Ici la page Amazon.fr du blu-ray français de Terminator (1984)
Terminator (1984)
Traduction du titre original : Terminateur.
Sorti aux USA le 26 octobre 1984.
Sorti en Angleterre le 11 janvier 1985.
Sorti en France le 24 avril 1985.
Sorti en blu-ray américain le 20 juin 2006 (multi-régions, master un peu crade, son et sous-titres français inclus, son anglais LPCM 5.1, bonus: creating, retrospective)
Sorti en blu-ray français le 3 octobre 2012 (multi-régions, master nettoyé, petit livret, son anglais et français DTS HD 5.1, bonus identiques au blu-ray américain).
Attention, nouvelles éditions blu-ray, 4K et VOD 2023-2024 chez DISNEY INT de Avatar, Titanic, The Abyss, True Lies et potentiellement Terminator 1 et 2, ont été massacrées par Intelligence Artificielle, et non restaurées fidèlement : ne les achetez pas, vous êtes prévenu. Si jamais il s'avère que ces naufrages ont été corrigés soit par l'édition 2024 soit par une édition suivante, ce sera mentionné ici.
De James Cameron (également scénariste) sur un scénario de Gale Anne Hurd et William Wisher Jr. . Avec Arnold Schwarzenegger, Linda Hamilton, Michael Biehn, Paul Winfield, Lance Henriksen, Rick Rossovich, Bess Motta, Earl Boen, Shawn Schepps.
Los Angeles 2029. La ville n’est plus qu’un champ de ruines, survolées par des sortes d’hélicoptères qui mitraillent les survivants de rayons lasers mortels, tandis que des chars écrasent des tapis de crânes humains : les Machines se sont dressées du champ de cendres laissé par le feu nucléaire. Leur guerre pour exterminer l’Humanité fait rage depuis des décades, mais la bataille finale n’aura pas lieu dans le futur. Elle se jouera là, dans notre présent. Ce soir-là…
Los Angeles 1984, 1h54 du matin. Une benne à ordure tombe en panne électrique. Les papiers gras se mettent à voler, et des éclairs courent le long des murs et du sol. Un homme nu à la stature herculéenne vient d’apparaître, accroupi. Il marche jusqu’à un point de vue donnant sur la ville illuminé. Un peu plus loin, devant l’observatoire qui domine Los Angeles, trois punks s’amusent avec un télescope public. Les trois punks aperçoivent l’hercule, le nargue. L’hercule répond en leur demandant leurs habits : les deux premiers refusent et sortent leur couteau. L’un des punks plante l’hercule sans que ce dernier réagisse. L’hercule le soulève d’une main, lui enfonce le poing dans la poitrine de l’autre, puis jette le corps. Le punk encore debout donne alors immédiatement ses habits.
Ailleurs en ville, dans une ruelle, les papiers gras se mettent à voler dans tous les sens et des éclairs se mettent à courir le long des murs et du sol. Un homme nu plus frêle que le premier apparait, à terre. Il vole le pantalon d’un clochard, mais il est surpris par une patrouille de policier. Il attaque le premier policier qui arrive, lui prend son arme et exige de savoir en quel jour et en quelle année il est. La police ne lui laisse pas le temps d’avoir une réponse complète. L’homme frêle s’introduit dans un supermarché et s’habille complètement au fur et à mesure qu’il sème les policiers, puis il s’échappe par un escalier de secours, et vole un fusil dans la voiture de police garée en contrebas. Il s’éloigne ensuite tranquillement, dissimulant le fusil dans son imperméable. Puis il entre dans une cabine téléphonique et cherche dans l’annuaire l’adresse de l’une des Sarah Connor parmi toutes celles qui s’y trouvent listées…
Le matin, l’une des Sarah Connor prend son service de serveuse dans une cafétéria. L’hercule vole une voiture en enfonçant la vitre d’un coup de poing. Au restaurant, comme Sarah est débordée dans son travail et qu’un enfant en profite pour lui glisser une boule de glace dans sa poche, sa meilleure amie lui fait remarquer que dans cent ans, plus personne ne se souciera de cette sale journée… Quant à l’hercule, il entre dans un marchand d’armes, demande à voir un fusil et ses munitions. Le vendeur croit déjà avoir gagné sa journée, mais l’hercule charge le fusil et le décharge sur le vendeur. Puis il repart en voiture, s’arrête devant une cabine téléphonique, consulte dans l’annuaire la liste des Sarah Connor. Il repart et s’arrête devant un pavillon d’une tranquille rue familiale et frappe à une porte. Une femme lui ouvre, avec la chaîne, et il demande si elle est Sarah Connor. Elle répond que oui. Il force la porte d’un coup d’épaule et abat la mère de famille d’une balle en pleine tête… Au restaurant, la meilleure amie de Sarah vient la chercher pour qu’elle voit le bulletin d’information annonçant l’assassinat, et conclue « Tu es morte, ma chérie… »
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