Monsters (2010)
Sorti aux USA le 29 octobre 2010.
Sorti en France le 1er décembre 2010.
Sorti en Angleterre le 3 décembre 2010.
Sorti en blu-ray américain le 1er février 2011.
Sorti en blu-ray français le 6 avril 2011.
Sorti en blu-ray anglais le 11 avril 2011.
Sorti en blu-ray allemand le 20 mai 2011.
Sorti en blu-ray allemand le 2 octobre 2014.
De Gareth Edwards (également scénariste), avec Scoot McNairy et Whitney Able.
Pour adultes et adolescents.
Il y a six ans, la Nasa découvrit la possibilité d’une vie extraterrestre dans notre système solaire. Une sonde fut lancée pour collecter des échantillons, mais elle se brisa à sa réentrée dans l’atmosphère au-dessus de Mexico. Peu après, de nouvelles formes de vie se mirent à apparaître et la moitié du pays fut mis en quarantaine en tant que zone infectée. Aujourd’hui, l’armée mexicaine et nord-américaine ont encore des difficultés à contenir les « créatures »
Une communication radio militaire, de nuit : « nous avons localisé un homme et une femme… » Un véhicule blindé dont le conducteur utilise des lunettes de vision nocturne tourne dans une rue. Le conducteur chantonne la chevauchée des Walkyries en référence à la charge des hélicoptères dans Apocalypse Now. Puis il explique à un camarade que c’est son air préféré. Puis comme il demande s’ils sont encore loin de la base, une déflagration retentit.
Le véhicule est retourné, les passagers à projetés un peu partout. Un soldat s’est relevé et ouvre le feu à l’arme lourde. Quelqu’un hurle au secours. Il y a une femme blonde inconsciente, étendue à terre. Le soldat tire sur une créature géante tentaculaire perchée au-dessus de la route sur les toits des immeubles voisins. Un des soldats réclame une frappe aérienne sur la position. On lui répond que les dommages collatéraux seront plus important qu’avec le missile. La pieuvre géante commence à descendre de l’immeuble, les soldats évacuent les blessés dans un des véhicules qui roule encore. Un drone arrive, ciblant le cerveau de la pieuvre géante.
De jour, une équipe de pompiers inspectent les décombres de grands immeuble. Un jeune homme les interpelle : il veut savoir où est-ce qu’on emmène les blessés. Puis il leur demande s’ils parlent anglais, et il finit par trouver un pompier qui parle un peu anglais. Celui-ci lui répond que la zone est très dangereuse. D’ailleurs à deux pas, il y a des tentacules géantes recroquevillées, calcinées. Le jeune homme répète sa question : où sont les blessés ? Le pompier pointe une direction du doigt. Le jeune homme demande si c’est la direction d’un hôpital, et lequel ?
Un motocycliste emmène le jeune homme à l’arrière de sa moto. Les hélicoptères survolent le quartier mélange de petites maisons et de bidonvilles. Il y a une colonne de fumée à l’horizon, un tank qui circule en ville. On approche du centre-ville, puis il arrive à l’hôpital Dr. R. A. Calderon Guardia. Le jeune homme descend de la moto et dit à son chauffeur qu’il n’en a que pour cinq minutes. A la réception de l’hôpital, il demande s’il y a des gens de l’hôtel, s’ils sont arrivés la nuit dernière ou ce matin.
Sur l’écran de la télévision suspendue au plafond, des images d’actualité sous-titrée en espagnol « Les petits d’une créature sont dans Mexico ». Le jeune homme donne à la réceptionniste le nom d’une certaine Samantha Wynden. La réceptionniste ouvre un registre, trouve le nom et répond que Samantha Wynden est ici, au fond, chambre 3, lit 11. Le jeune homme se fait confirmer la direction, puis ne sachant pas jusqu’où suivre le couloir, va de salle en salle jusqu’à trouver une jeune femme blonde et mince toute seule sur un lit : il essaie, « Sam ? » Elle confirme.
Le jeune homme se présente comme Andrew Kaulder. Il travaille pour le journal du père de Sam. Celui-ci voulait qu’Andrew se déplace pour s’assurer qu’elle allait bien. Comme Sam a le bras gauche en écharpe, Andrew demande si le bras est cassé. Sam répond que non. Andrew demande quand même confirmation : est-ce que Sam va bien ? Celle-ci hésite puis sourit et affirme que oui. Alors Andrew recule et s’en va.
Dehors, à une cabine téléphonique, Andrew s’indigne : est-ce que c’est un ultimatum ? Son correspondant lui répond qu’il exagère. Andrew hausse le ton : il exagère ? Il attend ça depuis trois ans. Son correspondant lui répond que c’est la fille du patron et qu’il veut qu’Andrew la ramène. En quoi est-ce un problème ? Qu’il le fasse pour lui. Mais Andrew insiste : c’est la chance de sa vie, c’est ce qu’il attendait. Son correspondant répond qu’il n’a qu’à la ramener sur la côte et c’est tout ce qu’il lui demande de faire. Andrew répond que sa réponse est non et il raccroche.
Cependant, il est dans le taxi avec Sam qui semble reprendre conscience en passant devant les ruines de son hôtel. Pendant qu’Andrew prend des photos des véhicules transportant des missiles sol-sol. Sam demande au chauffeur s’il se sent encore en sécurité. Celui-ci lui répond qu’il ne saurait pas où aller : cela arrive chaque année de toute façon. Ils jouent leur vie à la roulette…
Arrivée à la gare, Sam téléphone à son père et lui assure que ce n’est pas aussi grave que cela en a l’air. Son père lui répond qu’à la télévision, ça a l’air grave. Sam hausse le ton pour répondre : alors ne regarde pas la télévision. Haut sur le mur du hall de la gare, on a peint une carte : la zone infectée en rouge sépare le Mexique des USA et bloque tous les transports dans cette direction. Andrew demande si le train pour la côte roule encore, le caissier confirme, Andrew achète deux tickets et colle son passeport américain et celui de Sam contre la vitre.
Au téléphone le père de Sam lui dit qu’il est heureux qu’elle aille bien, puis lui demande si elle a appelé un certain John : c’est son fiancé, et son père insiste, elle peut lui téléphoner maintenant. Sam répond que son train arrive et qu’il faut qu’elle y aille maintenant. Le père insiste pour parler à Andrew qui ne veut pas mais est bien forcé de prendre le combiné que lui tend Sam... "Monsieur" Wyden lui met alors la pression : Andrew doit se rendre compte de sa responsabilité, lui ramener sa « petite » fille saine et sauve.
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