The Twilight Zone S01E13: The Four Of Us Are Dying (1960)
Traduction du titre original: Nous sommes quatre à mourir.
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Ici l'article de ce blog sur la série La quatrième dimension (1959)
Diffusé aux USA le 1er janvier 1960 sur CBS US.
Diffusé en France le 23 juillet 1988 sur TF1 FR.
Sortie en blu-ray américain de la saison 1 le 14 septembre 2010 (région A seulement).
Sorti en blu-ray français de la saison 1 le 25 octobre 2011 (région B seulement, plus compressé que l'américain, bonus manquants).
De Rod Sterling (également scénariste), d'après la nouvelle de George Clayton Johnson ; réalisé par John Brahm ; avec Harry Townes, Phillip Pine, Ross Martin, Don Gordon, Harry Jackson, Bernard Fein, Peter Brocco, Milton Frome, Beverly Garland.
Pour adultes et adolescents.
La ville de nuit, le quartier des boites de nuit. Arch Hammer descend à l’hôtel Real (« réel »). Hammer a 36 ans, il a été vendeur à domicile, livreur, un conducteur de camion, un escroc, un bookmaker, et un barman à mi-temps. C’est un homme minable, le genre à dépendre d’une différence de prix de 5 ou 10 centimes. Et son manque de valeur dépasse le faible prix de son costume et de sa chemise – son esprit est minable, ses goûts sont minable, sa conscience se limite à une sordide lueur jamais touchée par la lumière tant sa vision est obtuse.
Mais M. Hammer a un talent qu’il s’est découvert très jeune. Il a au moins cela : il peut faire changer son visage. Il peut distorde un muscle, déplacer une mâchoire, se concentrer sur son regard – et il peut changer son visage, il peut lui donner tous les traits qu’il veut. M. Archie Hammer, touche-à-tout, vient juste de signer le registre d’un hôtel à 3$80 la nuit, avec deux valises, quelques coupures de presse avec la photo de gens assassinés par des gangs ou accidentés, le talent le plus bizarre, et une combine pour détruire quelques vies.
Hammer s’étant rasé et rhabillé, il pioche sur le lit la coupure de presse sur un certain John Foster, musicien, tué en traversant une voie ferrée. Souriant, il sort de sa chambre, et va déambuler dans le quartier et entre dans un club de Jazz enfumé où Maggie, une chanteuse mélancolique chante l’alcool avec beaucoup de conviction. Comme un client attrape Maggie par la taille à la sortie de son tour de chant, celle-ci refuse le verre en sa compagnie, préférant en prendre un toute seule à une table plus loin. À peine assise, elle reste stupéfaite alors que John Foster vient s’asseoir à sa table…
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