Thunderbirds Are Go S02E09: Impact (2016)
Ici l'article de ce blog sur la série Thunderbirds Are Go (2015)
Diffusé en Angleterre sur ITV UK le 10 décembre 2016.
De Rob Hoegee ; d'après la série télévisée de Gerry et Sylvia Anderson ; avec Rosamund Pike,Thomas Brodie-Sangster, David Menkin, Rasmus Hardiker, David Graham, Sandra Dickinson, Kayvan Novak, Andres Williams, Angel Coulby ; effets spéciaux, images de synthèses et maquette de Weta Workshop.
Pour tout public.
Tout semble calme à bord de la station orbitale Thunderbird 5. L’œil de la caméra d’EOS avance sur un rail au plafond tout le long de la coursive, jusqu’à arriver à l’entrée d’une salle sphérique où John Tracy et la capitaine O’Bannon dispute une partie de football en apesanteur. Et c’est O’Bannon qui marque le but. John plaisante en prétendant que c’était de la chance, et O’Bannon sur le même ton répond que ce n’était pas de la chance mais de la compétence. Mais elle ajoute qu’elle a eu un bon professeur, et John est flatté.
EOS intervient : l’intelligence artificielle a détecté une anomalie dans l’Espace – et si John a terminé de s’entraîner avec la capitaine O’Bannon, il faudrait qu’il s’en occupe. O’Bannon déclare qu’en ce cas, elle va les laisser seuls (en amoureux) et prend rendez-vous avec John pour la même heure, la semaine suivante. Comme John répond que cette fois il ne sera pas aussi gentil avec elle, O’Bannon réplique que c’est celui qui a perdu quatre matchs sur cinq qui est en train de parler.
La navette d’O’Bannon se découple de la station orbitale Thunderbird 5. John regarde partir l’astronef, puis se retourne vers un pupitre, demandant à EOS de lui montrer l’anomalie. C’est une comète de 40 millions de tonnes que John a étudié à l’université, censé passer à côté de la Terre. EOS répond que la comète a changé de trajectoire et a désormais 100% de chance de heurter la Terre.
John s’étonne et fait pivoter l’hologramme de la comète – et sur l’image, un engin est amarré sur l’un des côtés du roc. John appelle alors ses frères pour les alerter de l’urgence – et leur montre l’image de l’engin, marqué d’un logo que Scott, le pilote du Thunderbird 1, reconnait immédiatement : celui de Langstrom Fishler, un imbuvable entrepreneur qui à chaque projet prend par négligence des risques insensés.
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