All The Lost Ones (2024)
Toxique propagandaire : comme Civil War, ce film met en scène une violence fictionnelle en inversant le rôle des victimes et des bourreaux dans les très nombreux faits de dictatures et de massacre récents dans le monde et aux en particulier aux USA. Cela pousse les spectateurs à discriminer, asservir, tuer et assister des génocides fonction de la couleur de peau ou de l'appartenance à certaines communauté plutôt que d'autres, tout en prétendant défendre certaines communautés plus que d'autres : une dictature est une dictature, des kollaborateurs sont des kollaborateurs, un meurtre est un meurtre, un génocide est un génocide - n'importe quel récit qui prétend les représenter en donnant les mêmes couleurs de peaux ou autre critère général d'identification aux agresseurs provoque à la haine et au massacre d'innocents. Dans le même élan propagandaire, ce genre de récit censure les causes réelles de la violence, qui ne dépende pas de la couleur de cheveux ou de la peau, et divise pour régner en faveur de la dictature du moment et de tout harceleur / troll potentiel.
Annoncé aux USA le 29 novembre 2024 (limité)
De Mackenzie Donaldson (également producteur), sur un scénario de Anthony Grant et Cheryl Meyer ; Jasmine Mathews, Douglas Smith, Steven Ogg, Devon Sawa, Alexander Elliot, Michael Lipka.
Pour adultes.
(prospective, dystopie, wokissime, sexiste, toxique, provocation à la haine raciale) Une guerre civile du future est provoquée par les mesures du gouvernement faisant suite à des changements climatiques ; Nia, sa sœur Penny, et son petit ami Ethan se cachent jusqu'à ce qu'une milice arrive à leur porte.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacré à ce film.
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