The Thing (1982)
Traduction du titre original : La Chose.
Autre titre : "John Carpenter's The Thing".
Noter que ce film est un remake de La chose d'un autre monde (1951, The Thing From Another World)
Ne pas confondre avec The Thing (2011), une préquelle avec le même titre.
Sorti aux USA le 25 juin 1982.
Sorti en Angleterre le 26 août 1982.
Sorti en France le 3 novembre 1982.
Sorti en blu-ray américain le 30 septembre 2008 (multi-régions, français inclus, commentaire du réalisateur).
Sorti en blu-ray français le 23 octobre 2008.
De John Carpenter, sur un scénario de Bill Lancaster, d'après la nouvelle "Who Goes There?" (1938) de John W. Campbell Jr. ; avec Kurt Russell, Wilford Brimley, Keith David, T.K. Carter, David Clennon, Richard Dysart, Charles Hallahan, Peter Maloney, Richard Masur, Donald Moffat, Joel Polis.
Pour adultes.
Une soucoupe volante entre dans l’atmosphère terrestre… Antarctique, hiver 1982. Un hélicoptère norvégien survole une falaise, puis la plaine glacée. L’un des passagers scrute la neige en contrebas, un fusil en bandoulière. Un chien de traîneau qui courait dans la neige s’arrête pour regarder l’hélicoptère, puis repart. Voyant le chien, le passager de l’hélicoptère fait feu plusieurs fois dessus. Le chien continue de courir et arrive à proximité de la station scientifique de l’Institut National Américain numéro 4.
A l’intérieur de la station, l’équipe passe son temps comme elle peut. MacReady affronte son ordinateur au jeu d’échecs, et au moment où il croit gagner, il perd par échec et math. Furieux, il renverse son whisky dans l’ordinateur qui tombe en panne. L’hélicoptère norvégien se met alors à tourner autour de la station et donc de la tour d’observation dans laquelle se trouvait MacReady, qui sort. Ses quatre camarades sortent de la station se demandant ce que fait l’hélicoptère. Comme le chien approche, l’hélicoptère commence à lui balancer des grenades, puis atterrit. Le chien rejoint alors les membres de la station et fait des fêtes au premier. Voyant cela le pilote de l’hélicoptère sort une grenade, la dégoupille mais la perd juste à côté de l’hélicoptère. La grenade explose, l’hélicoptère explose. Le norvégien survivant crie alors quelque chose que les américains ne comprennent pas (étonnamment, il pense que ses voisins américains comprennent parfaitement le norvégien et n’a pas pris la peine d’apprendre à parler l’anglais avant de partir pour l’Antarctique, pas plus que les américains n’ont pris la peine d’apprendre le norvégien), puis tire une première fois sur le chien, et atteint évidemment à la jambe l’américain qui se trouvait avec le chien. S’en suit une fusillade, et les américains abattent le norvégien.
Le radio n’arrive à joindre personne, et un membre d’équipage propose de se rendre à la station norvégienne, au cas où les passagers de l’hélicoptère norvégien seraient subitement devenus fous et auraient causé des dégâts là-bas. MacReady emmène alors le docteur Copper à la station norvégienne, tout en les prévenant qu’ils prennent un risque : selon la météo, la visibilité pourrait devenir nulle avant la fin de la journée. Pendant ce temps, le chien de traineau se réchauffe calmement sous le bureau du commandant. Puis, alors que le cuisinier travaille avec une musique tonitruante et que chacun est dans sa cabine, le chien sort du bureau (personne n’a pensé à le mettre dans le parc à chiens, ou bien en quarantaine, la rage et quantité de maladies extrêmement dangereuses pour l’homme transmise par les animaux n’existent pas dans ce monde), et trotte jusqu’à une cabine occupée ouverte.
Arrivé à la station norvégienne, MacReady et le docteur découvre des bâtiments incendiés, aux murs crevés, puis une traînée de sang menant à un cadavre sur une chaise. Le docteur examine le cadavre, qui a été égorgé. Autour, le docteur ne trouve ensuite que des notes en norvégien, tandis que McReady trouve une caméra vidéo. MacReady décide d’explorer seul les dernières chambres, malgré le fait qu’ils étaient censés avoir affaire à des fous furieux, mais arrivé au petit hangar, il appelle le docteur Copper pour lui montrer un bloc de glace dont on a découpé l’intérieur. Selon le docteur Copper, les norvégiens ont peut-être découvert un fossile. Puis comme ils sortent du petit hangar, ils découvrent un corps difforme que les norvégiens ont tenté de brûler en vitesse. MacGready demande une pelle au docteur pour le dégager, et ils le ramènent à la station, pour présenter le corps difforme à l’ensemble de leur camarade, ignorant une nouvelle fois le principe de la quarantaine malgré leur propre hypothèse de départ selon laquelle les norvégiens sont devenus fous.
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