Aliens abducted My Parents, le film de 2024Feu rouge cinémaRécit toxique à ne regarder qu'avec prudence et esprit critique

Aliens Abducted My Parents... (2023)
Titre complet : Aliens Abducted My Parents and Now I Feel Kinda Left Out.
Traduction : Des extraterrestres ont enlevé mes parents et maintenant je me sens abandonné.

Sorti aux USA le 18 août 2023.
Sorti aux USA en VOD le 2 janvier 2024.

De Jake Van Wagoner (également producteur), sur un scénario de Austin Osanai Everett (également producteur), avec Emma Tremblay, Jacob Buster, Will Forte, Elizabeth Mitchell et Matt Biedel.

Pour adultes et adolescents.

(fausse science-fiction, (pseudo) romance (authentiquement) woke raciste toxique) : Une comète dépasse la Lune, un satellite… La nuit, sur le toit d’une maison, un père initie son gamin binoclard à l’astronomie. Il lui demande : « Quelque chose ? » et le gamin répond, déçu : « Non… ». Le père déclare : « Hum… Je ne vois pas pourquoi ça ne fonctionne pas encore ; okay, lis-moi ça… »

Le gamin sort une lampe torche de son anorak et la braque sur un mode d’emploi : « … Est-ce qu’on a calibré la lentille arrière ? » Son père répond en vérifiant sur le télescope à trépieds : « Oui ! »

« L’apparel photo 35 minimètres est bien fixée ? — Définitivement ! — Le protège objectif est ôté ? — Oui, bien sûr qu’on a ôté le protège-objectif ! Que crois-tu que nous sommes ? Mais je crois savoir ce qui ne va pas : peut-être qui’il nous faut seulement un petit peu de friction du coude de Kipler. »

Le gamin en doute : « Qu’est-ce qu’une friction de coude de Kipler ? » Et le père de répondre : « Observe donc, fils : mon père m’a appris cela et mauntenant c’est à moi de te l’apprendre ; alors tu prends ton coude, et tu le frottes sur le problème, tu vois ? »

Et le père de frotter circulairement son coude sur le dessus de l’avant du télescope. « Tu fais attention à mon coude ? Tu y fais attention ? — Ouaip ! — Tout le pouvoir est dans le coude ; puis tu claque des doigts, et ça devrait le faire. Regarde à nouveau… »

La lune gibbeuse apparaît dans l’objectif. « … ça marche ! » s’exclame le gamin. « C’est la friction du coude de Kipler. — … Mais aucun signe de la comète cependant. »
Le père fait quelques pas : « Un peu de patience, d’accord ? La comète de Jesper a voyagé près de dix ans pour arriver ici. Elle arrivera. » Puis il ajoute : « Hé, écoute, petit : il y a en fait quelque chose dont je voulais te parler ; voilà, ta mère et moi… »

Mais l’attention du gamin est attiré par la lumière des phares d’une voiture arrivant en contrebas devant la maison et il s’étonne : « C’est la voiture de qui, celle-là ? » Et son père répond : « Oh, attends-moi ici, je reviens de suite, d’accord ? »

Le gamin proteste : « Mais la comète !!! » Le père répond : « Trente seconde, lance le compte-à-rebours ! » Le gamin fait une grimace, mais obtempère : « Trente, vingt-neuf, vingt-huit, vingt-sept … »
Une rumeur descend du ciel et à la droite de la lune, un trait lumineux avance pour passer sous le croissant. Le gamin s’écrie : « Papa, elle est là ! » Et il tente de prendre une photo, mais un bruit de métal venant d’en bas l’alarme et il abandonne le télescope : « Papa ! »

Le gamin passe par la fenêtre de sa chambre en désordre, hésite. Les lumières vacillent, puis s’éteignent. Le gamin se dépêche de sortir sa lampe-torche et de l’allumer. Alors il entend crier son père depuis le rez-de chaussée : « Calvin !!! »

Le gamin sort de la chambre, descend l’escalier et arrivée au rez-de-chaussée appelle : « Maman ? »
C’est alors qu’une grande clarté illumine la pièce depuis le dehors de la maison, et son père appelle à nouveau : « Calvin ! »

Le gamin sort dans la nuit, braque sa lampe torche autour de lui, et comme il tourne le dos au champ, une grande lumière apparaît de nouveau dans le champ. Comme il se retourne, un vent fort se met à souffler, soulevant la poussière autour de lui, tandis qu’il lève les yeux au fur et à mesure que quelque chose semble décoller du sol ; et de crier encore une fois : « Papa ! »

De jour, une famille (à la peau blanche) roule sur la route tandis que la mère, le père et leur garçon connaissent par cœur les paroles d’une chanson rap qu’ils débitent. La fille, sous son propre casque, ne semble pas sensible à l’énergie du rappeur.

Profitant d’une pause dans la chanson et que la famille répète « okay » le titre de la chanson répété sans arrêt dans les paroles, la fille déclare : « Okay, j’ai besoin d’une pause lavabo. » Mais les autres continuent de répéter « Okay », alors la fille insiste : « Est-ce qu’on peut s’arrêter ? J’ai besoin des toilettes. — Okay… Okay… »

En désespoir de cause, elle hurle : « Faut que je pisse !!! » et enfin tout le monde se tait et elle répète plus calmement « Pause lavabo. »

Sa mère proteste : « Encore ? On s’est déjà arrêté il y a moins de trente minutes ! — Okay ben j’ai besoin d’y retourner. » Alors son petit frère se tourne vers elle en souriant : « Peut-être que t’as une infection urinaire ? Tu sais, ça te fait uriner deux ou trois fois plus que d’habitude… » Sa grande sœur lui répond : « Evan, je n’ai pas d’infection urinaire… »

Son père au volant propose : « On est seulement à vingt minutes de notre nouvelle maison, tu peux attendre ? — Non, je ne le peux pas. » Et Evan d’insister : « … ça ressemble vraiment à une infection urinaire. » Sa sœur fait alors mine de lui arracher les yeux, alors il consulte sa carte routière : « On dirait qu’il y a une supérettte dans trois kilomètres ; peut-être qu’on pourrait tous s’y offrir un truc à grignoter pendant que Itsy fait sa vidange. »

La grande sœur s’empare de la carte papier et s’indigne : « Comment tu peux savoir comment on se sert de ce truc ? Et cette carte est sûrement dépassée de toute façon… »
A l’avant, sa mère s’exclame : « Je la vois !!! Bravo mon petit ! »

Sarcastique, le petit frère répond à sa sœur : « … ça s’appelle savoir s’orienter, soeurette ; ça vaudra p’têt’ la peine de te renseigner là-dessus, maintenant que la grande ville, c’est fini pour toi, à jamais… »

La grande sœur répond à voix basse : « La ferme ! » et fait cette fois mine d’étrangler son petit frère et qu’à l’avant leurs parents sourient, complices. Pour reprendre les paroles de leur rap : « Okay… okay ! » et que la grande sœur s’écrie : « Y’a pas d’autres chansons !?! »

Aliens abducted My Parents, le film de 2024

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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