Kindred (2022)
Traduction en français : Du même sang (= apparentés)
Notez bien que cette série ne respecte pas le récit original : lisez d'abord le roman d'Octava Butler si vous ne voulez pas le voir gâcher.
Une saison de 8 épisodes.
Diffusé à partir du 13 décembre 2022 sur HULU US (= DISNEY)
De Branden Jacobs-Jenkins, d'après le roman de 1979 d'Octavia Butler (en français Liens de sang), avec Mallori Johnson, Micah Stock, Ryan Kwanten, Gayle Rankin, Austin Smith, David Alexander Kaplan.
Pour adultes.
(drame temporel woke raciste toxique) La nuit, une femme (noire) appelle plusieurs fois un certain Kevin alors que le ventilateur au plafond brasse l’air avec énergie. Elle étouffe un sanglot puis hurle cette fois « Kevin ». Et finit par se relever avec précaution. Elle est en sous-vêtements, elle va à l’horloge murale, il serait cinq heures quarante du matin. Elle semble s’emparer de l’horloge, puis prendre une douche, nous supposons avec l’horloge murale. Se préoccuperait-elle d’économiser l’eau ? Apparemment non puisqu’elle laisse couler l’eau de la douche, semblant vouloir inspecter son dos dans le miroir de la salle de bain. C’est alors qu’elle sort son téléphone portable à écran tactile… d’où exactement, et s’apprêtait-elle à se doucher avec ? Toujours est-il qu’elle découvre que la batterie est pratiquement épuisée… sans doute va-t-elle tenter de le recharger à la prise à cette effet sous la douche ?
Elle ramasse un câble transparent à terre qui ne ressemble pas à un chargeur, puis un sac d’oranges (les fruits, pas le fournisseur d'accès français), et pendant ce temps l’eau continue de couler. Elle ouvre le frigo où elle a ranger un pistolet automatique, remplit un baluchon de médicaments. Puis elle s’en va faire trempette en tee-shirt mouillé dans la baignore agrippant le baluchon. L’horloge murale est effectivement posée au coin de la baignoire, et son téléphone portable qu’elle tient à la main (son autre main ?) est déjà rechergé à 67%. Il s’est écoulé maximum 20 secondes entre la charge zéro et la charge 67%. Le téléphone lui demande apparemment un code, elle le compose plus vive que l’éclair. Il y a quatre barres de réseau sur cinq, et le téléphone affiche qu’il est handicapé mentalement et qu’il faudra qu’elle réessaye plus tard. Je sens que c’est également mon cas à force de regarder des séries woke débiles. N’écoutant que son esprit brillant, la femme jette violemment son téléphone handicapé mental contre le sol.
Maintenant elle est sur un ordinateur portable à consulter je suppose une messagerie. Une voiture de police vient de se garer devant sa porte avec les gyrophares et peut-être vient-elle de réaliser que consommer elle-même le crack qu’elle devait vendre n’était pas une si bonne idée si son fournisseur lui-même en vient à appeler les flics pour récupérer sa mise. Il faut croire que toutes les valeurs se perdent dans ce pays…
La femme, qui s’est complètement changée entre chaque prise va à la fenêtre pour nous présenter son logo Apple bien brillant dans l’obscurité en plein la face ; essaie-t-elle de nous rappeler à quelle point les séries de ce streamer sont nulles et qu’Apple Moins n’arrête plus de voler les titres de bonnes séries d’il y a moins de dix ans pour les copier coller sur ses daubes écrites apparemment par des Intelligence Artificielles vraiment pas douées, comme chez Disney Marvel Pixar ?
Sans même essayer la sonnette, le policier tambourine à la porte, puis appelle « Mademoiselle » tandis qu’une voisine asiatique guette sans craindre d’être abattue dans la fusillade qui pourrait ne pas manquer de suivre. La femme à la pomme lumineuse elle, profite du plan de moins d’une seconde pour se téléporter dans le hall d’entrée, un étage plus bas, et répondre à l’appel « Mademoiselle ».
Le policier (blanc) fort poliment explique qu’ils ont reçu un coup de téléphone de la part des voisins de la psychopathe et que ça leur a fait mal : il demande donc à ce qu’elle leur ouvre sa porte et les invite à entrer parce qu’ils ont aussi une petite faim. La femme à la pomme répond que non, merci, ça va bien pour elle. Le policier insiste : elle n’est pas obligée de les laisser entrer, elle n’a qu’à venir à la porte et leur parler, ils sont armés. Elle répond que non et va poster un message sur son ordinateur toujours porté à bout de bras.
De manière très rassurante, le policier se met à hurler et cogner toujours plus fort à la porte, parce qu’il est blanc, je suppose. Ou alors c’est parce qu’elle a consommé tout le crack qu’elle devait lui livrer. Le dernier coup fracasse le titre de la série à l’écran. 
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cette série télévisée.
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