The Beast WIthin (2024)
Ne pas confondre avec The Beast Within les films de 1982, 2013, 2018; 2020, 2021.
Wokissime toxique, vraisemblablement écrit par Chat-GPT au vu des messages contradictoires, des références fausses ou manquantes à la réalité ainsi qu'aux récits du genre auquel ce film est censé appartenir.
Sorti aux USA, Angleterre et Australie le 26 juillet 2024.
Annoncé en blu-ray américain WELL GO US le 22 octobre 2024.
De Alexander J. Farrell (également scénariste), sur un scénario de Greer Ellison ; avec Kit Harington (également producteur), Ashleigh Cummings, James Cosmo, Caoilinn Springall, Ian Giles, Martina McClements.
Pour adultes.
(loup-garou Wokissime toxique,) "Il y a deux loups à l'intérieur de nous tous... Ils sont toujours en guerre" ~ Proverbe (NDT : Cherokee, selon la Wikipedia). "William !" crie une vieille dans le noir. En fait en pleine forêt, dans la nuit embrumée, une torche brûlant haut dans la main droite, un gros sac qui n'a pas l'air plein dans la main gauche : mais qu'allait-elle donc faire dans cette galère ? me direz-vous ?
La production a oublié de nous le dire et pas sûr qu'elle le sache elle-même à ce point du film, alors la vieille crie à nouveau : "William !". Et elle s'approche encore de la caméra et crie une troisième fois : "William !" car il ne faut pas avoir peur de se répéter quand on chasse toute seule et sans arme le loup-garou. Ou je ne sais quoi ou qui puisse se cacher dans une forêt à une heure pareille et par un temps pareil.
D'un autre côté, il n'y a aucun moustique et absolument rien ne bouge à l'arrière-plan, ce qui laisse supposer que l'actrice joue devant un écran vert, à moins qu'il ne s'agisse du Volume ? (probablement trop cher pour le budget du film).
Peu importe, à moins de deux minutes du début du film, on se fait déjà ch.er.
La vieille scrute en avant, tournant la tête de droite à gauche. Un cri bref de bête assez aigu et voilà la vieille qui appelle à nouveau dans la direction du cri : "William ?" Peut-être emporter un poulet ou un auroch la prochaine fois, non ? La vieille décide de marcher dans la direction du cri aigu, mais peut-être sait-elle quelque chose que nous ne savons pas. Peut-être va-t-elle nous découvrir un énorme panneau indicateur du genre "Vous êtes ici, appuyez sur le gros bouton rouge" comme dans The Watchers 2024 ?
La vieille s'approche encore de la caméra, regardant au-dessus de nous la bouche ouverte, les yeux agrandis, tandis qu'au son nous entendons un gros truc qui n'a absolument pas une petite voix aigu, mais qui respire très fort. Quelqu'un a décidé d'économiser des effets spéciaux et du talent d'acteur, et surtout du scénario et de la réalisation.
Et soudain nous découvrons que c'est la pleine lune, et en plus de celle qui sont rouge, un peu comme un gros feu de signalisation à l'attention de toutes les petites vieilles avec une torche et un gros sac qui s'en vont dans la forêt la nuit par temps de brouillard. La vieille pousse un cri assez fluet, et dans le noir on devine deux yeux d'un gros chien qui doit bouffer quelque chose, supposément la vieille.
Ce n'est pas comme si une torche flambante et un gros sac bien solide aurait pu aider la hurleuse de service, ni comme si le genre de vieille qui s'aventure seule dans une forêt à pieds n'aurait pu avoir aucune expérience des trucs qui croquent les moutons la nuit, ou qui assomment les vieilles pour leur piquer leurs économies. Non, elle est seulement là pour se faire bouffer en guise d'apéritif au début d'un film supposé d'épouvante.
S'affiche alors le titre du film : "La bête à l'intérieur" ... qui est censée être la bête à l'extérieur, donc.
Sans davantage d'explication ou de plan large situant l'action ou de présentation, un vieux barbu dans une maison se lance dans un monologue d'exposition qui sert à rien, en faux raccord avec la scène précédente. Nous serions de jour s'il faut en croire la lumière entrant par les fenêtres, le père Noël nous braque une torche électrique dans la gu.le et soupire : "Des rats, d'accord."
Une wokette en salopette surgit sans crier garde de derrière le père Noël pour lâcher : "Je le savais bon sang, d'accord." car une wokette sait toujours tout mieux que les autres, surtout dans un dialogue d'exposition-remplissage. Elle ajoute : "J'irai acheter des pièges en ville alors..."
Non, mets-toi à quatre pattes et attrape les rats avec les dents : on a une planète à sauver, et elle est censée avoir eu un bébé comme sur un tableau complètement surréaliste dans une maison où la peinture rouge tombe des murs, les rideaux sont déchiquetés, mais il y a un rail pour deux petits projecteurs histoires que la photo maquillée digitalement soit visible au moment où la caméra monte allez savoir pourquoi : nous avons le point de vue subjectif d'un quidam dont le cul se soulève tout seul du sol jusqu'au plafond...
Pour passer apparemment à travers le plancher d'une chambre à l'étage : quelqu'un n'avait pas le budget pour construire le décor de l'escalier. Dans cet chambre une doublure corps de Kit Harrington qui n'a pas dû avoir le temps de participer au tournage de ce film dont il est la tête d'affiche, regarde de dos en chemise à carreaux par une fenêtre.
La caméra continue de monter et de traverser le plancher et l'on se rapproche de coups de marteaux répétés pour découvrir la seconde wokette du film, une odieuse gamine (toutes les wokettes sont des garces), qui n'hésitera pas à entrer sans permission dans la chambre de son père en train de ahaner et donner des coups de reins, pour le tripoter parce que vous comprenez, elle s'inquiète pour sa petite santé... Ne vous inquiétez pas, ou plutôt si, elle ne fait qu'en rêver.
Ils n'avaient pas non plus le budget pour filmer la fois où elle est entré sans frapper pour le surprendre sous la douche ou assis sur la cuvette des toilettes parce qu'il n'en ressortait pas assez vite ? Et je réalise maintenant pourquoi le personnage de Kit Harrington est obligé régulièrement fuir sa petite famille au fond des bois : il ne fait que satisfaire ses besoins naturels de mâle dont la production semble tout ignorer...
"Je serais de retour avant la nuit..." ajoute la mère wokette, et comme sa fille wokette ne répond rien, la mère s'en va, peu importe que la fillette en question ait pu avoir un accident à force de couper du petit bois, genre elle baigne dans son sang, ou alors elle fait une overdose de fentanyl, enfin, quoi, tout ce que les jeunes filles font de nos jours quand elles sont élevés par des wokes.
Mais curieusement, la wokette qui a à la fois vue SANS OUVRIR SA PORTE, sur le hall en contrebas (je n'ai pas vu l'escalier donc peut-être bien que oui, la production ne l'a pas construit), et vue par sa fenêtre sur cour, SANS OUVRIR NI REFERMER LA MEME PORTE où sa mère sort un gros cochon de sa cage, avec papa Noël qui sert à rien à côté, et possiblement un autre gros cochon arrive en manteau de fourrure, et une fois encore, on ne voit pas son visage, donc c'est une doublure corps de Kit Harrington, dont la prochaine production se tournera sans doute avec une doublure continuellement masquée.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.
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