Warning (2021)
Autre titre : Varovanie.
Sorti aux USA le 22 octobre 2021.
Sorti en blu-ray américain le 26 octobre 2021.
De Agatha Alexander (également scénariste), sur un scénario de Rob Michaelson et Jason Kaye, avec Alex Pettyfer, Alice Eve, Annabelle Wallis, Benedict Samuel, Charlotte Le Bon,Thomas Jane, Patrick Schwarzenegger, Rupert Everett, Tomasz Kot, Kylie Bunbury, Garance Marillier.
Pour adultes.
(Cyberpunk) Un satellite en orbite de la terre avec un astronaute accroché à l’antenne. Le contrôle à terre lui demande des comptes, le technicien, nommé David a une crise existentielle et il réclame qu’on le remplace par un androïde. Le contrôle à terre (apparemment une intelligence artificielle), lui rappelle qu’un androïde coûte plus cher à remplacer qu’un être humain. Soudain, de l’électricité statistique parcourt le satellite, le contrôle à terre bredouille « Attention, attention, attention… » et l’astronaute est éjecté dans l’espace orbital.
Plus tard ( ?) une jeune fille vient acheter un robot d’occasion dans un entrepôt pour s’occuper d’une personne âgé. Beaucoup de robots ont été abandonnés ou laissés par des propriétaires qui ne pouvaient plus s’occuper d’eux. Le vendeur propose à la jeune fille de faire la connaissance avec « Charlie », qui ressemble à un homme âgé atteint de sénilité profonde : c’est en secouant la tête et sans jamais regarder la jeune fille dans les yeux et d’une voix déprimée que l’androïde déclare être quelqu’un de super-facile à vivre, aucun sujet de conversation de le choc (il lève les bras presque aussi haut que le monstre de Frankenstein) ; il peut dire « une bière de plus » dans quarante-huit langues. Et de lancer un « Emmenez-moi en vacances » ponctué d’un éclat de rire inquiétant, en relevant les bras et en agitant ses mains.
La jeune fille demande si Charlie peut nettoyer les piscines et le vendeur l’arrête tout de suite : Charlie ne s’entend pas bien avec l’eau. Charlie surenchérit : il n’est pas comme qui dirait une sirène, mais il sait très bien faire l’homme mort qui flotte. La jeune fille dit « non » et demande à rencontrer l’autre androïde. Ce qui n’arrête pas Charlie qui demande à la jeune fille si elle aime le vin…
Resté seul dans le bureau, Charlie fabrique une cocotte en papier. Comme le vendeur raccompagne Charlie dans sa cage de plastique transparent, le vendeur lui explique qu’il n’est pas vraiment fait pour les jeunes filles dans le genre de la cliente. Puis comme Charlie s’immobilise yeux et bouche ouvert, le vendeur lui lance de fermer ses yeux, ce qu’il fait. Plus tard, alors que le vendeur échoue à vendre une androïde d’occasion parce qu’elle ne sait pas réparer les équipements électriques, ce dernier tourne la tête vers l’écran de surveillance du hangar : dans leur cage de plastique transparent, Charlie et son colocataire dansent une espèce de valse.
Et pendant ce temps, dans l’espace, l’astronaute naufragé flotte toujours dans l’espace orbital incapable de revenir à sa base. Le lendemain matin une certaine Claire, blonde à cheveux roses, est réveillée par son majordome virtuel, « Dieu ». Alors qu’elle fait de la marche sur tapis roulant d’intérieur, « Dieu » déclare qu’il va changer la musique d’ambiance parce qu’elle n’est pas assez spirituelle. Claire remercie « Dieu ». Plus tard encore, regardant par la fenêtre, Claire a l’œil attiré par des publicités montrant successivement un superbe surfer torse nu puis une « influenceuse » en bikini. Ensuite elle demande à « Dieu » ce qu’elle doit acheter aujourd’hui : du papier-toilette. Mais alors qu’elle veut rentrer, elle heurte légèrement une voiture en reculant : « Dieu » a entendu cela, et lui ordonne de se confesser. Puis « Dieu » lui indique les différents moyens de réduire le nombre de ses péchés… Elle propose de laisser un mot d’excuse sur le parebrise et n’oublie pas de remercier « Dieu », sauf que son mot d’excuse c’est « la m.rde, ça arrive ». Claire se couche. Le lendemain matin, Claire s’éveille, et « Dieu » semble en panne.
Pendant ce temps, l’astronaute flotte toujours dans l’espace orbital et appelle en vain « Dieu », qui se trouve également tenir le poste de contrôle à terre pour sa mission.
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