Unwelcome (2023)
Traduction du titre anglais : malvenu.
Sorti au cinéma en Angleterre et en Irlande le 27 janvier 2023 — repoussé du 28 octobre 2022, repoussé du 4 février 2022.
Sorti en VOD au Canada le 27 janvier 2023.
Annoncé aux USA pour le 10 mars 2023 (sortie limitée).
Annoncé le 14 mars 2023 en VOD.
De Jon Wright et Mark Stay (également scénaristes) ; avec Hannah John-Kamen, Douglas Booth, Colm Meaney, Jamie-Lee O'Donnell, Kristian Nairn, Chris Walley, Niamh Cusack, Finbar Lynch, Rick Warden.
Pour adultes.
(Fantasy horrifique woke) En ville, la nuit, des voitures quittent un parking au milieu de tours (d’habitations ?). Une jeune femme au toilette semble considérer d’un air gourmand une barre chocolatée enveloppée dans un papier bleu ? En fait un test de grossesses.
Son mari ( ?) un barbu en train de cuisiner lui demande depuis son poste si elle a un résultat, et elle répond qu’il faut leur laisser une chance. Il pose donc le couvercle de sa marmite à côté de ses feux, puis va à l’entrée du couloir qui donne sur la porte ouverte des toilettes en demandant si elle est en train de dire que toute cette incroyable partie de jambes en l’air aura été pour rien… Elle lui demande de mettre en route le riz à feu doux. Il exécute en rappelant que ce n’est pas la faute des œufs de la jeune femme, c’est celle de ses garçons (car il n’est qu’un homme ?), ils ont juste besoin d’un peu de discipline pour leur faire lever leur derrière et y aller. Puis il propose d’encore essayer les petits pois congelés sur ses boules — ce que je déconseillerai au lecteur, les engelures n’aident pas à la fertilité humaine.
Il ajoute que cette fois-là fut la nuit la plus humiliante de sa vie, et la jeune femme part d’un grand éclat de rire : elle s’en souvient, mais est-ce que c’était seulement un truc qui se faisait ? Le barbu répond : Dieu seul le sait. Puis de s’exclamer « et puis d’abord, qui a besoin de faire des gamins ? tu ne peux plus aller au pub, en vacance... Le barbu continue une bouteille de vin à la main… « et notre vie sexuelle se réduira à moi en train de me masturber six nuits par semaine…. »
« Deux fois le dimanche. » Et comme la jeune femme est sortie des toilettes et se tient dans l’embrasure du couloir, mais il ne l’a pas encore vue, il se met à chanter « et petit bébé, ne pleure pas ! Maman t’achètera une maison dans une partie de Londres devenue bourgeoise…» Elle le prend dans ses bras, et lui rappelle que c’est normal que ça soit un peu bancal au début. Ils s’embrassent, et sont interrompus par un carillon : « Le moment de vérité… » selon le barbu. Tous les deux soupirent, la jeune femme va à la table récupérer son test, sourit, hoche la tête. Ils crient de joie, il veut la soulever, elle lui dit de faire attention : elle en enceinte. Et lui d’embrasser son biceps : ses garçons y sont arrivés, il est un homme.
Plus tard, le barbu sort de son immeuble, dont l’entrée est défendu par de hautes grilles renforcées de pointes en hauteur. Il a un moment d’hésitation quand il aperçoit les trois jeunes en capuches attroupés devant la supérette en face, mais il est trop tard, ils l’ont déjà vu. Ils veulent une cigarette, le barbu n’en a pas, il entre dans la superette, achète une bouteille de champagne. Le chef de la meute demande si le barbu est riche, l’autre répond que ce n’est pas du vrai champagne, puis comme il est déjà en haut des marches, répond que sa femme est enceinte et que l’autre peut aller se faire (censuré). Et de rentrer chez lui.
Seulement les trois voyous l’ont suivi et enfoncent la porte. La copine appelle la police des toilettes, mais ils enfoncent aussi la porte des toilettes. Ils tabassent le jeune couple, donnant des coups de pieds au ventre à la jeune femme qui finit par s’emparer d’un couteau et menacer le chef de bande armé lui-aussi d’un couteau. Le chef de la petite bande la met au défi de l’égorger alors qu’il a posé le couteau, mais les sirènes de polices retentissent et les voyous s’en vont. Plus tard, ils emménagent dans une maison de campagne, la maison de la tante du barbu, ignorant que l’occupante, Maeve, précédente a été assassinée. Alors qu’ils sont ravi, la dame qui fait la visite veut leur montrer une petite chose un peu particulière.
Ayant emmené le couple devant une porte basse au fond du jardin, et le barbu de se demander s’ils peuvent l’emprunter, si le bois derrière leur appartient aussi — la dame ne répond pas et commence à expliquer que Maeve croyaient aux vieilles superstitions : chaque soir, avant le coucher du soleil, elle laissait une offrande de sang juste là devant la porte. La copine du barbu s’étonne : du sang ? La dame explique qu’il ne s’agissait pas d’un sacrifice dans le genre des Aztecs qui arrachaient des cœurs de leurs poitrines. Non, elle laissait une petite tranche de foie ou quelque chose du même genre. La copine (Maya) demande pour qui. La dame répond, pour les Petites Gens. Le barbu (Jamie) demande alors si c’était pour les Léprechauns (prononcez Léprékaonz). Jaimie est ravi : il adore, c’est tellement irlandais !
La dame corrige : pas exactement des Lépréchauns. Certains les appellent les Far Darrig, ou les Capuches rouges. La copine s’étonne que Maeve y ait cru. La dame explique que Maeve aura eu une vie très tristes : elle a perdu son enfant, juste après avoir perdu son mari jeune, cause d’une pneumonie. Elle était alors persuadé que c’était sa punition, pour avoir tourné le dos aux anciennes traditions : elle est tombée amoureuse, a eu une famille, et elle a oublié de respecter les Petites Gens. La dame offre alors de prendre la relève de Maeve, mais Maya promet de faire l’offrande elle-même. La dame en doute : « chaque jour ? ». Mais Maya l’assure. Après le départ, Jamie assure Maya qu’ils sont en sécurité à présent : il ne laissera jamais ce qui leur est arrivé se reproduire.
***