déclare « Bienvenue à l’heure de l’Inconnu ». Martì le coupe : il ne veut pas passer pour un mal élevé… L’inconnu le coupe : ce que Martì a fait n’a pas suffi, l’avoir obligé à renoncer à son émission et avoir fait croire à toute l’Espagne qu’il n’existait pas ? Et d’avoir dans le même temps convaincu toute sa famille qu’il n’était qu’un crétin ?
L’homme se lève et annonce que cette semaine, il y aura du grabuge, et s’il était Martì, il se laisserait pousser les pattes à trois doigts. L’homme sort un post-it. Martì le prend. Dessus, il est écrit l’adresse d’une vidéo hébergée sur Internet, intitulée Lombardi, la vérité.
Dans la vidéo, l’homme affirme que si ses spectateurs ont attendu longtemps sa vidéo suivante, cela ne sera pas pour rien : il a découvert un lieu où il y a de très nombreuses portes comme celle qu’il prétendait avoir découverte. Et de brandir une photo de la porte d’entrée du Ministère du Temps et de donner l’adresse : la place du Duc de Albe à Madrid : Aujourd’hui, dans Le Temps de l’Occulte, il révèlera l’un des grands secrets de leur gouvernement, le Ministère du Temps.
***
Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
***
Le Ministère du Temps S02E12: Jusqu'à ce que le Temps nous sépare (2016)
- Détails
- Écrit par David Sicé
- Catégorie : Blog
- Affichages : 22
El Ministerio Del Tiempo S02E12 : Hasta que el tiempo os separe (2016)
Traduction : Jusqu'à ce que le Temps nous sépare.
Épisode précédent <> Épisode suivant.
Ici l'article de ce blog sur la série télévisée El Ministerio Del Tiempo (2015)
Diffusé en Espagne le 16 mai 2016 sur RTVE ES.
Sorti en blu-ray espagnol le 23 juin 2016 (multi-régions, espagnol sous-titré seulement).
Annoncé en France et à l'international sur NETFLIX FR (jamais diffusé)
Diffusé sur internet officiel gratuit sur la page dédié de tve ici[/url] :
Annoncé en France à partir du 19 janvier 2025 sur SYFY FR.
De Javier Olivares et Pablo Olivares, avec Hugo Silva, Aura Garrido, Nacho Fresneda.
Pour adultes et adolescents
(Voyage dans le temps, aventure, uchronie) 1212. Un château fort. Une servante coiffe une jeune fille, Constance, lui rappelant qu’elle va devenir l’épouse d’un des nobles les plus puissants du royaume : son père lui souhaite le meilleur. Don Fadrique est très cher à la famille Lara, le même choisi par le Roi Alfonso. N'importe quelle femme serait fière d'être à votre place.
Constance a le regard fixe, presque exorbité. Le prêtre approche, la servante s’écarte, le prêtre presse sa barbe dans le creux du cou de Constance, qui sursaute, et il lui dit d’arrêter de pleurer : c’est le jour de son mariage, elle doit être heureuse – est-ce qu’elle a compris ? Heureuse.
La nuit, la jeune femme tente de fuir, descend un escalier de pierre, bouscule la servante. Constance, épouvantée lui souffle de se taire, de ne pas la dénoncer ; la servante hurle que la dame s’échappe, à la garde !
Constance se remet à courir. Arrive le futur mari accompagné du prêtre et la servante s’excuse, mais le mari lui dit de se tranquilliser : Constance n’ira pas loin. Constance est arrivé à un cul de sac, mais en s’emparant d’une torche, elle fait pivoter un mur qui donne sur le frigo d’une cuisine du 21ème siècle.
La jeune femme pousse la porte du frigo pour arriver dans la cuisine et le chef lui demande d’où elle sort. Elle demande où elle est. Puis comme Constance prend la fuite, le cuisine dit que c’est une cinglée qui s’en va et retourne à ses fourneaux.
Constance se retrouve dans le couloir d’un château et s’arrête net en apercevant des gens en costume d’époque, l’un d’eux ordonnant à une jeune femme de s’arrêter au nom du seigneur de ces terres. Elle se cache dans la pièce voisine et entend répondre la jeune fille qu’elle ne peut pas s’arrêter, son père la force à se marier avec quelqu’un qu’elle n’aime pas.
Comme hypnotisée, Constance s’avance : la jeune femme est en train de dire que l’autre a raison, qu’elle ira avec lui, et Constance de répéter ces mêmes mots. En face, il y a un portrait d’elle prête à se jeter du haut d’une tour du château.
Dehors, la nuit, Amelia rattrape Julian sur le parvis du château pour lui demander s’il veut danser un slow avec elle. Comme ils le font, Amelia aperçoit Constance apparaître entre deux remparts de la tour qui les surplombe : elle va se suicider. Julian appelle, Constance l’entend et hésite. Julian crie d’attendre, de ne pas le faire.
Vingt heures auparavant, la porte 444 dans les sous-sols du ministère du temps. Irène sort en éclatant de rire tandis que l’homme barbu qui la précède déclare que c’est n’importe quoi, quelle bande de profiteurs ! Irène rétorque que Ortigo n’est qu’un macho et que si elle ne lui était pas passé devant, il n’y aurait pas de mariage devant.
Julian et Alonso sortent après eux, et Ortigo déclare que la prochaine fois qu’il voudra courir avec les taureaux, il faudra l’en empêcher. Puis Julian demande où est Vélazquez, et selon Irène, il est juste derrière eux. Arrive un grand américain barbu et visiblement très éméché qui cherche sa chambre : pas ici. Irène propose de s’en charger et de retrouver Vélazques. Et d’ajouter en anglais : « Allez, Monsieur Hemingway, il est l’heure de dormir ! »
***
Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
***
Le Ministère du Temps S02E10: Séparées par le Temps (2016)
- Détails
- Écrit par David Sicé
- Catégorie : Blog
- Affichages : 29
El Ministerio Del Tiempo S02E09 : Separadas en el tiempo (2016)
Épisode précédent <> Épisode suivant.
Ici l'article de ce blog sur la série télévisée El Ministerio Del Tiempo (2015)
Diffusé en Espagne le 2 mai 2016 sur RTVE ES.
Sorti en blu-ray espagnol le 23 juin 2016 (multi-régions, espagnol sous-titré seulement).
Annoncé en France et à l'international sur NETFLIX FR (jamais diffusé)
Diffusé sur internet officiel gratuit sur la page dédié de tve ici[/url] :
Annoncé en France à partir du 5 janvier 2025 sur SYFY FR.
De Javier Olivares et Pablo Olivares, avec Hugo Silva, Aura Garrido, Nacho Fresneda.
Pour adultes et adolescents
(Voyage dans le temps, aventure, uchronie) Le présent. Dans un musée, Irène s’intéresse à la guide d’un groupe d’enfants venus voir une exposition consacrée à Clara Campoamor. Comme l’institutrice demande si les enfants savent qui elle était, ceux-ci lui répondent en chœur que non. Eh bien ils vont le savoir maintenant : c’était une femme politique madrilène qui s’est battu pour le droit des femmes. Il était fondamental que les femmes puissent voter en Espagne.
Une jeune fille du groupe s’étonne : les femmes ne pouvaient pas voter. La guide confirme : non, et pendant très longtemps. On lui demande pourquoi. Parce que depuis toujours, les hommes étaient plus à l'aise pour prendre des décisions entre eux tandis que les femmes cuisinaient à la maison.
Un des garçon remarque qu’à la maison c’est sa mère qui cuisine parce que son père brûle tout. Les enfants rient. L’institutrice reprend : grâce à une femme comme Clara Campoamor sa mère peut voter et faire beaucoup de choses en dehors de seulement cuisiner. Et il pourra dire à son père de s’acheter un livre de cuisine. Clara Campoamor était une femme très moderne qui pensait que la vie était l’affaire des deux : les hommes autant que les femmes, aussi bien au foyer, qu’au travail ou qu’en politique, sauf pour une chose que seule les femmes peuvent faire.
Irène ne peut s’empêcher d’intervenir : mettre un enfant au monde. Exactement, confirme l’institutrice, qui demande aux enfants s’ils ont un doute. Les enfants répondent en chœur que non. Très bien, ils vont donc pouvoir très facilement remplir leur questionnaire et ils pourront le faire par équipe de deux.
Comme les enfants s’en vont remplir leur questionnaire, Irène tient à s’excuser de l’avoir interrompue : elle n’avait pu s’empêcher d’écouter. L’institutrice lui dit de ne pas s’inquiéter, elle a bien vu qu’Irène admirait aussi Clara Campoamor.
A deux pas, la jeune fille qui avait posé la question sur le vote des femmes s’arrête, fixant la photo murale. Et comme Irène se présente à l’institutrice, Julia Lozano, la jeune fille se retourne, puis regarde à nouveau la photo, puis elle interpelle son enseignante pour lui demander de quelle année date la photo. Julia répond sans hésiter : de 1930. La jeune fille objecte : si la photo est si vieille, pourquoi est-ce que sa professeure est-elle dessus ?
Julia s’approche à pas lent du mur où est affiché en très grand format la photo noir et blanc de huit femmes souriantes dans un jardin, où effectivement, son sosie se tient presque au centre. C’est la femme du groupe qui sourit le moins.
Julia se trouble, continue d’avancer. Irène s’approche avec elle. C’est alors que la professeure a des flashs glauques d’une maison obscure, d’enfants qui crient, d’un disque d’une chanteuse d’opéra – puis de bocaux contenant des choses répugnantes avec des insectes pris dedans – des organes. Son cœur bat de plus en plus vite. Julia sursaute, et s’écroule…
La photo passe en couleur et s’anime : les femmes se félicitent, la Julia de la photo sourit puis semble troublée, et s’écroule à son tour, retenue de justesse par une camarade.
Julia a repris conscience et Irène fait remarquer qu’en vérité la femme de la photo est exactement identique à elle. Irène demande si cela pourrait être son arrière-grand-mère ou une parente. Julia ne répond pas, remercie Inès, mais elle doit ramener les enfants à l’école.
Irène propose de l’accompagner, Julia refuse. Irène lui demande de conserver sa carte : elles ne se connaissent en rien, mais si elle pense avoir besoin d’aide. Julia lui demande avec méfiance si elle est psychologue. Irène répond que non, mais elle sait écouter : elle sait que les cauchemars se vivent seuls, mais de temps en temps, il faut savoir les partager.
Julia partie, Irène met discrètement dans son sac à main la petite bouteille d’eau minérale de l’enseignante, qui doit porter empreinte et possiblement de l’ADN.
***
Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
***