Lockwood & Co (2023)

Traduction du titre : Boisclos et compagnie.
Une saison de 8 épisodes.

Diffusé (les 8 épisodes de la saison 1) à partir du 27 janvier 2023 sur NETFLIX INT/FR.

De Joe Cornish, d'après la série de romans pour la jeunesse de 2013 de Jonathan Stroud ; avec Ruby Stokes, Cameron Chapman, Ali Hadji-Heshmati, Ivanno Jeremiah, Luke Treadaway, Morven Christie, Jemma Moore, Jack Bandeira, Ben Crompton.

Pour adultes et adolescents ?

(Fantasy urbaine woke) Un lampadaire à néons verts s’allume sur la place d’une église alors que la nuit tombe. Une voiture s’arrête : un garçon et une fille en descendent de chaque côté et les deux remercient leur chauffeur. Le garçon déclare : « Entendu, je vais te tester sur les plans dans un ordre aléatoire : on ne sait jamais duquel nous aurons besoin ni quand. Il est vitale que nous puissons communiquer rapidement, clairement et en aussi peu de mots que possible. » Sarcastique, la fille lui répond : « ça commence bien : il t’a fallu 30 mots pour expliquer ce que tu étais sur le point de faire.

Ils sont tous les deux armés d’épées et d’espèces de tubes gravés argentés. Le garçon répond à Lucy de ne pas être « facétieuse » car ils n’ont vraiment pas le temps — or ce qu’elle vient de dire ne s’appelle pas une facétie... « Maintenant, quel est le plan C ? » demande le garçon. Et la fille de lui répondre que le Plan C signifie que quiconque n’est pas engagé dans un combat fait un cercle défensif… »

Et la fille continue d’expliquer les différents plans dans le désordre : son nom de famille serait-il ChatGPT (AQBC ) ? L’ordre des plans n’est pas aléatoire comme annoncé au début du « test », c’est la fille qui choisit l’ordre de ses réponses.

Tandis que le garçon et la fille marchent côté presque collés l’un à l’autre — Lucy a oublié le plan qui consiste à rester le plus groupé afin que l’ennemi puisse vous abattre ou transpercer d’une seule attaque. Le garçon complimente la fille : 10 sur 10. Et la fille de souligner qu’il n’y avait que six plans. Le garçon répond qu’il devra penser à quatre autres plans, la fille enchaîne sur une troisième humiliation : elle pensait qu’ils n’avaient pas le temps pour des facéties. 

Le garçon fait mine de regarder sa montre et déclare en parfaite lavette qu’en fait ils ont un peu d’avance sur le planning, donc ils auront le temps pour quelques facéties. Et alors il sort une tarte à la crème et entartre la fille : et voilà, c’est ça une facétie — et tout le monde aurait alors ri. Et cela aurait été une authentique facétie.

Si seulement…

Au lieu de cela ils s’arrêtent sous les colonnades d’un porche, et bien sûr, toujours pour remplir et pour humilier, la wokette demande à la lavette s’il est certain qu’ils sont à la bonne adresse.

Annonçant qu’ils sont piles à l’heure — six heures moins quart — le garçon frappe à la porte tandis qu’une ombre traverse sinistrement le hall d’entrée de l’autre côté de la porte vitrée, et annonce qu’elle (Mme Lespoir ?) arrive. Une femme arrive effectivement, mais dans leur dos, et leur demande s’ils sont de l’Agence.

Encore mieux, le garçon s’exclame Mme Espoir — comme ça la femme inconnue qui ne leur a pas ouvert la porte sait comment elle doit faire semblant de s’appeler… Et il se présente : « Je suis Antoine Boisbarré, et voici ma collègue, Luce Carglasse. Nous venons pour votre problème, est-ce que vous pouvez nous montrer l’intérieur ? »

La femme répond que non, elle ne met jamais les pieds dedans, pas depuis que son mari est mort, pas depuis comment il est mort : « Les perturbations ont été très persistantes, mais il faut d’abord les solutionner… » Et Anthony de répondre : « C’est exactement notre métier. » Et Lucy de préciser : « Localiser le visiteur, circonvenir la source, un espace sûr fait un client satisfait. »

La cliente s’absence de l’absence d’un supervisateur adulte, Anthony répond que la loi stipule qu’un supervisateur adulte n’est nécessaire que s’il s’agit d’un entraînement, ce qui n’est pas le cas ici, ils n’en voient donc pas la nécessité.

En bonne wokette prétentieuse et âgéiste, Lucy croit opportun d’ajouter : « Honnêtement, les adultes ça sert à rien… » et comme elle semble seulement réaliser que sa cliente qui n’est plus toute jeune, elle ajoute encore, démontrant et son hypocrisie et sa stupidité autant que son manque de tact — « à cause de leur manque de sensibilité, ils ne font qu’embarrasser. »

Quoi qu’il en soit, la vieille tend le formulaire qu’ils lui auraient demander de rentrer, déclare que l’heure du couvre-feu approche et qu’il faut donc qu’elle parte. Elle tourne les talons, mais s’arrête après trois pas pour se retourner, et sans changer de ton (et au son le volume de la voix n’a pas non plus changé) alors qu’elle est désormais à dix mètres d’eux — elle déclare : « Quand j’avais votre âge… »

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cette série télévisée.

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