Hugo 3D (2011)
Autres titres : Hugo Cabret, L'invention d'Hugo Cabret, The Invention Of Hugo Cabret.
Sorti aux USA le 23 novembre 2011.
Sorti en Angleterre le 2 décembre 2011.
Sorti en France le 14 décembre 2011.
Sorti en blu-ray 3D aux USA le 28 février 2012.
Sorti en blu-ray 3D en France le 14 avril 2012 (région B, sous-titres français forcés).
De Martin Scorsese, sur un scénario de John Logan, d'après le roman de Brian Selznick. Avec Asa Butterfield, Chloë Grace Moretz, Christopher Lee, Ben Kingsley.
Pour adultes et adolescents.
(Mystère fantastique) Paris. Un jeune garçon vit caché dans les corridors techniques des horloges de la gare Saint-Lazare. Ainsi il peut observer d’horloge en horloge le va et vient des voyageurs, les rondes de l’inspecteur de la sûreté des voyageurs, et surtout surveiller la boutique de confiseries et jouets où il vole régulièrement des marchandises afin de s’approvisionner en rouages et autres pièces mécaniques délicates. Mais ce jour-là, il tombe dans le piège du propriétaire : le vieil homme, qui faisait semblant de dormir, lui attrape la main, et menaçant d’appeler l’inspecteur, obtient que le garçons vide toutes ses poches. Il découvre alors un carnet décrivant un automate, qui le trouble énormément. L’enfant prétend ne pas avoir volé le carnet, ni dessiné les plans qui s’y trouvent, et il refuse de répondre aux questions du vieil homme. Comme ce dernier s’énerve, ses cris attirent enfin l’attention de l’inspecteur, qui lâche son chien, et le garçon doit fuir à toutes jambes, seman le désordre parmi les clients de la gare. En voulant rattraper le jeune voleur autant que son animal, l’inspecteur, qui a une jambe mécanique, bouscule beaucoup de gens et tombe, et perd le fugitif, qui s’est réfugié sur les praticables au-dessus de sa tête. Le garçon, Hugo Cabret, regagne son refuge sous les toits, qu’il a aménagé en atelier.
Lorsque le marchand de jouets ferme sa boutique à la nuit tombée, Hugo est de retour pour réclamer son carnet de notes. Le vieil homme le menace de le dénoncer à la police, qui l’enverra à l’orphelinat ; il refuse de rendre le carnet, qu’il prétend brûler. Hugo suit le vieil homme à travers les rues enneigées de Paris, jusqu’à un passage gardée par une procession de moines en pierre qui mène à son immeuble. Le vieil homme referme la porte derrière lui, mais restant en bas, Hugo apperçoit par les fenêtres illuminées la jeune fille qui était venue plus tôt dans la journée à la boutique de jouet, ainsi que le vieil homme et sa femme. Il lance de la neige contre la vitre de la jeune fille et celle-ci descend : Hugo accuse le grand-père de la jeune fille d’avoir volé son carnet, ce à quoi la jeune fille répond que c’est Hugo le voleur, et elle le somme de révéler son secret, et comme le garçon ne veut pas, elle finit par lui garantir que son grand-père ne brpulera pas le carnet, et Hugo consent enfin à s’en aller.
Hugo retourne à son atelier secret, où, sous un drap, il y a précisément l’automate qui était dessiné dans le carnet : son père l’avait retrouvé dans les caves d’un musée, et émerveillé par la complexité de la mécanique et l’idée que l’automate pouvait écrire, son père l’a récupéré. L’automate vient de Londres, comme la mère d’Hugo, et devait servir à un magicien. Hugo avait alors demandé à son père s’il pouvait le réparer, et son père, tout en précisant que ce serait long et difficile, lui avait assuré que oui, car ils étaient tous les deux horlogers qualifiés. En essayant de réparer la mécanique, ils découvrirent une serrure en forme de cœur, mais ils n’en avaient pas la clé. Et un soir, alors que le père d’Hugo était resté tard à travailler dans le musée, il entendit d’étranges bruits, et alla ouvrir la porte derrière laquelle ils provenaient : c’était une boule de feu. Après quoi, l’oncle Claude de Hugo entra brutalement chez son père, lui ordonnant de ramasser ses affaires rapidement, volant ce qu’il pouvait, et ramena Hugo comme son apprenti pour réparer et régler les horloges de la Gare. De fait, l’oncle Claude le fit faire son travail à sa place, le privant d’école et le menaçant de l’envoyer à l’orphelinat.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.
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