Idle Hands (1999)
Traduction du titre original : les mains oisives.
Titre français : La main qui tue.
Sorti aux USA le 30 avril 1999.
Sorti en France le 28 juillet 1999.
Sorti en blu-ray américain le 3 septembre 2013.
Sorti en blu-ray américain (collector) le 12 mai 2020.
Sorti en blu-ray français le 20 octobre 2021.
Sorti en blu-ray allemand le 22 octobre 2021.
Sorti en blu-ray allemand le 4 mars 2022.
De Rodman Flender, sur un scénario de Terri Hughes et Ron Milbauer. Avec Devon Sawa, Seth Green, Elden Henson, Jessica Alba et Vivica A. Fox.
Pour adultes et adolescents.
(comédie horrifique) Des mains oisives sont le terrain de jeu du Diable. La nuit, un pavillon décoré pour Halloween de guirlandes électriques et de citrouilles. A l’étage, sous les combles, une mère de famille demande à son mari qui vient de tirer la chasse s’il a pensé à éteindre les bougies du rez-de-chaussée. Ils se couchent, Madame éteint les lumières de la chambre et apparait au plafond une inscription fluorescente : Avez-vous pensé à regarder sous le lit ? Madame pousse un grand cri, ils rallument, le mari ne se démonte pas et sort une lampe de poche, regarde, rien sous le lit.
Madame se demande si c’est une farce d’Anton, leur fils, ce à quoi le mari répond que Anton est incapable de la moindre initiative. Ils entendent alors du verre cassé au rez-de-chaussée, possiblement un chat. Le mari descend. Restée seule, la dame sort un tricot et sursaute quand le chat de la maison miaule agressivement. Puis elle entend son mari crier et chuter au rez-de-chaussée. Alors au lieu d’appeler la police, elle sort avec le chat et… euh, va ouvrir la trappe du grenier, rien, puis elle descend et trouve les bougies allumées dans les citrouilles qui remplacent les têtes d’un couple parodiant le tableau de l’Amérique gothique.
Furieuse, elle souffle les bougies et crie après son mari : leur maison aurait pu bruler toute entière. Puis elle dérape sur une flaque de sang. Elle remonte alors à l’étage dans sa chambre, veut téléphoner à la police, mais le téléphone lui échappe, car quelque chose tire sur le fil. Comme elle veut le ramasser, elle est saisie par le bras et entrainée sous le lit, elle disparait avec un hurlement interrompu par une gerbe de sang. Il était pourtant bien écrit au plafond qu’ « il » était sous le lit.
Le lendemain matin, Anton, leur fils, se réveille comme si de rien n’était dans sa chambre sous les combles, les écouteurs de son walkman sur les oreilles, la musique à fond. Il ne remarque pas la traînée de sang sur le parquet comme il veut se préparer un petit-déjeuner au rez-de-chaussée dans la cuisine, crie à sa mère qu’ils sont à court de lait. Le chien gémit en retournant sa gamelle et Anton crie à sa… Comme sa mère ne répond pas, il ne s’inquiète pas davantage, ne prête aucune attention aux informations télévisées tandis qu’il profite de l’absence de sa mère pour fumer une pipe de beuh : ils sont à un jour d’Halloween et la police a encore découvert six cadavres. Anton zappe alors les infos pour les dessins animés, avant de découvrir qu’il est à court de beuh. Il appelle son pote Pnub pour qu’il vienne lui en apporter, et l’autre lui rétorque qu’il n’a qu’à se lever le cul et venir chercher sa beuh. Anton traverse la rue en caleçon, se faufile par le fenêtre de la cave et rejoint ses deux potes, Pnub et Mick, qui en fait sont à court de beuh. Puis Anton apprend qu’il y a un tueur en série dans le voisinage : le postier, la barmaid ont déjà été assassinés.
Anton tombe des nues, mais un bruit de moto le fait se lever et admirer une jolie brune à moto qui passe dans la rue. Et ses potes de lui demander quand il avouera à la fille son obsession pour elle et l’invitera au bal. Quel bal ? demande Anton. Le Bal d’Halloween bien entendu. Comme Anton veut aller faire sa proposition sur le champ, on lui suggère d’emprunter un pantalon. Anton repartit par la fenêtre, les autres sortent la beuh qu’ils avaient planqué et se remettent à fumer. De son côté, Anton sonne à la porte de la jolie brune, lui rend des livres qui étaient à elle, et quand elle veut le remercier, il s’enfuit à toutes jambes. Au même moment, au commissariat, une bonne sœur veut voir un prisonnier vieux et barbu, mais elle semble très déçue quand elle découvre les mains déformées du vieux : « elle » est partie. La bonne sœur sort du commissariat, se débarrasse de sa tenue, va chez elle marquer sur une carte les points des récents assassinats et en reliant les points, découvre un pentagramme et lâche un juron. Elle saute alors dans son van, se précipitant vers une destination inconnue.
***