La page Amazon.fr du coffret français 5 dvd français ELEPHANT FR le 6 mai 2014 version anglaise et française.
La page Amazon.fr du coffret 3 blu-rays anglais NETWORK UK le 23 octobre 2017 (anglais sous-titré).
La page Amazon.fr du coffret 3 blurays allemand MEDIA TARGET DE le 14 décembre 2018 réédité le 30 octobre 2020 (pas de version française, version anglaise incluse).
Hammer House of Horror S01E09 : Carpathian Eagle (1980)
Traduction : La maison de l'horreur (des studios) de la Hammer* : L'Aigle des Carpathes.
* Traduisez Hammer par le maillet des sorcières, référence au Malleus Maleficarum, le manuel de démonologie de 1486 à l'usage des inquisiteurs dans la réalité.
Titre français : La maison de tous les cauchemars : L'Aigle des Carpathes.
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Ici la page de ce blog consacrée à la série télévisée Hammer House of Horror 1980.
Toxique : Exploitation.
Diffusé en Angleterre le 8 novembre 1980 sur ITV UK.
Diffusé en France en 1983 sur FR3 FR.
Sorti en coffret 5 dvd français ELEPHANT FR le 6 mai 2014 version anglaise et française https://amzn.to/3zXcyTO
Sorti en coffret 3 blu-rays anglais NETWORK UK le 23 octobre 2017 (anglais sous-titré, image HD de très grande qualité, mise à l'échelle 4K parfaite, son très bon, pas de version française)
Sorti en coffret 3 blurays allemand MEDIA TARGET DE le 14 décembre 2018 réédité le 30 octobre 2020 (pas de version française, version anglaise incluse)
Créé par Roy Skeggs, réalisé par Francis Megahy (également scénariste), sur un scénario de Bernie Cooper, avec Suzanne Danielle, Anthony Valentine, Siân Phillips, Jeffry Wickham, W. Morgan Sheppard, Pierce Brosnan.
Pour adultes.
(anthologie d'horreur fantastique, slasher) Une jeune femme à la courte tunique jaune-rouge-vert à glands et aux bottines à talons aiguille blancs marche la démarche chaloupée le long d’une route de campagne, un sac de cuire avec ferrures en laiton à la main.
Un jeune homme moustachu au volant de sa rolls noire s’arrête à un stop et la considère de dos tandis qu’elle poursuit son chemin en direction d’un virage. Il sourit et salive, puis redémarre pour rouler à petite vitesse dans la même direction, et se ranger du côté de la jeune fille, qui avait sensiblement ralenti son allure.
Reparti avec la jeune fille, qui a croisé haut ses jambes et joue avec le gland de sa jupe ras-la-moule pendant le long de l’intérieur de sa cuisse, le jeune homme conduit les yeux fixés sur l’entrejambe de sa passagère. Cependant ils arrivent sans encombre directement dans la chambre à coucher du jeune homme, — probablement en descendant de voiture entre-temps — avec dessus de lit en vraie fourrure de renard — et je crois bien que Deckard a dû utiliser cette série pour tester les réplicants en plus tard en 2019.
Le jeune homme adossé à ses tentures vertes déclare alors, mains dans les poches de son pantalon gris, chemise blanche finement rayée de bleu, pull léger bleu ciel sur les épaules, déclare la jeune fille : « Je vous ferais faire le reste du chemin quand vous aurez pris votre verre. » De lait, sans doute.
La jeune femme répond avec un accent à couper au couteau : « c’est üne chambrre trêz eggzotik… » Et le jeune homme ajoute : « Une chambre très… secrète, aussi. — Secrrête ? — Car personne ne sait qu’elle existe. — En parrticulier votrre épouze. — Tout à fait, je la réserve pour… des occasions spéciales, comme celle-ci. »
Il s’approche : « Après tout, quand vous êtes montée dans la voiture, vous saviez que vous y gagneriez plus qu’un simple aller jusqu’en ville — Vrrai, on m’a prromis un vêrre, et jusqu’ici, j’ai été dézappointée. » Le jeune homme ricane : « Je n’autorise personne à être dézapppointé. »
Pas plus que la production de cette série : toujours de dos, la jeune femme ôte sa petite robe en la faisant passer par-dessus ses épaules, révélant sa petite culotte sans avoir ôté ses bottines à talons aiguilles. Elle ne porte pas de soutien-gorge, mais l’absence de miroir nous fait manquer ses seins nus.
Elle se penche en avant, et le contre-champ avec vue sur le moquette du moustachu bras croisés paumes sous la nuque, couché torse nu sur son lit sous la vrai fourrure qui bouge encore… ah non, ce sont ses mains. Non, elles sont sous sa nuque.
Enfin, bref… La femme demande avec son accent des pays de l’Est: « Eteignez la lumièrre, voulez-vous ? » Il éteint la lumière, ce qui ne change pratiquement rien à l’ambiance lumineuse vu la quantité de jour qui filtre à travers les rideaux.
Elle demande encore en sortant quelque chose de son sac emballé dans ce qui ressemble à de la soie noire : « êtes-vous prrêt ? Ferrmez vos yeux ! » Il obtempère, et elle ajoute : « Je vais vous surprrendrre… » Pourquoi sur ?
« Ah oui ? » il répond les yeux fermés. Elle s’approche et arrivée au-dessus de lui : « Ëtes-vous prrêt pourr… ça ! » Il ouvre les yeux, elle sabre l’air et imite le bruit d’une tarte aux pommes gâchée dans un épisode de la série American Pie ; il grimace, à moins que ce ne soit son orgasme, se tord un peu, soupire et s’endort aussi sec.
J’espère qu’elle n’aura pas été trop déçue.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
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