Voyagers! S01E05: Séparés (Worlds Apart)
Traduction du titre original : Voyageurs !
Autres titres : Les aventuriers du temps, Voyages au bout du Temps.
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Ici la page de Voyagers sur ce blog.
Diffusé aux USA le 7 novembre 1982 sur NBC US.
Diffusé en France sur ANTENNE 2 en 1991.
De James D. Parriott. Avec Jon-Erik Hexum, Meeno Peluce.
La neige tombe drue sur la montagne tandis que la nuit tombe. Jeffrey et Bogg sortent d’entre les arbres. Jeffrey lance à Bogg : « Réchauffe-le avec tes mains ? » Bogg répond : « Qu’est-ce qui te fait croire que mes mains sont chaudes ? », et comme Bogg frotte malgré tout l’Omni avec ses mains, Jeffret s’indigne : « C’est génial ! Formidable ! Cet Omni stupide nous a envoyé en milieu de la Sibérie et ne veut pas nous en faire sortir ! » L’Omni, lui, clignote vert et rouge en tintinabulant : « A quoi tu t’attendais ? répond Bogg, le bidule a au moins 20.000 ans d’entretien de retard… » Jeffrey rétorque : « Alors entretiens-le ! ». Bogg se lamente « Si j’avais mon guide d’instruction, je le ferais, mais mon guide d’instruction… » Jeffrey complète : « … est resté dans la gueule de mon chien en 1982. » Bogg remercie Jeffrey et lui conseille à présent de continuer à bouger, sinon le gamin gèlera à mort. « Geler à mort ? répète Jeffey : dans cinq minutes j’aurais l’air d’un glaçon ! » « Bouge ! » ordonne Bogg, tandis que l’Omni continue de tintinabuler.
Jeffrey s’exécute et saute sur place en agitant les bras, tout en remarquant que Bogg sait peut-être que l’on a retrouvé des mamouths congelés en Sibérie… alors ils devraient peut-être se laisser geler sur place. Bogg ricane : « Bonne idée ! Est-ce que les mamouths sont revenus à la vie ? » Jeffrey change de sujet : « Et d’un autre côté… » Mais Bogg l’interrompt : « Je crois que je tiens le bon bout, agrippe mon bras ! » Puis de dépit : « Haleine de chauve-souris ! » Jeffrey supplie alors l’Omni : « Allez, donne-nous un peu de chaleur ! » Et Bogg et Jeffrey disparaissent subitement de la Sibérie…
La mer sous un ciel bleu, des toits plats et blancs. Là il semble faire chaud, à plus d’un titre : la bataille fait rage dans les rues où des soldats modernes à toques rouges affrontent des cavaliers en djellaba et la coiffe d’émir brandissant leurs sabres. Suspendu au-dessus d’un portique, un drapeau rouge à croissant blanc renversé surmonté d’une étoile. Sifflement, et Bogg et Jeffrey se retrouve en plein milieu des combats. « Là, ça a marché ! » déclare fièrement Bogg. Puis il lit « 1917, tu as une idée de ce qui se passe ici ? — Un gros souci, répond Jeffrey. — Et plus spécifiquement ? » Soudain, un cavalier arabe vêtu de blanc débarque. Il est attrapé et jetté à terre et comme un soldat lui arrache sa coiffe, il se révèle blanc et blond. Le soldat se met alors à crier « Lawrence, c’est Lawrence ! » Et Jeffrey de s’ébahir : « Lawrence d’Arabie ? »
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