New-York 1997 le film de 1981Feu orange cinéma

Escape From New-York (1981)
Traduction du titre : L'évasion de New-York.
Titre français : New-York 1997.

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Sorti en France le 24 juin 1981.
Sorti aux USA le 10 juillet 1981.
Sorti en Angleterre le 24 septembre 1981.

Sorti en blu-ray anglais OPTIMUM UK, le 4 août 2008.
Sorti en blu-ray français STUDIO CANAL FR le 23 octobre 2008.
Sorti en coffret br+dvd américain MGM US (multi-régions vf inclus) le 3 août 2010.
Sorti en coffret deux blu-rays américain SHOUT FACTORY US (collector) le 21 avril 2015.
Sorti en coffret deux blu-rays anglais STUDIO CANAL (nouveau transfert) le 26 novembre 2018.
Sorti en coffret 2br+4K français STUDIO CANAL le 5 décembre 2018.
Sorti en coffret 2br+4K anglais STUDIO CANAL le 18 mars 2019.
Sorti en coffret 2br+4K SHOUT FACTORY US (collector) le 17 mai 2022 (réputé meilleur image et son du moment)
Sorti en 4K STUDIO CANAL FR le 1er mars 2023

De John Carpenter (également scénariste), sur un scénario de Nick Castle, avec Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Donald Pleasence, Isaac Hayes, Harry Dean Stanton, Adrienne Barbeau.

Pour adultes et adolescents.

(Dystopie) 1988. Le taux de criminalité dans les Etats-Unis a été multiplié par quatre. New-York City devient l’unique prison de haute-sécurité pour l'entièreté du pays. Un mur de rétention de 150 mètres de haut est construit sur la rive opposée à l’île de Manhattan et entour complètement l’île. Tous les ponts et voies fluviales sont minées. La police campe telle une armée autour de l’île. Il n’y a pas de gardes à l’intérieur de la prison, seulement les prisonniers et le monde qu’ils ont construit. Les règles sont simples : une fois que vous êtes entrés, vous ne ressortez pas.

1997 : le présent. La nuit. Une jeep s’arrête au bas d’un haut mur de béton . Le chauffeur en uniforme casqué tient un talkie-walkie, et dedans, il déclare « ceci est la Station 17 de Gotham 4, Baie du Nord : j’ai une tentative d’évasion en cours, un objet à mi-chemin des eaux se dirigeant vers le mur. » Il y a une plaque scellée dans le béton quelques mètres au-dessus de la jeep : « Pénitencier de Sécurité Maximale de New-York, île de Manhattan. »

Sur le chemin de ronde qui surmonte la muraille, deux gardes armés, et quelques immeubles illuminées dans l’obscurité d’en face. Un hélicoptère passe dans ciel. Un projecteur balaie les eaux noires sur lesquelles deux hommes à plat-ventre sur un radeau recouvert d’un treillis militaire pagaient. Un haut-parleur à bord de l’hélicoptère leur annonce : « Vous avez dix secondes pour faire demi-tour. » Puis l’hélicoptère largue une torpille qui illumine d’un halo vert le dessous de la surface de l’eau. Et le radeau explose.

L’hélicoptère refait un tour en promenant ses projecteurs sur la rive, passe derrière la Statue de la Liberté en contrebas de laquelle un garde en marche demande par talkie-walkie de confirmer que la cible a bien été éliminée. Ce que fait apparemment l’équipage de l’hélicoptère par un « Ai fait un cercle autour, terminé… », et le garde d’annoncer à la Sécurité : « Ici Rehme, nous avons la confirmation de Gotham 4, nous en avons abattu deux à mi chemin de la baie, au Sud de la Batterie, deux corps à l’eau … » et on lui répond « Deux confirmés. »

Rehme lance un « très bien » et entre dans une guérite illuminée où se trouvait déjà un autre garde. Il décroche le combiné téléphonique dans la guérite, et déclare « Contrôle aérien, ici Rehme… » Sur le mur de la guérite, imprimé en blanc au pochoir : « Poste de contrôle de l’île de la Liberté. Et un peu plus loin, l’héliport au sol détrempé. Un hélicoptère est garé, un autre se pose au loin, un bus passe derrière le premier hélicoptère et devant la bannière étoilées pendue au fond depuis une passerelle.

Du bus illuminé par des néons verdâtres descend un homme en jeans et veste de cuir marron usée ( ?), chevelu barbu et borgne (Snake Plissken), suivi de trois gardes casqué visière baissé et armé d’un fusil d’assaut. Comme le barbu semble marquer un temps d’arrêt, le premier garde le pousse dans la direction du fond de l’héliport et tous se remettent en marche. Ils obliquent en direction d’escaliers descendants ouverts dans un long bloc de béton.

Au mur, au pochoir, les consignes : « pas de bavardage, pas de tabac ; suivez la ligne orange » le dernier mot étant poché à la peinture orange. Dans les hauts-parleurs, une voix de femme avertit : « Attention, vous venez d’entrer la zone de débarquement : ne parlez pas, ne fumez pas, suivez la ligne orange jusqu’à la zone d’enregistrement… Le prochain départ pour la prison est dans deux heures. Vous avez l’option de mourir et d’être incinéré sur place. Si vous choisissez cette option, notifiez-le au sergent de votre zone d’enregistrement. »

Les policiers regardent passer le prisonnier barbu, puis quelqu’un demande au petit cortège d’attendre à ce point du couloir. A la surface, une limousine blanche passe à son tour entre les hélicoptère et se gare. En descend un moustachu chauve avec une boucle à l’oreille gauche. Il soupire. Rehme vient le rejoindre et lui fait son rapport : « Nous avons un petit avion à réaction en difficulté dans la zone aérienne restreinte. »

Le moustachu demande : « Où est-il ? — A sept miles, en approche. » Ils s’en vont vers le bunker derrière eux, la zone d’enregistrement. Au bas des escaliers, dans le couloir, Rehme explique : « Nous les avons à l’écran depuis les dernières vingt minutes ; nous n’avons pas pu les contacter ; il y a eu une transmission il y a dix minutes : ils se sont identifiés comme étant David 14, et tout d’un coup plus rien. »

Alors que le vol ne répond toujours pas, Rehme ajoute qu’ils n’ont pas retrouvé ce code dans leurs archives et ont envoyé un telex à Washington, sans réponse. C’est alors que le radio du poste de contrôle leur annonce qu’il pense les avoir en contact radio, et une voix de femme leur lance : « C’est trop tard, trouducs, toutes vos armes impérialistes et vos mensonges ne pourront plus le sauver à présent : nous plongeons, nous allons nous écraser ! »

Puis derrière eux, un autre opérateur lance qu’ils ont identifié le code du vol David 14 : sur son écran, s’affiche en vert sur fond noir : aéronef identifié, code « David 14, décodé : Airforce One. » aka l’avion du président des Etats-Unis d’Amérique du Nord.

New-York 1997 le film de 1981

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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