The Princesse (2022)
Traduction du titre : La princesse.
Attention : ce film s'ouvre, se poursuit et se termine sur une série d'exécutions de mâles blancs "toxiques" par l'héroïne petite et rousse dans des combats complètement irréalistes, avec un scénario filiforme inepte anachronique et relevant de la logique d'un jeu vidéo type "tuez-les-tous". Présenté comme un film "féministe" et "divers", il s'agit d'abord d'un film enchaînant des mises à morts simulées : pour vous assurer de la toxicité du spectacle vous n'avez qu'à inverser en imagination les sexes de l'exécutante et des exécutés à l'écran.
Diffusé aux USA à partir du 1er juillet 2022 sur HULU US.
De Le-Van Kiet, sur un scénario de Ben Lustig et Jake Thornton ; avec Joey King, Dominic Cooper, Olga Kurylenko, Veronica Ngo.
Pour adultes.
(presse, fantasy woke révisionniste toxique, film snuff simulé) Une princesse se réveille menottée en robe de mariée en robe de mariée sans voile, sans corset, sans chaperon. En effet, elle a refusé d’épouser un certain Julius « diplomate » qui voulait hériter du royaume alors que le roi n’avait pas d’héritier mâle pour recevoir sa couronne. Elle frappe à la porte et les deux gardes lui ouvrent, puis elle les attaque, ils attendent sagement qu’elle en trucide un et en défenestre un autre via une porte-fenêtre donnant sur le vide laissée curieusement ouverte. Elle se cache ensuite dans l’eau d’une baignoire pleine car dans ce château on se baigne à l’eau froide et on laisse l’eau du bain, avec vue sur l’urinoir car il s’agit bien sûr d’une salle de bain médiévale moderne à la manière des salles de bain modulaires des hôtels du 21ème siècle. Elle trucide alors un curieux guerrier de héroic-fantasy (en gros Conan le Barbare) avec les fémorales et jugulaires exposées à tout venant, qui a cependant un pouvoir extraordinaire : il sait pisser droit à travers son slip de cuir et son pagne rabattu dessus.
Étage après étage, la princesse massacre à elle seule des centaines de soldats aguerris qui n’arrivent jamais à porter un coup ou la saisir par ses longs cheveux ou longues manches, avec les conséquences logiques et réalistes que cela implique — et presque toutes ces brutes mâles blancs toxiques sont incapables d’attaquer quand ils ont une chance sans faire une pause pour un discours sur à quel point ils vont faire quelque chose plus tard.
Cette princesse a cependant le temps de se reposer systématiquement entre deux combats pour un dialogue d’exposition dans un flash-back, et se répéter et s’entendre répéter les bons conseils de ses maîtres orientaux : bats-toi pour une cause juste avec ton cœur. La plus vague connaissance de l’histoire de l’humanité et la simple constatation d’où en est le royaume de son père à ce point de ce lamentable jeu vidéo woke linéaire devrait vous faire réaliser à quel point ces bons conseils vous seront utiles dans un véritable combat.
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