Flashback 2021
aka The Education of Fredrick Fitzell
Traduction : Retour en arrière aka l'éducation de Frédéric Fitzell.
Attention, ce film contient des effets stromboscopiques (flashs répétés etc.).
Annoncé à l'international le 4 juin 2021 en VOD US et CA.
Annoncé en blu-ray US le 8 juin 2021.
De Christopher MacBride (également scénariste). Avec Dylan O'Brien, Maika Monroe, Hannah Gross.
Pour adultes et adolescents.
Des cubes dans la pénombre d’une chambre et un bébé qui avance jusqu’à une caisse sombre. Une femme appelle : Freddie !
Freddie est désormais un jeune homme qui regarde par la petite fenêtre dans la porte d’une chambre d’hôpital où une femme repose. Il est rejoint par une femme qui demande s’ils doivent entrer. Puis la femme et le jeune homme se tenant par la main écoute le diagnostique du médecin. Le jeune homme n’y comprend rien. Il demande combien de temps il reste à la patiente : quelques jours tout à au plus.
Au volant de sa voiture, Freddie a des flashs de son enfance : dans la chambre, sa mère le berce. Il passe un entretien, où la cheffe du personnel expliquait que ce sur quoi il travaillera n’a aucune espèce d’importance : ce ne sont que des motifs. Puis elle remarque que Freddie a travaillé sur les Arts Visuels, ce que Freddie rabaisse au rang de passade. Puis à nouveau un flash : il s’en va travailler et son amie en pyjama lui assure qu’ « elle » n’est pas partie, elle est encore là.
Alors qu’il est coincé dans un embouteillage et qu’on klaxonne autour de lui, il s’exclame « on s’en fiche ». Il quitte la file, s’arrête dans une impasse mal famée, et comme il consulte le téléphone qui vient de sonner, une certaine Karen qu’il n’arrive pas, un clochard, le visage abîmé s’approche en bafouillant « Allez, obéis, prison... système, langage » ... et à nouveau des flashs : le visage d’une femme blonde – il l’appelle Cyndi, qui supplie de ne pas l’abandonner ; d’autres visages grimaçant.
Puis il se retrouve au volant de sa voiture arrêtée, avec un policier qui lui fait la leçon, sans qu’il n’entende rien.
Il s’est relevé au milieu de la nuit, gribouille un portrait, qui donne une espèce de visage monstrueux confus. Il cherche son livre de fin d’année avec le portrait photo de Cyndi. Il fouille dans les cartons. Une dédicace insultante d’un certain Bellamy – un trouduc selon Freddie. Mais dans ce livre, la photo de Cyndi est complètement gribouillée. Un flash à nouveau : le couloir du lycée, Bellamy le bouscule et fait mine que c’est Freddie qui l’a bousculé. Cyndi au bout du couloir, il va pour la rejoindre...
De retour au milieu des cartons, au milieu de la nuit, sa femme qui lui demande ce qu’il est en train de faire. Ranger, selon Freddie. Au milieu de la nuit ? s’étonne sa femme. En réunion au travail : l’esprit de l’Art lui répète son ancienne professeure, un devoir qu’il n’a jamais rendu. Et à propos de Cyndi, elle n’a jamais eu son diplôme, elle a simplement disparue. Mais c’était l’époque où cette affreuse drogue circulait parmi les élèves, ils en ont perdu plusieurs, comment s’appelait ce truc affreux déjà ? Freddie répond : Mercure.
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