Moonhaven (2022)
Une saison de 6 épisodes.
Diffusé aux USA à partir du 7 juillet 2022 repoussé du 30 juin 2022 sur AMC+ US (deux premiers épisodes puis un par semaine ?).
De Peter Ocko et Deb Spera (producteurs exécutifs) ; avec Joe Manganiello, Chloe Harris, Hoji Fortuna, Elaine Tan, Dominic Monaghan, Ayelet Zurer.
Pour adultes
(prospective, presse, woke)) La Terre se meurt et son peuple avec. Des colons ont été envoyés sur la Lune avec notre intelligence artificielle la plus puissante… pour sauver les problèmes de la Terre et nous sauver. Après trois générations, ils ont construit une société qui peut survivre au futur (NDR : qu’est-ce qu’ils en savent ? ils ne sont pas allés dans le futur pour le vérifier !). Le temps est venu de les ramener à la maison.
La nuit (sur la Lune) dans une forêt, une jeune femme (noire) court avec une espèce de fleur de lotus lumineuse. Quelqu’un l’appelle et lui dit de revenir. Elle court de plus belle et se fait attraper quand même par un jeune homme (blanc et barbichu) qui lui dit de calmer sa folie et de lui donner ce qu’elle a dans la main (le lotus lumineux qui fait que n’importe quel taré peut la repérer de très loin). Elle lui répond parce qu’elle y croit très fort qu’il ne peut pas avoir (le lotus lumineux), alors que déjà il la tient, elle. Et il lui prend (le lotus) comme quoi, il pouvait l’avoir.
Le jeune homme fait quelques pas avec, la jeune femme le rattrape et le saisit par ses vêtements : selon elle, il fait une erreur, et je crois bien qu’il n’est pas le seul à faire plusieurs grosses erreurs consécutives dans la même scène, aka jeux de c.ns. Mais selon le jeune homme, il est trop tard pour cela — pour faire des erreurs ? Il semblerait qu’il ne soit jamais trop tard dans cette épisode. Mais la jeune femme maintient à voix basse d’un air complice et gourmand : non, il n’est pas trop tard.
Apparemment ils ne doivent pas du tout parler de la même chose, car après un temps d’étonnement, le jeune homme répond qu’il fait cela pour elle, ne peut-elle pas le voir ? — il veut dire, le comprendre, mais apparemment l’anglais n’a pas fait de progrès en trois générations de société prétendue parfaite pour affronter le futur… une première étape indispensable à la résolution de tous les problèmes est d’utiliser des mots qui ont un minimum de sens commun au sein de l’équipe, et avec l’anglais du présent, c’est pas gagné. C’est d’ailleurs pour cela que les vrais scientifiques parlent toujours plusieurs langues histoire d’arrêter de tout confondre à la fois quand ils pensent et quand ils se parlent entre eux. Mais bien sûr, dans cette série, personne ne parle une autre langue que l’anglais, pas comme dans Star Trek Original, ni comme dans Cosmos 1999 etc. etc.
A la réponse du jeune homme, la jeune femme lui dit de simplement laisser tomber — ou de se laisser aller, par exemple donner libre cours à sa violence, céder à ses plus bas instincts, enfin comme dans la publicité (je vais tout) Nikê : « Just do it » (juste fais-là ta c.nnnerie, ton rodéo urbain, ton viol en réunion en streaming planétaire etc.). Le jeune répond, enfin pas vraiment, il continue sa phrase : (il le fait) pour eux tous, pour leur futur. Ce à quoi la jeune femme répond que non. Et de repartir en courant je suppose avec le lotus lumineux pour que le jeune homme puisse la rattraper plus facilement. Et la scène du début se répète : le jeune homme appelle la jeune femme qui court dans la forêt la nuit (sur la Lune) où le clair de Terre se fait attendre.
Le jour dans la même forêt : un petit maigre blanc blond (Paul Sarno) et un gros noir tous deux l’air réjouit marchent sans se presser. Le petit blond déclare que tout change. Le gros noir répond que c’est bien, parce que le petit blond a besoin de se décoincer. Le petit blond répond que peut-être il aime rester coincé. Et si c’était seulement une publicité pour un laxatif fabriqué à partir de la fleur de lotus dont la jeune femme voulait priver sa colonie entière ?
Puis le gros noir demande au petit blond s’il lui a parlé à elle à propos de ses sentiments. Le petit blond répond qu’il a essayé, elle n’en a pas envie — et elle a bien raison, d’ailleurs je vais zapper le dialogue qui sert plus à jouer la montre. Les deux zig tombent alors sur le cadavre ensanglanté de la femme noire de la nuit dernière. Le gros noir demande qui c’est, le petit blond pointe une manette de jeu en bois qui bourdonne et ne peut rien afficher ou imprimer, à moins que la manette ne soit sortie de la même machine que celle du film Minority Report qui ne se contenterait plus de pondre des boules avec le nom de la prochaine victime dessus — et que ces « policiers » se la jouent tellement cool qu’ils s’assurent en n’arrivant que le lendemain du crime que la victime sera bien morte et les tueurs au loin, parce que c’est plus reposant et payé le même tarif. Bref, le petit blond d’annoncer que la victime est Chill Speen — et soyez heureux qu’ils ne se mettent pas encore à se mettre à danser l’alphabet.
En fait ce sont bien les jolies gravures de la manette de jeu qui se modifient pour répondre aux questions des « policiers » : comme le gros noir s’extasie sur le mystère qui ne fait que commencer, et demande qui a tué Chill Speen, la manette de jeu répond en carillonnant et le petit blond n’a plus qu’à lire les deux mots qui ont changé à une extrémité du dessus du manche : Strego Nall. Le blond en déduit que Strego Nall est le tueur, mais peut-être que l’intelligence artificielle voulait plutôt leur indiquer le nom d’un témoin, ou de la victime qui agressée a tué pour se défendre la méchante seconde victime ou bien… Bref, le mystère est résolu selon le gros noir, qui demande où est le tueur (présumé), et le petit blond répond : Strego Nall est dans le Parc Reculé autour du chemin du milieu. Cette série promet d’être si trépidante j’en arrête là le résumé.
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