Amazing Stories #005 (1926)
Titre complet : Volume 1, août 1936, numéro 5.
Traduction Histoires étonnantes.
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Publicités toxiques.
Pour adultes et adolescents.
Présumé sorti en kiosque aux USA le 10 juillet 1926 daté de août 1926, prix 25 cents, soit 4.46 dollars 2024 en tenant compte de l'inflation (idem en Euro du 7 décembre 2024)
De Hugo Gernsback, F. R. S. (rédacteur en chef), Dr. T. O'Conor Sloane, M. A., Ph. D. (directeur de publication), Wilbur C. Whitehead, rédacteur littéraire, C. A. BRANDT, rédacteur littéraire.
Pour adultes et adolescents.
(revue littéraire de Science-fiction)
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Les numéros de pages imprimés à l'intérieur ne tiennent pas compte des quatre pages de couverture.
p. 4 = page 2 : sommaire.
"Amazing Stories est publié le 10 de chaque mois. Il y a 12 numéros par année. L'abonnement est de 2.50 dollars (44.56 dollars 2024 idem euro) par an aux USA et possessions, 3 dollars (53.47 dollars 2024, idem en euro) au Canada et à l'étranger. Les pièces et timbres Etats-Uniens sont acceptés (pas les pièces et timbres étrangers, un exemplaire d'échantillon sera gratuitement envoyé à la demande... Toutes les contributions acceptées sont payées à publication. Amazing Stories est en vente dans tous les kiosques des Etats-Unis et du Canada. Agents européens S. J Wise et Cie 40 place verte, Antwerp, Belgique. Imprimé aux U. S. A."
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p.5 : Ours et Edito de Hugo Gernsback, F. R. S.
De la fiction extravagante aujourd'hui... à la froide réalité de demain.
DES FAITS "IMPOSSIBLES"
Souvent, lorsque nous lisons l'un de nos contes modernes de scientifiction, nous sommes portés à exploser quant à l'une de ces intrigues "impossibles" concoctées par quelque auteur ingénieux. Et souvent nous recevons la lettre de quelque lecteur qui donne libre cours à son opinion en terme non équivoque en ce que cela et telle chose "dépasse les limites du royaume du possible."
Comme nous l'avons déjà mentionné plusieurs fois, il est difficile de distinguer aujourd'hui ce qui est possible et ce qui est impossible, car la plupart des choses "impossibles" sont devenues monnaies courantes.
Avant de juger quoi que ce soit "impossible", nous devrions donc être plus prudent et certainement beaucoup plus tolérants que nous le sommes. Certaines des choses récemment encore les plus improbables sont désormais des faits. Par exemple si quelqu'un devait arriver et vous parler d'un conte délirant à propos de glace à température d'ébullition, vous lui ririez probablement au nez. Et pourtant, le Professeur P. W. Bridgman de l'Institut Carnegie à Washington, tandis qu'il soumettait de l'eau à une pression de 300.000 livres au pouce carré, découvrit que sous une telle pression, l'eau devenait d'abord solide, se transformant en glace bien que proche de la température d'ébullition. Non seulement cette "impossibilité" est un fait, mais nous "savons" tous, et avons tous appris, que l'eau ne peut pas être de beaucoup comprimée. Et de la même manière, Docteur (NDT professeur diplômé) Bridgman a comprimé l'eau à 80% de son volume original !
NDT : Constatez que ce qui est science ou fantastique, fait ou délire, impossible ou possible, dépend seulement de la manière dont les êtres humains peuvent présenter des faits à d'autres.
Si vous appreniez à l'école l'Histoire des Sciences et non des programmes scolaires ou un caviardage quelconque équivalent de la Wikipédia, il vous serait très facile que la "découverte scientifique" ou le "progrès", c'est-à-dire l'entrée ou la sortie du "champ des possibles" de telle ou telle affirmation est d'abord une question de décrire correctement la réalité, de telle manière que les mots que vous utilisiez soit définis de manière cohérente les uns par rapport aux autres, et par rapport à l'expérience réelle de ce qu'ils décrivent, en incluant les causes et les conséquences de cette expérience.
Les erreurs scientifiques donc humaines découlent de la définition équivoque ou fausse des mots, des vices dans la logique des phrases qui articulent ces mots, et d'observation défectueuse ou lacunaire de la réalité.
Interviennent ensuite les "inventions", un mot qui signifie littéralement IN-VENIO, venir pour se trouver sur ou dans la surface ou l'espace de la chose inventée, c'est-à-dire découverte, ces inventions apportant un nouveau point de vue, qui met en lumière une incohérence, une erreur, une lacune, un trou dans le savoir ou une question à se poser, portant sur la cause, la conséquence, le contexte, la composition l'observateur etc.
Et si nous changeons de définition, ou de phrases, nous changeons de langue (par exemple de l'anglais au français à l'allemand au latin etc.) et/ou de langage (par exemple les mathématiques), ce qui explique pourquoi beaucoup d'inventeurs sinon tous parlent plusieurs langues et voyagent.
Savoir compter, par exemple, consiste à remplacer la langue maternelle par les mots d'une comptine numérique, c'est-à-dire remplacer A "ce sont vache, vache, vache" par B "il y a trois vaches" ou encore par C "il y a 3 vaches" ou par D "Vache : 3".
A une expression équivoque et qui devient vite impossible à mémoriser ou comprendre pour désigner des dizaines voire des milliers, voire des millions de vache. B à D permettent non seulement de s'exprimer plus brièvement et justement, mais d'effectuer des opérations donc des prédictions justes. Par exemple, si nous avons trois vaches, nous pouvons les répartir en deux groupes, l'un de deux vaches, l'autre d'une seule vache, aka E "il y a 2+1 vaches."
Transposez maintenant ce raisonnement à d'autres domaines de connaissances, c'est-à-dire de science. N'importe les quels en fait. Puis à l'invention de récits de science-fiction, et vous saisirez non seulement ce qui distingue un récit de science-fiction d'un autre genre de récit, et ce qui explique pourquoi les récits de science-fiction inspirent à ce point les scientifiques, l'innovation... et les propagandistes qui cherchent à enfermer l'esprit des citoyens dans les limites qui les arrangent, eux et leurs commanditaires.
Tel un bonimenteur, Hugo Gernsback poursuit son édito en jonglant avec des anecdotes sur le Soleil, le vide qui ne transmet pas la chaleur, vivre sans nourriture ou sans air quatre années durant etc.
A chaque fois Gernsback met en scène de supposées erreurs humaines, communes ou provoquées par des discours d'autres êtres humains dramatisées par un contexte, des définitions ou une logique fausse : "Combien un être vivant peut-il survivre sans nourriture ? Quatre ans. Impossible me diriez-vous ?" Non, je ne le dirais pas parce que je sais que l'expression "être vivant" inclus n'importe quoi pouvant se reproduire, et pas seulement un être humain.
Et de bien se garder de poser la question de ce qui est réellement impossible ici et maintenant, par exemple, "est-ce qu'avec des pensées heureuses un enfant peut sauter par une fenêtre du troisième étage et voler autour de big ben pour atterrir dans une île flottante avec des pirates, des indiens et d'autres enfants qui ne semblent rien savoir faire pour survivre dans une jungle ?"
Le problème de l'impossibilité ou des paradoxes n'est pas demain ou après-demain ou dans le passé si les témoins trompaient leur monde en "enjolivant" les faits, ou si leur traducteur était un incapable souvent doublé d'un escroc.
L'impossible se définit toujours dans le contexte d'un monde spécifique : est-il possible de tuer un golem de la légende originale d'un pieu dans le cœur ? non, il faut effacer les caractères gravés dans l'argile de sa face, et/ou retirer le parchemin glissé dans sa gorge.
Personne n'a jamais défini le mot impossible comme d'usage restreint à la réalité, et de toute manière pour prétendre une chose impossible, il faut en préciser le temps, le lieu, le contexte et de quoi et de qui on parle.
Et vous comprenez maintenant pourquoi, selon l'époque, le lieu et l'actionnaire principal du média, vous ne lirez jamais les meilleurs récits de science-fiction que vous pourriez lire, si "meilleurs" signifie les plus pertinents pour leur époque, les plus inspirants pour comprendre et contrôler votre vie, ou réaliser une société plus juste, plus prospère et plus respectueuses du vivant et des identités.
Oui, l'édito de Gernsback attise la curiosité scientifique, non, il n'est pas scientifique et il ne prouve rien et ne permet pas de distinguer le possible de l'impossible, ce qui est pourtant le thème annoncé du texte.
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p. 6 = 388 : A COLUMBUS OF SPACE (Un Christophe Colomb de l'Espace par Garrett P. Serviss.
Chapitre 1: une invention merveilleuse. Edmund Stonewall (NDT Edmond Murdepierre) était l'homme le plus ingénieux qui ait jamais vécu. De ma propre opinion, il était le plus génial être humain qui ne soit jamais apparu sur cette terre. Je dis ceci, en dépit du fait, que contre ma volonté et sans connaissance préalable de ma part, il nous a emmenés moi et deux amis que nous avions en commun dans la plus échevelée, folle, quasiment impossible et la plus incroyables aventure qu'une imagination ait jamais conçue.
J'aurais dû haïr Edmund Stonewall pour ce qu'il me fit à moi et à mes amis ; mais de fait, je vénère son souvenir.
Laissez-moi vous raconter l'histoire, et ensuite vous comprendrez la raison qui sous-tend mes sentiments à son encontre.
En premier lieu, il fit la plus merveilleuse découverte dont le monde ait jamais entendu parlé. De fait, jusqu'à aujourd'hui, le monde n'en avait jamais entendu parlé, et je frisonne encore à chaque fois que j'y pense.
C'était, bien entendu, basé sur l'électricité, car chacun sait désormais que l'électricité est à la base de tout. Elle découlait de la découverte qui avait causé tant d'enthousiasme au début du vingtième siècle -- la "radioactivité".
Qu'est-ce que la radioactivité ?
Le ciel seul le sait.
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p. 28 = 410 : THE EMPIRE OF THE ANTS (L'empire des fourmis) par H. G. Wells.
1. La grande rivière. Quand le Capitaine Gerilleau reçu l'ordre d'emmener sa canonnière neuve, le Benjamin Constant, jusqu'à Badama dans le bras de Batemo du (NDT fleuve) Guaramadema, et de là-bas, assister les habitants contre un fléau de fourmis, il soupçonna une moquerie des autorités. Sa promotion avait été romantique et irrégulière, les sentiments du dame brésilienne et le regard bleu-vert du capitaine ayant joué un rôle déterminant dans cet accomplissement, et le Diario (NDT le Quotidien) et O Futuro (NDT le futur) s'étaient montrés lamentablement irrespectueux dans leurs commentaires, il avait le sentiment qu'il serait à d'autres occasions objet d'irrespect.
Il était un Créole, ses conceptions de l'étiquette et de la discipline étaient celles d'un portugais pur-sang, et il devait seulement à Holroyd, l'ingénieur du Lancashire qui avait pris en charge le navire, et l'occasion d'un exercice de la prononciation de la langue anglaise -- ses "th" étant d'une articulation très incertaine -- d'avoir ouvert son cœur.
"Cela a pour conséquence, disait-il, de me faire passer pour oune imbécille! Qu'est-ce qu'oune homme pourrait faire contre des fourmis ? eilles vont, eilles viennent."
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p. 35 = 417 : The SCIENTIFIC ADVENTURES of Mr. FOSDICK : The International Electro-Galvanic Undertaking Corporation (Les aventures scientifiques de M. Fosdicl : La corporation internationale de construction électro-galvanique) par Jacques Morgan.
La première des deux enveloppe ne contenait que des prospectus. Mais la troisième laissa échapper qu'un bout de papier jaune, et comme Eben Stetzle qui traînait dans l'atelier de métallurgie aux environs de midi, la ramassa au sol et la passa à M. Fosdick, il vit qu'il s'agissait d'un chèque signé par la Compagnie de Manufacture Ajax, et qu'il rapporterait la somme de quatre cent et vingt dollars en monnaie-papier.
"Les royalties du mois dernier pour mon fer à friser," lâcha indifférent l'inventeur. Il en avait toujours parlé comme d'un fer à friser, quand bien même celui-ci était annoncé et vendu par la manufacture comme étant un casse-noisette.
M. Stetzle soupira : "Ah, si seulement je pouvais mettre au point un truc de ce genre. Tenir une boutique d'usinage est une méthode plutôt lente pour s'enrichir."
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p. 38 = 417 : DR. OX'S EXPERIMENT (une fantaisie du docteur Ox) par Jules Verne.
Chaptre 1 : Comment il est inutile de rechercher, quand bien même sur les meilleurs cartes, la petite ville de Quiquendone.
Si vous essayez de trouver, sur n'importe quelle carte de la Flandre, ancienne ou moderne, la petite ville de Quiquendone, vous n'y parviendrez probablement pas. Est-ce que Quiquendone, de fait, serait l'une de ces villes qui auraient disparu ? Non. Une ville du futur ? En aucun cas. Elle existe en dépit des géographies, et le fait depuis quelques huit ou neuf cents années. Elle dénombre même deux mille trois cents et quatre-vingt-dix neuf âme, allouant une âme pour chaque habitant. Elle est située treize kilomètres et demi au Nord-Ouest de Oudenarde et quinze kilomètres et quart au Sud-Est de Bruges, au coeur de la Flandre.
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p. 58= 440 : The TALKING BRAIN (le cerveau qui parle) par M. H. Hasta.
Le Commencement d'une étrange histoire-- Un Savant sans Amis.
La mort de l'étudiant Vinton, et le suicide du Professeur Murtha la suivant, apporta à l'Université une bonne mesure de publicité non désirée. De fait, les journaux exigeaient une enquête ; et le président Archer me demanda de préparer une récapitulation des faits pour une communication au public, car je les connaissais mieux que quiconque encore en vie.
Les circonstances me forcèrent au coeur même de l'affaire. Je suis heureux de cette occasion de l'expliquer, car mon propre nom fut de manière assez déplaisante mentionnée dans les unes récentes. J'avais travaillé avec Murtha des mois durant ; peut-être l'ai-je quelque part aidé à mettre au point les remarquables outils qui le poussèrent à commettre un crime ; je l'avais présenté à Vinton ; j'étais avec lui la nuit de sa mort et j'ai entendu sa confession ; et pour valider ses notes, je suis son seul témoin au regard de la Science. Il a été dit que j'étais son seul ami.
Ce dernier point n'est pas tout à fait vrai. Murtha n'avait aucun ami-- il n'était pas homme à pouvoir ou vouloir se lier ordinairement à un être humain...
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p. 64= 446 : HIGH TENSION (Haute Tension) par Albert B. Stuart M. D.
Un merveilleux chirurgien--aussi irritable que compétent.
"Quel est le problème, Madge ?" l'infirmière en chef aux traits sévères s'arrêta devant la jeune fille en pleurs alors qu'elle lui posait la question.
"Je ne peux simplement plus supporter ce Docteur Carter," soupira la jeune fille. "Cela fait six mois que je travaille avec lui en salle d'opération, et il me maltraite pire encore que si je n'étais qu'une apprentie. Je n'ai rien fait de mal, mais je n'ai jamais pu travailler assez vite pour lui convenir. C'était toujours "Dépéchez, infirmière-- ligature. . , porte-aiguille . . Pourquoi par Dieu faut-il que vous tripotiez toujours tout avant de trouver ce que je veux ?" Si j'avais quatre main à la place de deux, je n'aurais pas pu travailler assez vite pour lui convenir. Il s'extasiait sur son assistant tout le temps de l'opération, et personne ne pouvait rien faire assez vite pour lui plaire.
"Oui, je sais mon petit," réconforta l'infirmière en chef, " Le docteur Carter est un homme avec lequel il est très difficile de travailler, mais vous devez vous rappeler qu'il est un merveilleux chirurgien et travaille sous une très grande tension nerveuse."
"Peut-être qu'il l'est, sanglota la jeune fille, mais il pourrait tout de même se comporter en être humain comme les autres docteurs le font de toute manière."
"Mon petit, vous devez vous rappeler que le docteur Carter est différent des autres docteurs. Vraiment, il sort de l'ordinaire quant à ses compétences. Il fait des choses qu'aucun autre chirurgien n'oserait même envisager, et sa maîtrise de la chirurgie du cerveau est remarquable. Le docteur Bryan me disait justement à l'instant que le docteur Carter est la plus grande autorité sur les centres nerveux et leur action."
"C'est peut-être vrai, répondit l'infirmière, mais il n'est pas humain."
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p. 70= 452 : STATION X (Haute Tension) par G. McLeod Winsor (seconde partie)
CHAPITRE 7 : La voix venue de Mars.
Si la question avait été posée de savoir qui était le scientifique le plus éminent de l'époque, neuf sur dix auraient répondu : Stanley Rudge. Son trait le plus remarquable était son ouverture d'esprit. Si par exemple il avait eu été représentant de l'église, sa tolérance aurait fait scandale.
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p.95
Inspiration par Leland S. Copeland.
Sur la traînée sombre, ténue nébuleuse,
Guettant la chaleur et la lumière
Au delà du soleil déséchant, éblouissant
Et des planètes, moitié jour, moitié nuit
Des comètes qui fusent avec une traînée de feu
Des astéroïdes tourbillonnant avec
Quelque chose mijote, impérieusement ;
Quelque chose qui ne peut pas se tromper
Plus fort que des germes et cellules invisibles
Plus fort que du poisson de la mer du Devon
que des sauriens se repaissant à l'aube
que la jungle luisante où le lion rôde
Et que la chanson de la fille aux yeux noirs.
Quelque chose monte, irrépressible,
Quelque chose qui fera ce qu'il faut.
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p.2 (seconde de couverture) : Est-ce que votre boulot actuel vous offre ces choses : un gros salaire, des opportunités illimités d'augmenter vos revenus, un emploi permanent, être votre propre patron, des promotions, voyager. Le métier de représentant le fait ! Ne laissez pas le mot "vente" vous effrayer car il est remarquablement facile pour un homme d'intelligence moyenne de devenir un représentant de première classe. Et ensuite votre futur peut-être aussi grandiose que vous voulez le rendre. Association Nationale de Formation des Représentants de Chicago.
p. 95 : Surprenez vos amis avec une Maîtrise en Mystère : Magie Populaire, 40 cents, un libre pour vous, pour tous, jeune ou vieux, mais surtout pour ceux qui veulent être populaires. + si vous voulez 1900 dollars par an, employés postaux du rail.
p.96 petites annonces. Reformulation des publicités : par exemple LIVRES : Mystifiez vos amis, devenez un maître de la magie MAGIE POPULAIRE un livre de 116 pages contenant des centaines de tours de magie et de télépathie, 500 illustrations, prix 50 cents en vente partout. Publié chez Experimenteur (l'éditeur d'Amazing Stories).
etc.
p.98 : Des trésors enfouis peuvent encore se trouver en Chimie : de bons chimistes appellent de hauts salaires. Ce que nos étudiants disent de nos cours... Le moment est venu d'étudier la Chimie, paiements faciles au mois...
p.99 (troisième de couverture) Le livre bleu burgess.
p100 (quatrième de couverture : La demande pour des experts électriques est grande !
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce numéro.
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