The Green Hornet S01E06: Highways of Peril (1940)Feu vert télévision

The Green Hornet S01E06: Highways of Peril (1940)
Traduction du titre : le frelon vert, les autoroutes du péril

Episode précédent <> Episode suivant.

Ici la page de ce blog consacré au serial The Green Hornet 1940.

Sorti au cinéma aux USA à partir du 13 février 1940.

De Ford Beebe et Ray Taylor sur un scénario de Fran Striker, George H. Plympton, Basil Dickey, Morrison Wood, Lyonel Margolies, d’après le feuilleton radiophonique de 1936 de Fran Striker et George W. Trendle ; avec Gordon Jones, Wade Boteler, Keye Luke, Anne Nagel.

Pour adultes et adolescents

(mystère, justicier, super-héros, techno-thriller) Chapitre six.

Britt Reid suit la piste du vol de sa propre voiture jusqu’au parking de Meadows. Axford suit l’un des mécaniciens du garage jusqu’à une casse où lui et Reid échappent de justesse à la mort quand le gang découvre qui ils sont. Meadows, réalisant que Reid est sur le point de retrouver son véhicule, ordonne que celui-ci soit détruit par une bombe à retardement. Mais avant que la bombe explose, le Frelon Vert confronte Meadows et le contraint à avouer. Le gang découvre alors le Frelon e l’attaque. Kato aide le Frelon à assommer Meadows et terrasser les malfrats, mais…

« Voilà Meadows dit le Frelon Vert à Kato en pointant un corps inanimé : nous le mettrons dans la voiture de Britt Reid. »

A l’horloge murale du parking, il est presque onze heures pile : Reid prend Meadows sous les bras, Kano par les pieds et Reid glisse l’homme inconscient sur la banquette arrière de la traction avant, quand soudain… le moteur à l’avant de la voiture explose, faisant pleuvoir à travers les volutes d’une épaisse fumée les débris sur le Frelon Vert.

Non loin de là, une voiture de police entend le bruit de l’explosion et démarre en trombe dans sa direction supposée, ne tardant pas à actionner sa sirène. Le Frelon, couvert de poussière, se redresse, puis se relève, et, entendant la sirène, ramasse Kato inerte pour l’emporter sur son épaule.

De son côté, Meadows a été chassé de la banquette arrière jusqu’au sol, les portières de la voiture de Reid ayant été éjectées. Le Frelon Vert cache alors Kato dans le coffre d’un des véhicules garés sur place, immatriculé 2U 202 (« to you to how to » jeu de mots : à toi pour te débrouiller), tandis que les policiers font irruption et constatent qu’ils sont au bon endroit, enfumé et jonché de débris.

Le second policier réalise qu’il y avait quelqu’un dans la voiture, et le premier qu’il s’agit de voiture de Britt Reids en ramassant la plaque d’immatriculation : une voiture et un homicide, c’est une affaire grave. Pendant ce temps, Meadows en profite pour se faufiler, tandis que le Frelon Vert lui est resté embusqué derrière des barils.

Le premier policier se demande alors si l’endroit a le téléphone. Le second suggère que celui-ci doit se trouver dans le bureau de l’autre côté, et qu’il faut appeler leur quartier-général. Pendant ce temps Meadows monte au volant de la voiture dans le coffre de laquelle le Frelon Vert avait caché Kato.

Meadows démarre bruyamment, le second policier dégaine son arme de service et tire plusieurs fois sur la voiture, se précipitant à la suite du véhicule dans la rue. De son côté, Britt Reid rejoint la Beauté Noire et prend le volant, déclenchant le vrombissement caractéristique du Frelon Vert. Le premier policier ordonne alors au second de prendre en chasse cette voiture-là, tandis qu’il s’occupera de ce qui se passe ici.

La poursuite est de courte durée : Meadows se gare et saute de son véhicule, le Frelon Vert l’imite et récupère Kato dans le coffre et le policier ne peut que constater qu’il a perdu la Beauté Noire. Nous retrouvons Britt Reid à soigner le bras blessé de son valet alité, tandis qu’à l’immeuble Bradbury, le chefs sous réunis et reçoivent leur ordre du grand patron invisible, via un poste radio : éliminer le Frelon Vert sans délai, et d’offrir une prime de 100.000 dollars à quiconque mettra fin à sa carrière.

The Green Hornet S01E06: Highways of Peril (1940)

The Green Hornet S01E06: Highways of Peril (1940)

The Green Hornet S01E06: Highways of Peril (1940)

The Green Hornet S01E06: Highways of Peril (1940)

The Green Hornet S01E06: Highways of Peril (1940)

The Green Hornet S01E06: Highways of Peril (1940)

The Green Hornet S01E06: Highways of Peril (1940)

The Green Hornet S01E06: Highways of Peril (1940)

***

Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacré à cet épisode.

***

Firebite, la série télévisée de 2021Feu rouge télévisionToxique


Firebite (2021)
Traduction du titre original : la morsure du feu.

Une saison de huit épisodes.

Diffusé aux USA à partir du 16 décembre 2021 sur AMC+ US.

De Warwick Thornton, avec Rob Collins, Shantae Barnes-Cowan, Yael Stone, Callan Mulvey.

Pour adultes

(fantastique, vampire, woke raciste toxique) Le désert australien. Cela a été notre foyer pendant près de 80.000 ans. Les mineurs blancs ont dépouillé notre terre de leurs opales et ont laissé derrière eux un labyrinthe de tunnels. Les blacks racontent des histoires de montres vivants là-dessous. La plupart les rabaissent à des mythes et des légendes. Mais j’ai une version différente : les monstres sont réels. Ils sont là depuis des siècles et ils ont enfin trouvé l’endroit parfait pour vivre.

Un homme (blanc) descend d’un bus et marche à pieds le long de la route dans le couchant, avant de sauter dans un trou et d’atterrir sur un baril posé juste en-dessous. Il en descend, et il est immédiatement interpellé par une jeune femme énervée (blanche) : hé le nouveau, si tu as l’intention de vivre ici, soyons clairs… L’homme ne répond rien et lui arrache le cœur, devant un autre jeune homme (blanc) qui reste planté là, indécis. L’arracheur de cœur déclare alors à ce dernier qu’il y a un chasseur de sang sur sa piste et qu’il doit s’en occuper. Le barbichu se hisse illico hors du trou pour se planter au milieu de la route, sans doute pour se suicider sous le camion 16 tonnes qui fonce droit sur lui tous phares allumés

Certains héros tiennent tête aux monstres : les chasseurs de sang : des blacks qui se dédient à tuer ces monstres (à la peau blanche jusqu’ici), mais on ne les as pas vu depuis longtemps (les monstres ou les chasseurs de sang ?).
Le camion inexplicablement s’arrête et le barbichu au visage déformé s’avance alors d’un bon pas en râlant de manière pas du tout suspecte. Une voiture double alors le camion et fauche le barbichu. Mais ceci n’est pas une histoire à propos d’un héros.

A bord de la voiture une jeune femme (Shanika ? noire, possiblement aborigène) vulgaire demande au conducteur (Tyson ?) ce que c’était. Le conducteur (aborigène) répond qu’il ne sait pas, probablement un kangourou. Et très fier d’ajouter qu’il avait dit à la jeune femme que cette barre de protection contre les kangourous servirait à quelque chose un jour.

Firebite, la série télévisée de 2021

Firebite, la série télévisée de 2021

Firebite, la série télévisée de 2021

Firebite, la série télévisée de 2021

***

Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cette série télévisée.

***

Swan Song, le film de 2021Feu rouge cinéma

Swan Song (2021)
Traduction : Le chant du cygne.

Diffusé à partir du 17 décembre 2021 sur APPLE+ INT.

De Benjamin Cleary (également scénariste); avec Mahershala Ali (également producteur), Naomie Harris, Awkwafina, Glenn Close.

Pour adultes

(presse, prospective, clone, toxique woke) Dans un futur apparemment largement dépeuplé par une campagne de « vaccination » COVID particulièrement efficace et profitable pour les gens les plus riches de la planète. Plutôt que d’être soigné par une technologie capable d’altérer « les brins d’ADN » responsable de son cancer, Cameron Turner choisit de se faire remplacer par un imposteur qui lui ressemble, qui disposera de sa femme, ses enfants et sa fortune.

Incidemment, ce « clone » qui lui ressemble parfaitement a été créé par le même genre de personne qui optimisent des virus existant pour les rendre plus dangereux pour les humains et cette personne le répète : elle sait mieux que vous ce que vous pensez et ce qui est bon pour vous, à savoir faire ce qu’elle lui dit de faire, toute sa vie et si ça se trouve, dans le privé, elle tient un bordel de clones mineurs sur une île paradisiaque uniquement visité par des chefs d’états et autres présidents directeurs généraux de multinational. Musique informe planante sur mines constipées sauf pour la vendeuse de clone qui sourit constamment comme si elle était sous un mélange de tranxène et de cocaïne.

Et bien sûr le héros qui peut s’évanouir dans sa salle de bain connectée sans que Siri ne batte un cil virtuel va hésiter pendant presque deux heures pour savoir si oui ou non il va copier-coller sa personnalité dans son clone qui l’attend paisiblement dans un fauteuil du hall de la société de clonage, car c’est bien connu, un clone n’a pas besoin de manger, boire, pisser ou faire du sport pour conserver l’exacte forme de son modèle, sûrement une question de manipulation génétique. Ou alors, en réalité le business est seulement une escroquerie et c’est un androïde ou un bête mannequin, car je suppose à ce stade que le héros est censé être euthanasié à la seconde où l’échange promis avec son clone aura lieu. Bonjour les hémorroïdes pour le clone quand celui-ci se lèvera enfin de son fauteuil.

Swan Song, le film de 2021

Swan Song, le film de 2021

Swan Song, le film de 2021

Swan Song, le film de 2021

***

Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

***

Mother/Android, le film de 2021Feu rouge cinémaRécit toxique à ne regarder qu'avec prudence et esprit critique

Mother/Android 2021
Traduction : mère / androïde.

Toxique.

Diffusé aux USA à partir du 17 décembre 2021 sur HULU US.
Diffusé à l'international et en France à partir du 7 janvier 2022 sur NETFLIX INT/FR.

De Mattson Tomlin (également scénariste et producteur) ; avec Chloë Grace Moretz, Algee Smith, Raúl Castillo, Linnea Gardner, Kiara Pichardo, Oscar Wahlberg, Christian Mallen, Jared Reinfeldt, Liam McNeill, Stephen Thorne.

Pour adultes.

(prospective, robots, AI apocalypse, woke toxique) L’obscurité. Une jeune femme blonde s’y reprend à trois fois pour allumer un feu de cheminée avec un briquet. Puis, regardant une photo polaroïd, se demande comment on peut laisser quelqu’un derrière soi, le quitter pour de vrai, le laisser tellement en arrière que cela vous semble comme si vous ne l’aviez jamais rencontré ? Elle caresse le visage sur la photo puis semble pousser un gros soupir.

Dans les toilettes, l’air aussi constipée qu’auprès du feu, elle aligne trois tests covid positifs… non, trois tests de grossesse, en fait. L’homme de la photo, un jeune homme noir nommé Sam qui a l’air aussi constipé qu’elle mais qui n’est pas plus assis sur le trône qu’elle (il semble que le carrelage de leur salle de bain soit très confortable, à moins qu’il ne s’agisse d’une subtile mise en scène pour cadrer leur accablement), suggère à la jeune femme de faire un quatrième test. La jeune femme pousse (à nouveau pour le spectateur) un gros soupir.

Sam lui demande alors ce qu’elle compte faire. Elle soupire à nouveau : elle veut juste rester là, assise sur le carrelage de sa salle de bain. Sam répond qu’il veut juste qu’elle sache qu’il la soutiendra, peu importe ce dont elle a besoin. Elle répond « Ok », et Sam s’indigne : ne va-t-elle pas dire quelque chose à la fin ? La jeune femme semble être outrée et déclare qu’elle sait que Sam essaie d’être gentil et qu’il s’inquiète pour elle mais elle veut juste qu’il s’arrête. Nous supposons alors que l’héroïne est super-raciste et en veut vraiment à son compagnon de l’avoir engrossée alors qu’elle ne cherchait qu’à réaliser un fantasme sexuel avec lui.

Sam propose alors à « G » de l’épouser, ce qui est super-romantique assis à côté de la cuvette des WC et que nous ignorons toujours s’il lui a au moins offert un repas et une sortie cinéma (pas évident en ces temps de pandémie) avant de la mettre enceinte, et nous supposons que la blonde devait également être allergique au préservatif féminin et son compagnon ignorer comment on met un préservatif. Ou alors conformément aux consignes des autorités, supposait que leurs masques faciaux les protégeraient.

« G » semble décidément à court de vocabulaire, à moins que ce ne soit ses dialoguistes qui soient à court de clichés. Toujours est-il que Sam insiste lourdement : il est sérieux, faisons-le, et puis quoi, il l’aime. Une voiture klaxonne sous leur fenêtre, et là je suppose que « G » en fait est déjà mariée à un suprémaciste blanc, ou bien le bébé est de Bill Clinton et a été procréé sur l’île d’Epstein pendant qu’Hilary démolissait ses téléphones portables à coups de marteaux pour ne pas les remettre au Sénat américain.

Quelqu’un descend de la voiture et « G » se lève en disant qu’ils sont là (les androïdes tueurs d’humains ?). Elle enlève une de ses chaussettes et y glisse les trois tests covids positifs, mais elle oublie son smartphone sur le rebord de l’évier, ce qui prouve que ce film est de la pure fiction et n’a rien de scientifique. Elle sort en laissant la porte des toilettes ouverte, et Sam se lève et retrouve « G » et M. et Mme Olsen, les parents de « G ». Celle-ci insiste pour que personne ne conduise ce soir, elle a d’ailleurs commandé un taxi. Passionnant.

Mme Olsen demande à sa fille si elle va bien parce qu’elle la trouve un peu jaune, et ne s’étonnent pas que « G » n’ai qu’une seule chaussette à son pied. M. Olsen demande quels parents seront à la fête, et « G » répond aucun, ils sont à l’université. Comme Sam et « G » sortent de la maison, le domestique un peu raide — dont les yeux brillent soudain d’un éclat bleu. Nommé Eli, il souhaite à Sam un joyeux Halloween, et Sam corrige, c’est Noël aujourd’hui.

A la fête, ils sont servis par Daniel, un autre androïde à la peau blanche et au prénom juif. Le jeune maître de maison demande du rhum avec le cocktail, le jeune homme répond par un code qui lui permet d’annuler la directive parental qui interdit à l’androïde de servir du rhum. Dans la salle de bain, « G » avoue à une autre blonde qu’elle a super-peur, surtout parce que Sam essaie d’être gentil. Et comme sa potesse blonde lui demande ce qu’elle va faire, « G » répond qu’elle pense qu’elle va prononcer le mot avortement, interdit à la télévision américaine donc sur HULU qui diffuse ce qui ressemble de plus en plus à un téléfilm de m.rde.

Elle est interrompu par un énorme biip grésillant, qui lui fait si mal aux oreilles qu’elle laisse échapper son smartphone, dont l’écran diffuse à présent un film en crypté sur Canal Plus. Le biip continue de grésiller. Les lumières vacillent, les deux blondes entendent un choc sourd et un jeune homme en train de crier d’arrêter tandis qu’une jeune femme hurle. Elles descendent rejoindre la fête au rez-de-chaussée où Daniel l’androïde juif est en train d’étrangler une autre femme. Le jeune maître de maison traverse la pièce en criant « non, non, non, non, arrête ! » et tiens donc, cette fois il n’utilise pas son super-code pour annuler la consigne de tuer tout le monde ? Curieux.

L’androïde utilise alors le jeune maître de maison pour ouvrir une fenêtre à guillotine sans la soulever. Sam crie alors à « G » de courir, et comme elle obéit, l’androïde apparaît devant elle, alors Sam lui dit de courir dans l’autre sens, et l’androïde apparaît à côté d’elle et Sam se jette sur Daniel et l’étrangle. « G » se jette sur l’androïde qui la dégage d’un coup de pied.

Arrive un autre invité — ils étaient où tous les autres ? — qui à coup de canne de golf fracasse la tête de Daniel, qui apparemment a son cerveau au même endroit qu’un bête humain, ce qui n’était pas gagné. « G » déclare alors que les androïdes ne sont pas censés tuer — un peu comme les drones tueurs, les couteaux, les mitrailleuses lourdes et les tanks ou la bombe atomique fabriquée à partir d’une énergie verte selon les gouvernements français alors ?

Et pour confirmer les dire de « G », on entend des cris dehors et encore une femme qui demande d’arrêter. Il est vrai que demander à un terroriste ou un tueur en série de s’arrêter de tuer tout le monde à Noël a toujours fonctionner, il faut donc continuer, peu importe le nombre de victimes qui vous auront précédé.

Les randonnées sont très à la mode en ce moment dans les films et séries de Science-fiction américains. C’est seulement bizarre que les touristes veuillent éviter la route quand il y en a une qui mène directement au camp à disposition des androïdes et de leurs drones.

Dans la rue, ça tire de partout et les quatre survivants restent plantés là au milieu. La potesse blonde tombe alors après une balle reçue en pleine tête (pas assez bien roulée au goût de la production pour rester en vie plus que le premier quart d’heure ?), mais les trois autres continuent de rester debout immobiles bien alignés au milieu de la rue avec une expression étonnée, tandis que le quartier brûle. Qu’est-ce qui empêchait le tireur de les descendre dans la foulée ? Le scénario ?

Plus tard, Sam et « G » sont au lit sous une tente illuminée (c’est plus discret) en pleine forêt noire la nuit et apparemment le rendez-vous au planning familial a dû être déprogrammé, puis qu’elle a le ventre rond. Ils entendent un craquement, sans doute un ours, mais ce n’est pas grave, « G » demande à Sam de rentrer et de ranger son pistolet automatique. « G » se réveille, il fait jour, Sam ouvre la fermeture éclair de la tente et lui demande comment elle va : elle a mal aux pieds, aux seins et elle a fait un mauvais rêve. Sam rigole et lui demande d’être sérieuse, il faut qu’ils se remettent en marche (pour où ?). Le plan doit être d’accoucher en pleine nature.

Alors qu’ils sont censés éviter les routes, il tombent sur une voiture et un cadavre d’androïde brûlé attaché à un poteau. Conseil de « G », bouger lentement. On leur ordonne alors par mégaphone de s’arrêter, lever les mains, déposer leur sac à dos. Ils s’exécutent. On leur demande s’ils ont des armes : « G » répond qu’ils ont une machette et un revolver et qu’elle est enceinte de neuf mois. Ils avancent ensuite entre deux grillages et des militaires passent au détecteur de métal, on teste leur sang et on fouille leurs sac à dos. Ils peuvent donc enfin entrer dans le camp de réfugiés, le genre de lieu super-plus facile à repérer par satellite ou en observant les réfugiés converger, ou simplement en captant le bruit des ballons qui rebondissent sur le sol.

Mother/Android, le film de 2021

Mother/Android, le film de 2021

Mother/Android, le film de 2021

Mother/Android, le film de 2021

***

Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

***