Nautilus S01E01 : L’évasion (2024).
Woke toxique raciste révisionniste : conformément au cahier de charge de Disney Moins, streamer qui a finalement refusé de diffuser cette série, tous les mensonges et calomnies wokistes payées par Black Rock et la Chine sont au programmes. Tout est historiquement, sociologiquement et biologiquement faux et toxique dans les comportements, les mâles blancs en particulier roux sont rabaissés, l'insolence et l'irresponsabilité des personnages féminins vantés, provoquant à la haine et incitant à adopter des comportement dangereux, injustes et psychopathes dans la réalité. N'exposez pas vos neurones, n'en discutez même pas, protégez vos enfants et votre entourage en limitant l'accès aux écrans aux seuls productions non toxiques d'avant 2016
Diffusé en Suède le 12 juin 2024 sur SVT PLAY SE (Streaming)
Annoncé en France le 12 août 2024, 21h10 sur FRANCE TELEVISION 2 FR avec le second épisode.
Déjà disponible en streaming officiel SD en avant-première ici pour une durée limitée (uniquement en France, mail privé exigé pour le revendre à je ne sais qui).
De James Dormer, d'après le roman Vingt Mille Lieues sous les mers de Jules Verne, "réimaginé" (lisez plagié et largement trahi) ; avec Shazad Latif, Georgia Flood, Thierry Frémont, Pacharo Mzembe, Arlo Green, Tyrone Ngatai, Ling Cooper Tang, Andrew Shaw, Ashan Kumar, Chum Ehelepola, Céline Menville, Kayden Price, Jacob Collins-Levy, Luke Arnold.
Pour adultes.
(faux Jules Verne, aventure steampunk wokissime révisionniste raciste débile) 1857. La Compagnie Britannique des Indes Orientales est plus puissante que n’importe quelle nation. L’armée privée de la Compagnie a conquis des terres et volé des richesses à travers le monde entier. Ses navires sillonnent les mers en toutes impunités, parce que la réalité de Histoire et le wokisme font deux.
Nulle mention des empires Zoulous (noir africain), Turques (Europe centrale), Berbères et royautés arabes (Afrique du Nord) ou Han (chinois)… ou belge (Congo) qui ont pourtant à cette époque comme auparavant battus tous les records en barbarie, nombres de victimes et atrocités...
« Il semblerait que j’ai encore gagné… » déclare la wokette qui joue aux cartes de l’argent seule avec deux hommes — sans chaperon ni mari présent, soit quatre entorses graves à l’étiquette de l’époque, et je ne suis même pas certain que ce soit légal à l’époque et selon la loi anglaise.
Alors que la wokette empoche avidement l’argent et les bijoux sur la table (mais aucune reconnaissance de dette ou bon du trésor ou part dans la Compagnie), le très jeune capitaine blanc wolket bafouille qu’il devrait faire acte de présence sur le pont. Mais la wokette refuse car il reste au woket trois pièces à jouer, et comme tout bon woket se doit, il se contente de soupirer et d’obéir : peu importe ses responsabilités — son bateau peu couler corps et bien, ses marins torturer et violer tous les autres passagers — un woket doit toujours obéir à la garce wokette irresponsable et amorale de service, pot-de-vin distribué à tous les membres clés de la production par la Chine et Black rock diversité équité inclusion oblige.
« Je mise tout ce que j’ai, déclare ingénument la wokette, contre tout ce que vous avez… »
Un ange passe, le capitaine n’ose rien dire, le gros moustachu (à moins que cela soit lui le capitaine, la production bien entendue a oublié de faire les présentations) déclare : « Allons-y, le tout pour le tout. » Est-ce que le gros moustachu serait le mari seigneur et maître du petit jeune capitaine pour tout décider à sa place. Étonnant que la wokette n’ait pas exigé un strip de la part de ses adversaires, tant qu’à faire et vu sa « chance » jamais préalablement suggérée par le récit, mais qu’elle ne doit a priori qu’à un scénario woke forçant la survenance des scènes voulues par le scénariste et tracto-pellant le spectateur du point A au point B.
Enfin un plan montrant la table complète et oui, il y a bien apparemment une vieille qui pourrait servir de chaperon, si un chaperon se taisait au lieu de rappeler à l’ordre, menacer et battre à la baquette la protégée à chaque écart, et à supposer seulement que la wokette, compte tenu de ses manières et de ses imprudences, n’aurait pas été depuis longtemps internées dans un couvent ou un asile d’aliéné spécialisé en Suisse par exemple.
La wokette débite à toutes vitesses en distribuant les cartes : …
« Voyez-vous, le 21 est basé sur des évènements subordonnés : le passé affecte la probabilité de ce qui se passera ensuite… Ainsi si le ratio carte haute, carte basse est supérieure à la normale, je fais des paris plus important pour accroître mes gains si le jeu est favorable… »
Cette réplique est censée prouver l’intelligence supérieure de la wokette, sauf que si elle était réellement intelligente, elle se tairait : compter les cartes, c’est de la triche et elle admet qu’elle prétend gagner à un jeu de hasard qui n’en serait pas un tout ce que possèdent les wokets : elle prouve ainsi sans aucun doute possible qu’elle est une voleuse.
Le jeune capitaine répond en bafouillant : « Oui, bien sûr, je vois très bien… »
Cette réplique servant à prouver à quel point les hommes sont bêtes, sans volonté et renchérissent quand la wokette leur crache à la face à quel point ils sont c…ns. Toutes les qualités d’un capitaine commandant à bord d’un navire de la Compagnie des Indes, n’est-ce pas ?
Mais ces hommes faibles et soumis sont censés naviguer en toute impunité – sous-entendu sans jamais rencontrer un seul souci, même pas de météo ou de conflit à bord de leur barcasse, ou de panne, ou de piraterie, parce que la piraterie n’existait pas au 19ème siècle selon cette série woke, parce qu’aucun autre empire économique ou militaire n’existait au 19ème siècle et qu’aucune des colonies n’avait jamais songé à la rébellion, et qu’il n’existait aucune secte, aucune société secrète, aucune religion...
Le spectateur notera que les cartes distribuées ont leur dos et bords usés et marqués à tel point qu’il serait facile d’identifier pour chaque carte distribuée cachée, quel est leur face cachée, leur valeur et qui la tient. Donc il est exact qu’il n’y a aucun hasard dans le jeu de 21 tel que sont censés le pratiquer les personnages à l’écran, mais ce n’est absolument pas une question de probabilité. Et absolument aucun être humain à part un enfant et encore, n’accepterait de miser la moindre piécette à un tel jeu de cartes marquées de manière aussi flagrante.
Par ailleurs, comment les autres joueurs pourraient-il lui laisser distribuer la moindre carte vu qu’elle gagne tout le temps et doit donc forcément tricher ? Plus un joueur non woke aurait déjà vérifié si les cartes ne sont pas biseautée et aurait fait retrousser les manches.
Le jeune capitaine sourit et abat deux cartes : un as de trèfle et un roi de carreau, totalisant les 21 points qui donnent le nom à ce jeu.
La wokette semble troublée et déclare en voyant les deux cartes abattues : « Il y a un souci… »
Le jeune capitaine a l’air soulagé, mais la wokette accuse : « Cet as a déjà été joué… »
Le jeune capitaine, gêné, ricane stupidement, et veut récupérer ses gains, mais la wokette lui agrippe le poignet, affirmant : « J’en suis certaine ! »
Et comment compte-t-elle prouver une telle accusation ? Elle a filmé toute la partie avec son téléphone portable ? Chaque carte jouée enregistrée par deux huissiers qui ne se connaissent pas sur leurs registres ? C'est bien à elle de prouver son fait, et si on l'accuse de mentir pour voler les trois fortunes misées, tout en attentant à l'honneur du joueur et en le calomniant, comment prouverait-elle le contraire ? Une raison de plus de ne pas laisser une jeune fille sur le point de se marier jouer à des jeux d'argents comme au bordel, une tradition du 19eme siècle, cf. le film La Dame de Pique.
Dans la réalité elle se serait pris d’office en un aller-retour : aucune femme ne tripote un homme à la table de jeu pour tenter de lui voler son argent. Un homme qui ferait de même serait lui, dans le meilleur des cas assommé puis jugé par… le capitaine du navire, selon la loi internationale. C’est la raison pour laquelle aucun individu non désespéré ou ivre n’ira jouer de l’argent aux cartes sans s’entourer de témoins costauds et armés.
Nerveux le woket répond : « Je vous assure que non ! » tandis que son collègue de bureau et la prétendu chaperonne font camembert.
Enfin, une troisième main se pose familièrement sur les deux déjà posées sur le tas de fric, et une voix de wokette plus grave résonne hors caméra : « Vous faites erreur, vous avez perdu. »
Quand on est plusieurs à parler en société, la règle de l’étiquette, parfaitement maîtrisé par les personnages prétendus de cette condition à l’écran, c’est de préciser à qui l’on s’adresse. Parce qu’accuser « vous » d’une erreur à un jeu d’argent où est misé une fortune pourrait gravement offenser tous les partis en présence, tous désignés par « vous » et faire perdre la face ou déclencher un accès de rage, même en bonne société : rompez l’étiquette entre gens de « bonne » compagnie et tous les coups sont permis.
Un petit chien sur un coussin que nous apercevons pour la première fois, se met à gronder de manière menaçante, et je ne sais toujours pas si la seconde wokette s’adresse au jeune capitaine ou à la première wokette.
« Prenez vos gains, déclare la seconde wokette. » Mais à qui parle-t-elle ?, nous ne le savons toujours pas !
Et il semblerait au sourire du capitaine et au fait que la seconde wokette a retiré la main de la première que la seconde ait accusée la première d’avoir fait une erreur. Voyons ce qui va suivre avant d'imaginer que les choses sont rentrées dans l'ordre.
Le jeune capitaine empoche les pièces et bijoux, et le gros moustachu se lève en disant « Mesdames je vous salue. » La seconde wokette répond désagréablement « De même, Messieurs. » Le jeune capitaine woket bredouille encore en haletant comme un petit chien et en pouffant : « Désolé ! » comme si la première wokette avait eu l’air désolée de tenter de lui voler toute sa fortune à lui.
Il sort et la première wokette lance à la seconde : « De quel droit avez-vous fait ça ? »
La seconde wokette répond : « Là où vous allez, cet argent ne va pas vous manquer. »
On frappe à la porte, et la seconde wokette répond : « Mademoiselle Lucas est occupée. »
Et la première wokette (Lucas) lance joyeusement : « C’est ouvert ! » et de s’écrier joyeusement en reconnaissant l’adolescent qu’elle a dû fréquenter assidument pour se faire : « Blaster ! »
Ce qui revient à appeler l’individu en question « L’écrabouilleur », mais le personnage n’aurait-il pas été nommé ainsi d’après la chanson reggae de 1980 (Master Blaster) ou bien est-il surnommé ainsi parce qu’il écrase les rats à bord ? Le compagnon idéal pour une aristocrate anglaise sur le point d’épouser un richissime aux Indes.
Un gamin noir à la mise négligée (ce n’est en général pas le cas quand on entre dans le salon des dames passagères) entre sans plus de façon, ce qui est une infraction et très grave aux règles de bord : un vrai marin de cet époque ne serait pas entré au moins de crainte de finir fouetté sur le pont avec du sel répandu sur ses blessures.
Par ailleurs, pourquoi n’y a-t-il aucun planton ou domestique à la porte de ces dames, parce que là encore, cela parait inadmissible en bonne société à cette époque : nous devrions être plus proche des comportements des ponts supérieurs du Titanic que de la comédie de piraterie Pirates des Caraïbes…
« Le capitaine Youngblood (NDR le capitaine Jeunesang - sic) m’a chargé de vous dire qu’avec un vent favorable, nous serons à Bombay dans la matinée, Mademoiselle… »
C’était pas le capitaine qui vient à l’instant de sortir du salon ?
La seconde wokette (Loti) répond, moqueuse : « En voilà, une excellente nouvelle : votre futur époux sera là à notre arrivée pour nous accueillir. »
Et là je réalise à quel point la coiffure et la tenue de la seconde wokette est anachronique : est-elle habillé en homme portant des cheveux courts gris , pour composer le cliché typique de la lesbienne selon les standards des productions woke de 2016-2024.
Puis, second effet Kiss-Kool : cette prétendue chaperonne a laissé la future épouse d’un homme de la haute société jouer un jeu d’argent à bord du bateau qui l’amenait, et c’était le seul passe-temps de la wokette en question pendant toute la traversée ? Il s’agit de la même traversée que celle de Phileas Fogg dans le roman de Jules Verne, sauf que c’est avant que le Canal de Suez soit opérationnel. Pour arriver le 9 octobre à Suez en partant de Londres le 2 octobre 1872, Fogg a mis sept jours. La traversée de la mer rouge dure 138 heures, soit six jours. Le vapeur doit recharger en charbon quatre heures et mettra 168 heures de plus pour atteindre Bombay, Total 310, soit 13 jours. Le canal de Suez emprunté dans le roman de Jules Verne est censé avoir économisé 12 jours de navigation. Donc, dans la série Nautilus, la wokette a passé 25 jours à bord du navire en question, et si ce n’est pas un vapeur (le capitaine a dit, si le vent est bon...), trois plus, soit 75 jours.
Bref, la wokette offre du gâteau à Blaster, le fait servir par Loti la seconde wokette qui exige que le gamin lui rende la serviette (curieux déjà de lui servir le gâteau dans une serviette – incidemment c’est une génoise fourrée de crème pâtissière).
La dégustation est interrompue par des détonations, le capitaine qui observe les merveilles de la nature selon Blaster. Et nous découvrons que le capitaine Youngblood n’est ni le gros moustachu ni le woket frémissant soumis mais… un blanc et rouquin par-dessus le marché, bien sûr, dont la wokette découvre apparemment le passe-temps seulement après 74 jours de traversée. Et effectivement, il observe bien, puisqu’il mesure les oiseaux qu’il abat, qui ressemblent plus ou moins à des pigeons et non des albatros comme on aurait pu le supposer.
Noter qu’ils sont toujours en haute mer. Youngblood déclare alors : « Rien que de vulgaires mouettes… et cependant absolument magnifique à leur façon, tu ne trouves pas, Blaster ? » (lisez traduit en français comme le reste, l'Ecrabouilleur, le (sur)nom idéal pour un ami des bêtes à bord d'un voilier.)
A moins que Blaster ait un frère jumeau qui porte le même nom, le gamin noir s’est téléporté au troisième coup de fusil depuis la cabine des wokettes sur le pont. La raison de son surnom, peut-être ?
Et bien entendu impossible que le capitaine n'ait pas su avant d’avoir abattu les oiseaux en question de quel genre il s'agissait. Et comment fait-il pour que les cadavres chutent exactement sur son pont, surtout à une distance à laquelle il serait incapable de les distinguer d’autres oiseaux ? La production ne le dit pas.
Un sifflement fait relever la tête du capitaine. Comme Youngblood vise un oiseau blanc plus grand du canon de son fusil, Blaster fait remarquer que cela porte malheur de tuer un albatros. Tiens donc, enfin un marin qui serait capable de faire la différence entre une mouette, un goëland et un albatros ? Ce n’est pas comme si c’était dans leurs habitudes, n’est-ce pas ?
Mais une détonation plus forte les fait tous vaciller, comme si leur navire aurait heurté un récif. Youngblood rend le fusil à un sous-fifre et va se pencher pour admirer le flot depuis le bastingage. Personne dans l’équipage ne semble réagir à un événement qui, habituellement annonce le naufrage immédiat, donc la ruée vers les canots et tout ce qui peut flotter, ou au moins une inspection urgente des cales afin de tenter de calfeutrer des fuites ou une voie d’eau quand c’est encore possible.
Cela se passe comme ça quand votre navire est en effets spéciaux et qu’absolument aucun membre de la production n’a jamais navigué à bord d’un vapeur, d’un voilier – ni jamais consulté un témoignage ou visionné un documentaire ou un film beaucoup mieux documenté.
Youngblood ne voit rien, même pas le clapotis bizarre à l’horizon (une minute plus tard le "monstre" fera pourtant une bosse roulante énorme sur l'eau), et ordonne à Blaster, qui apparemment fait tout à bord, de grimper aux haubans.
Donc ils n’ont pas de vigie ? (on voit pourtant bien la nacelle au sommet du mat plus tard). C’est-y-pas un peu risqué, ça ? après tout ils pourraient croiser une épave ou des naufragés… Mais j’oubliais, au 19ème siècle la Compagnie sillonne toutes les mers du globe en toute impunité.
« Dis-moi ce que tu vois… » ajoute Youngblood hors caméra, tandis que l’acteur qui joue Blaster fait semblant de grimper aux cordes, avec visiblement pas mal de difficulté pour un professionnel de la marine à voile. Ce n'était pas le cas pour les cadets pourtant fraîchement embarqué du Windjammer pourtant, et ils n'avaient certainement pas 75 jours de pratique, eux...
Dans leur cabine, la wokette veut monter sur le pont et sa chaperonne lui ordonne de rester là « en toute sécurité » qu’elle disait. Alors la wokette éclate d’un rire sardonique, s’écriant, sûr de son fait : » Vous m’ordonnez ? Puis-je vous rappeler à toutes fins utiles que vous êtes à mon service ! »
Je crois qu’elle confond avec sa femme de chambre et sa camériste, incidemment aux abonnées absentes, autre anachronisme et manquement grave à l’étiquette du 19ème siècle dans la haute société. Encore une fois, une jeune fille même de la haute société n’a strictement aucune autorité sur sa chaperonne, qui en l’absence de toute autre autorité, a le pouvoir de la battre, l’emprisonner, l’affamer et l’assoiffer.
Et de fait, la wokette est sur le pont au plan suivant, possiblement téléportée comme Blaster la scène d’avant : n’importe quoi.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
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