Island At The Top Of The World (1961)
Titre original : The Lost Ones (Les perdus)
Titre français : L'île sur le toit du monde 1: Le Cimetière des cachalots.
Noter que ce roman a une suite du même auteur : The Mountains at the Bottom of the World / Devil Country, 1972, traduit en français sous le titre L'île sur le toit du monde 1: L'étrange bête de la Terre de feu.
Sorti en 1961 chez HUTCHINSON UK.
Traduit en français en 1966 sous le titre Le Cimetière des cachalots par Monique Alika WATTEAU chez ROBERT LAFFONT FR.
Réédité en septembre 1975 sous le titre L'île sur le toit du monde 1: Le Cimetière des cachalots chez ROBERT LAFFONT FR.
Réédité en janvier 1980, à nouveau sous le titre Le Cimetière des cachalots chez GALLIMARD JEUNESSE FR (Folio Junior).
Adapté en film en 1974.
De Ian Cameron.
Pour adultes et adolescents.
(aventure, monde perdu) Le Capitaine McIver Ross avait reçu la lettre de son fils unique, Donald, qui lui annonçait une découverte fabuleuse, à laquelle le jeune homme avait joint une carte cryptique faisant référence au cimetière perdu des Baleines. Quelques jours plus tard, McIver était informé par un employé que son fils avait loué un hélicoptère, s'envolant pour sa mort. Mais McIver est persuadé que son fils vit encore et monte une expédition en direction du cercle arctique, accompagné de son ami le professeur Somerville, qui espère trouver en chemin des preuves de légendes eskimo selon lesquels des descendants des vikings vivraient encore sur les plateaux congelés du nord. Enfin, Keith Rogers, un pêcheur, marin et aventurier, qui se trouvait être le meilleur ami de Donald, prend la tête de l'expédition pour le retrouver.
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Le texte de Ian Cameron de 1961
THE LOST ONES
1.
"Missing, Believed Killed"
I first met the captain and his friend Professor Somervillle aboard the S.S. Dunvegan, an ancient cargo-cum-passenger liner running between Quebec and Baffin Island. It came about like this.
I had just spent a most frustrating spring hunting walrus along the shore of the Hudson Bay. Everything went wrong that trip; the mosquitoes were thick as a plague of locusts, the walrus were late in reaching there breeding grounds, and to cap it all the launch I had hired foundered off Richmond Gulf and I lost the best part of all my ivory. Feeling that this was the last straw, I decided to cut my losses, trek across to the Labrador coast, and pick up the Dunvegan as she headed north on her annual run to the whaling station at Pangnirtung - once there, there'd be plenty of jobs I could take my pick of.[/quote]
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Traduction au plus proche.
LES DISPARUS
1.
"Manquant, présumé tué."
Je rencontrai le capitaine et son ami le professeur Somerville à bord du S.S. Dunvegan, un vieux cargo avec passagers faisant la ligne Quebec / Baffin Island. Cela arriva à peu près comme cela.
Je venais de passer un printemps des plus frustrants à chasser le phoque le long des côtes de la Baie d'Hudson. Tout avait mal tourné dans ce voyage; les moustiques étaient aussi épais qu'une invasion de sauterelles, les phoques étaient en retard pour arriver sur leur territoire de reproduction, et pour couronner le tout, le voilier que j'avais loué chavira dans le Golfe de Richmond et je perdis le plus gros de tout mon ivoire. Sentant que c'était la paille de trop (sur le dos du chameau), je décidai d'arrêter là mes frais, randonner à travers la côte du Labrador, et d'attraper le Dunvegan comme il prenait la direction du nord pour sa course annuelle jusqu'à la station des baleiniers à Pangnirtung - une fois là-bas, il y aurait quantité d'emplois parmi lesquels je pourrais faire mon choix.
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La traduction de Monique Alika WATTEAU de 1966 pour LAFFONT FR et GALLIMARD FR.
LE CIMETIÈRE DES CACHALOTS
... à venir.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce roman.
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