- Détails
- Écrit par David Sicé
Teen Wolf S05E17: A Credible Threat (2016)
Traduction du titre original: Une menace crédible.
Épisode précédent <> Épisode suivant.
Ici l'article de ce blog sur la série Teen Wolf (2011)
Diffusé aux USA le 16 février 2016 sur MTV US.
Diffusé en France le 24 février 2016 sur MTV FR.
Sorti en DVD US de la saison 5B le 18 octobre 2016 (lisible en France, sous-titré français, musique différente).
De Jeff Davis (également scénariste), réalisé par Tim Andrew, d'après la comédie fantastique Teen Wolf de 1985 ; avec Tyler Posey, Dylan O'Brien, Holland Roden, Arden Cho, Shelley Hennig, Dylan Sprayberry, Cody Christian.
Pour adultes et adolescents.
Résumé à venir.
***
Donnez votre avis sur cet épisode en nous rejoignant sur le forum Philippe-Ebly.fr
***
- Détails
- Écrit par David Sicé
Live (2017)
Traduction du titre original: Vie.
Sorti en Angleterre le 24 mars 2017, avancé du 12 mai 2017.
Sorti aux USA le 24 mars 2017, avancé du 26 mai 2017.
Sorti en France le 19 avril 2017.
Annoncé en blu-ray américain pour le 20 juin 2017.
Annoncé en blu-ray anglais pour le 31 juillet 2017.
Annoncé en blu-ray français pour le 30 août 2017.
De Daniel Espinosa ; sur un scénario de Rhett Reese, Paul Wernick ; avec Rebecca Ferguson, Ryan Reynolds, Jake Gyllenhaal, Hiroyuki Sanada, Ariyon Bakare, Olga Dihovichnaya, Alexandre Nguyen.
Pour adultes et adolescents.
A bord de l’ISS super-mal éclairé un équipage s’extasie sur le machin extraterrestre qu’ils ont récupéré. L’un des astronautes lui met son doigt tandis qu’un autre mate l’accouchement en direct de sa femme. Tout le monde rit bêtement, comme s’ils avaient fumé tandis qu’on leur montre le bébé, sans s’inquiéter le moins du monde de la croissance exponentielle de l’extraterrestre auquel le même astronaute continue de mettre le doigt, prenant toutes les expressions de l’orgasme.
Soudain, les sirènes hurlent, parce que la bébête s’est libérée toute seule comme une grande de son caisson ; alors nous ne savons encore rien des héros. Là, l’héroïne se prend soudain pour Ripley dans Alien évoquant la quarantaine et raconte que la station n’était pas prévue pour mener ce genre d’expérience. Bien sûr, l’astronaute tripoteur d’Alien (qu’il a baptisé Calvin) se dit que c’est de sa faute, et nous découvrons que comme le héros d'Avatar, il est paralysé des jambes - mais cela n'a aucune espèce d'importance, puisqu'il flotte en apesanteur.
Quand il revient dans le laboratoire, ce n’est plus un doigt qu’il met dans l’Alien, mais une matraque électrique. Étonnamment, l’Alien le prend mal et perce ses gants qui étaient de toute manière aussi fin qu’un préservatif, sans doute pour des sensations plus fines quand on tripote les Aliens. Le conseil de l’héroïne apparemment médecin : « Juste, relaxe-toi ! » Et la victime numéro 1 de reprendre sa matraque électrique. Alors l’Alien se la joue Facehugger mais pour une main. L’équipage ne fait toujours rien et continue de regarder au prétexte qu’il faut respecter la quarantaine, alors que personnellement j’aurais commencé à séparer du laboratoire du reste de la station, ou bien à filmer en directe pour les gamins du début.
Et à la manière d’un Tex Avery, la bébête s’empare de la matraque électrique et sort à pied dans le laboratoire en passant par un gant, pour aller niquer le rat, l’avalant tout entier, sans que l’équipage ne songe un seul instant à prévenir la Terre. De manière prévisible, cela motive alors un second astronaute à rompre la quarantaine pour ramener la victime numéro un déjà contaminée.
Continuant à plagier Alien l’original en zappant à travers le film et dans le désordre, le héros se voit alors conseillé par la doctoresse d’incendier le laboratoire. En apesanteur, avec des trucs électriques partout, sans oublier le mélange oxygène. D’un autre côté cela fera peut-être enfin un peu plus de lumière, car l’ISS reste obstinément plongée dans la pénombre. Résultat de la manœuvre, la victime numéro 2 avale l’extraterrestre. Curieusement, le sang qu’il recrache ne forme aucune bulle, et ne le propulse pas en arrière.
La digestion se passe plutôt bien, et tandis que l’équipage n’a toujours prévenu personne, et que la doctoresse elle-même détourne les yeux – comme si elle n’avait pas vu pire lors de son intégration à l’école, le bidule incendiaire resté allumé, la bébête ressort plus grosse et trouve une sortie tout en prenant le contrôle des systèmes informatiques !?! La doctoresse crie alors de sceller le laboratoire, quand cela ne sert plus à rien – serait-ce un autre robot envoyé par la Weyland-Yutani ?
Alors l’équipage songe enfin à informer la Terre, mais comme par hasard, ce n’est pas possible. Leur idée géniale est bien sûr de faire une sortie dans l’Espace. Et quand quelqu’un propose d’évacuer, on leur sort du chapeau qu’ils ne doivent jamais évacuer la station : ils ont bien sûr signé pour mourir à bord de la station (clause réputée non écrite, si jamais vous tombez sur elle). Bien entendu, la bébête attaque alors la victime numéro 3 qui faisait la sortie.
La doctoresse qui criait à la quarantaine sur tous les tons demande alors à la victime numéro 3 de rentrer à bord avec la bébête attachée à la jambe. Prétexte pour la victime pour jouer à saute-mouton sur la station tandis que la bébête se noie dans l’eau qui envahit son casque… toujours avec la grosse bébête qui lui court dessus, et que le sauveteur – David – venu la chercher veut bien sûr faire entrer de nouveau dans la station.
Et tandis que David s’étonne que la victime numéro 3 ait dû mal à ouvrir le sas, la bébête essaie de dévisser le casque de la victime numéro 3, puis comme celle-ci part en flottant dans l’espace, la bébête saute se coller au hublot et David, pourtant aux premières loges, répète la question : « Qu’est-ce qui se passe ? »
***
Donnez votre avis sur ce film en nous rejoignant sur le forum Philippe-Ebly.fr
***
- Détails
- Écrit par David Sicé
The Flash S03E05: Monster (2016)
Épisode précédent <> Épisode suivant.
Ici l'article de ce blog sur la série The Flash (2015).
A ne pas confondre avec la série des années 1990.
Diffusé aux USA le 1er novembre 2016 sur CW US.
De Greg Berlanti (également scénariste), d'après la bande dessinée de Gardner Fox et Harry Lampert ; avec Grant Gustin, Candice Patton, Danielle Panabaker, Carlos Valdes, Tom Cavanagh, Jesse L. Martin.
Pour adultes et adolescents
Cisco héberge désormais Barry chez lui, et comme il arrive dans la cuisine, il aperçoit une série de Flash : Barry vient de leur préparer un copieux petit-déjeuner. Blasé, Cisco rappelle à Barry qu’il n’a pas à faire cela tous les matins. Mais Barry ne veut rien entendre : ce n’est pas qu’il n’aime pas son beau-père Joe, mais ce dernier a besoin d’avoir son espace privé, alors jusqu’à ce que Barry trouve son propre espace privé, il se retrouve à profiter de l’espace privé de Cisco, donc en signe de reconnaissance – un éclair – et Barry annonce fièrement deux œufs sur bacon pas trop cuit. L’assiette étant déjà posée sous le nez de Cisco.
Barry ajoute qu’il ne se souvient plus si Cisco prend ses toasts beurrés ou non. Cisco réplique que parfois un homme veut pouvoir beurrer ses propres tartines. Barry s’excuse alors, confus. Cisco ajoute immédiatement que Barry ne doit pas mal le prendre : Cisco adore l’avoir chez lui, Barry est un hôte génial. Par contre, il ne sait pas trop quoi penser de son autre invité – Wells de la Terre 19, « appelez-moi H.R. ». Barry vient s’asseoir à la table du petit-déjeuner : alors Cisco n’aime pas ce Wells-là. Cisco répond que ce n’est pas qu’il ne l’aime pas, c’est seulement que la manière dont ce Wells dit des choses – Cisco est persuadé qu’il y a quelque chose qui cloche à son propos, il ne sait pas quoi. Barry remarque alors que le nouveau Wells n’est là que depuis quelques jours, qu’il faut le laisser prendre ses marques.
Barry conçoit qu’ils ont eu des problèmes avec les Wells par le passé, mais on ne peut pas se mettre à ne plus faire confiance à personne, ou à ne plus donner sa chance à quelqu’un – on ne peut pas vivre comme ça… Cisco répond que c’est la vérité, des paroles sages venant d’un homme sage. Puis Cisco ramasse son assiette et car il préfère emporter son petit-déjeuner à Starlab et donne rendez-vous à Barry là-bas. Barry propose alors à Cisco de l’emporter jusqu’à Starlab. Cisco l’arrête : il veut pouvoir conduire lui-même ce jour-là. Barry répond que c’est cool et se retrouve tout seul et penaud à la table du petit-déjeuner.
Pendant ce temps, Caitlin vient d’entrer dans le hall de réception d’un grand laboratoire pharmaceutique en ville. Elle va à la réception et annonce qu’elle vient voir le professeur Tannhauser. La réceptionniste demande sèchement si Caitlin a rendez-vous. Caitlin répond que non, mais qu’elle est à peu près certaine qu’elle sera reçue, la réceptionniste n’a qu’à lui dire que le professeur Caitlin Snow est là. La réceptionniste rétorque que le professeur Tannhauser est une femme très occupée et qu’elle est certaine que Caitlin peut comprendre cela.
C’est alors qu’une femme intervient : elle apprécie l’efficacité de sa réceptionniste Jackie, mais Caitlin est toujours la bienvenue en ces lieux. Tannhauser elle-même se tient sur une passerelle suspendue au-dessus du hall, et ajoute qu’elle aurait cependant apprécié que Caitlin lui téléphone d’abord pour la prévenir. Ce à quoi Caitlin répond haut et clair que cela lui fait aussi plaisir de voir Tannhauser – « Maman ».
Caitlin rejoint donc Tannhauser dans son bureau, et celle-ci demande à Caitlin ce qui l’amène – aurait-elle oublié de lui fêter son anniversaire ? Sans accorder un regard à Caitlin, Tannhauser consulte son agenda sur son ordinateur : elle était sûre de lui avoir envoyé une carte… Caitlin confirme – c’était en avril. Caitlin commence : elle a lu l’article de sa mère sur les applications de la cryo-médecine, et elle pense que sa mère pourrait l’aider. Toujours sans regarder sa fille, Tannhauser répond qu’elle n’avait pas idée que Caitlin suivait ses articles dans les journaux depuis StarLab, si c’est encore le nom de l’endroit où Caitlin travaille. Caitlin, qui fait de plus en plus d’effort pour répondre calmement, confirme : oui, et elle a un patient qui pourrait avoir besoin de l’aide de sa mère.
Tannhauser regarde enfin Caitlin et lui répond que si Caitlin veut bien lui envoyer le dossier de son patient, elle sera heureuse d’y jeter un coup d’œil, mais de suite, elle doit préparer une rencontre avec ses actionnaires… Caitlin frappe alors du plat de la main le bureau de sa mère, et le bureau se couvre instantanément de givre – qui traverse le plateau jusqu’à geler le clavier de l’ordinateur. Tannhauser a retiré ses mains... Caitlin avoue alors que c’est elle le patient. Tannhauser ne se trouble pas davantage, et enfonçant la touche de l’interphone de son secrétariat, ordonne d’annuler ses rendez-vous et d’envoyer un certain Nigel la retrouver dans le laboratoire biologique.
***
Donnez votre avis sur cet épisode en nous rejoignant sur le forum Philippe-Ebly.fr
***
- Détails
- Écrit par David Sicé
People Of Earth S01E02: Sponsored By (2016)
Autre titre : The Group.
Épisode précédent <> Épisode suivant.
Ici l'article de ce blog sur la série télévisée People Of Earth (2016)
Diffusé aux USA le 31 octobre 2016 sur PBS US.
De David Jenkins ; avec Wyatt Cenac, Ana Gasteyer, Oscar Nuñez, Michael Cassidy, Alice Wetterlund, Luka Jones, Brian Huskey, Nancy Lenehan, Tracee Chimo, Da'Vine Joy Randolph, Björn Gustafsson, Ken Hall.
Pour adultes et adolescents.
Jonathan Walsh court sur un tapis roulant dans son vaste bureau de magnat de la presse, tout en laissant un message à son ex reporter Ozzie avec son kit main libre. Insistant pour appeler Ozzie « son pote », Jonathan affirme qu’Ozzie n’arrête pas de lui manquer et comme ils ne se voyaient pas beaucoup en ce moment, Jonathan voulait s’assurer que tout allait bien.
Sans prendre garde au message de son ex-patron, Ozzie contemple en soupirant la couverture du guide « Votre expérience et vous » de Starcrossed (qui veut aussi bien dire « traversé par les étoiles » que « sévèrement fâché avec les étoiles ») à la reliure spiralée que lui a remis Gina Morrison, l’animatrice du groupe des Expérimencés – qui en est également l’auteure (avec Gerard « Gerry » Johnson »).
Le lendemain matin, Ozzie quitte le Motel Beacon Arms (« les bras de l’émetteur ») tandis que la fin du message de Jonathan Walsh résonne encore : Ozzie sera toujours le bienvenue s’il veut retourner travailler dans son journal métropolitain – et toute manière Jonathan continuera d’appeler, car – grand sourire – Ozzie leur manque, ici, sur la Terre. Réalisant que sa conclusion n’était peut-être pas la plus appropriée, Jonathan perd son sourire.
De son côté, Ozzie s’est présenté au commissariat, déclarant passer prendre le rapport de la police pour la gazette de Beacon. Le policier semble étonné, alors Ozzie demande s’il y a quoi que ce soit à rapporter. Le policier ouvre son registre et demande s’il veut le rapport de cette semaine-là ; Ozzie confirme. Le policier déclare qu’un homme a abattu un écureuil. Ozzie fronce des sourcils. Le policier relit son registre et corrige : l’homme a tiré – et raté un écureuil.
Ozzie fait mine de s’enthousiasmer. Puis pose la vraie question qui le préoccupe : la police de Beacon garde sa voiture à la fourrière. Le policier déclare alors qu’il pensait bien avoir reconnu Ozzie : il est la biche.
Ozzie a alors un flash de Gina qui lui expliquait au diner que parfois les accidents de voiture impliquant des animaux étaient des faux souvenirs fabriqués pour masquer des enlèvements extraterrestres. Ozzie revoit alors de nuit le panneau de sortie de Beacon avec le petit losange jaune alertant du danger de croiser un animal sauvage qui voudrait traverser la route., et juste après lui au volant roulant droit sur une biche en plein milieu de la route, comme sortie de nulle part.
Ozzie relève la tête, à nouveau dans le commissariat, et le policier est en train de s’excuser : il n’était pas en train de sous-entendre qu’Ozzie avait délibérément heurté une biche… Ozzie répond sans broncher que c’était pourtant de quoi cela avait l’air.
En ville, Ozzie entre dans le café de La Fève Remarquable pour y retrouver Gina, qui a hâte de connaître son avis sur le guide qu’elle lui a remis, et Ozzie répond qu’il l’a lu de la première à la dernière page. Aussitôt Gerry – qui est aussi là – lui demande ce qu’il en a pensé. Gerry est enchanté d’entendre que Ozzie a trouvé le volume plutôt difficile – mais ce que veut surtout savoir Gina, c’est si Ozzie a déjà choisi un parrain.
Ozzie se souvient du chapitre 7, et compare l’idée à la tradition chez les Alcoolique Anonymes, et Gina confirme , ce n’est pas dissemblable du tout : ils encouragent chacun à trouver cette personne « spéciale », car il est très important d’avoir quelqu’un à appeler quand on se sent seul ou confus – comme une colle émotionnelle qui scelle le lien. À ces mots, Gerry a un air on ne peut plus convaincu et ne quitte plus des yeux Ozzy, attendant clairement d’être choisi sur le champ.
***
Donnez votre avis sur cet épisode en nous rejoignant sur le forum Philippe-Ebly.fr
***